cine-memento.fr: les nouveautes du moment cine-memento.fr fr Wed, 06 Apr 2016 08:12:24 +0200
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» Le cinéma, art subversif ( Capricci ) : 14/04/2016 /capricci/le-cinema-art-subversif/9791023900859-p-34815.html

The Wire débute par une enquête policière sur le trafic de drogue à Baltimore, pour y agréger peu à peu d’autres institutions et espaces (l’activité portuaire, la politique municipale, l’École, la Presse). Au fil des saisons, elle nous dessine un tableau sans concession des effets destructeurs du capitalisme ultralibéral sur cette ancienne ville industrielle devenue emblématique de la dissolution du mythe du « rêve américain ». Si la série se fonde sur une observation minutieuse de la réalité, proche des techniques du journalisme ou de l’enquête sociologique, son impact tient surtout à la manière dont elle parvient à combiner avec brio cette exigence de réalisme et une maîtrise parfaite des rouages de la fiction et du récit audiovisuel. L’humour et la précision des dialogues, les personnages complexes et ambigus, l’esthétique minutieuse et le souffle humaniste de la série permettent à The Wire de séduire les spectateurs tout autant qu’elle les fait réfléchir. En dépit d’un constat apparemment pessimiste sur une situation sociale tragique, la dimension ludique de la série invite ainsi les spectateurs à s’engager activement dans une réflexion sur les enjeux de toute représentation.]]>
» The Wire - Les règles du jeu ( PUF ) : 13/04/2016 /puf/the-wire/9782130594192-p-34752.html

Comment écrire un scénario et réaliser un film ? Quelles collaborations possibles entre scénaristes et réalisateurs ? Cet ouvrage conçu à partir d'expériences concrètes de professionnels propose une série de pistes, donne des exemples concrets, relate de nombreuses expériences du passage et de la synergie entre l'écriture de scénario et la réalisation. La structure dramatique, la construction d'un personnage, les dialogues, l'adaptation d'un livre à l'écran, le point de vue documentaire, les enjeux de la mise en scène, le côté organique d'un film, les acteurs comme source d'émotions, le montage, le lien entre narration et musique, les petits budgets, les séries, le transmédia, l'enseignement. sont autant de points abordés. Aussi curieux que cela puisse paraître, aucun essai jusqu'ici n'a approché, de concert, scénario et réalisation. Pourtant, la mise en scène est aussi une forme d'écriture. Scénario et réalisation : mode d'emploi permet au lecteur de se poser les bonnes questions, sans jamais apporter de réponses dogmatiques. Le livre est autant destiné aux étudiants en cinéma, qu'à ceux qui en font et à tous les spectateurs qui rêvent de comprendre comment naissent les films.]]>
» Scénario et réalisation - Modes d'emploi ( Nouveau Monde Editions ) : 08/04/2016 /nouveau-monde-editions/scenario-et-realisation/9782369423850-p-34819.html

Sommaire Dossier : éducation au cinéma - Mehdi Derfoufi, « Les dispositifs d'éducation à l'image en France : comment résister à l'institutionnalisation pour repenser la démocratie culturelle » ; - Marlène Loicq, « Quand les mutations des pratiques audiovisuelles des jeunes réveillent les enjeux de l'éducation aux médias » ; - Séverine Graff, « Applications pédagogiques de la séquence filmique en classes romandes : histoire et perspectives » ; - Caroline Archat-Tatah, « Le Cercle rouge dans la moulinette de Lignes de temps / L'étude d’un film de Jean-Pierre Melville au lycée » ; - Gisèle Comte, « L’éducation au cinéma dans les écoles romandes : entretien avec Christian Georges » ; - Pierre-Emmanuel Jaques, « La Cinémathèque suisse face à l’éducation au cinéma?: quelques aspects d’une histoire en construction » ; - Léo Souillés-Debats, « Des ciné-clubs aux dispositifs scolaires du CNC : l’institutionnalisation de l’éducation à l’image en France (1981-1998) ». Rubrique cinéma suisse - Stéphane Tralongo, « L’œil électronique. Bolex et la 'précision suisse’ à l’épreuve de l’automatisation » ; - Jean-Michel Baconnier, Geneviève Loup, « Ernie Gehr, Bon Voyage / Compte rendu d’exposition » ; - Nicolas Appelt, « Présence du cinéma syrien ».]]>
» Décadrages n°31 - Education au cinéma ( Association Décadrages ) : 08/04/2016 /association-decadrages/decadrages-31/9782970096313-p-34804.html

"Cinéma est un mot grec qui signifie « mouvement » [movie]. L'illusion du mouvement est certainement le complément ordinaire de l'image filmique, mais cette illusion repose sur la certitude que la vitesse à laquelle se succèdent les photogrammes n'admet que des variations très limitées. Rien dans l'agencement structural du ruban filmique ne peut justifier une telle certitude. C'est pourquoi nous la rejetons. Désormais, nous appellerons notre art simplement : le film." Hollis Frampton, Pour une métahistoire du film Ce livre propose une lecture rétrospective, non linéaire et décentrée de l’histoire des images en mouvement : il s’appuie sur une analyse de la pensée filmique telle qu’elle se déploie, indépendamment de ses applications techniques, dans l’histoire des représentations, et constitue un repérage de la manière dont les propriétés du film, disjointes de l’appareil qui conditionne le spectacle cinématographique, agissent dans les différents champs des pratiques artistiques. Les premiers chapitres analysent la manière dont le film est né de la déconstruction de l’espace et des catégories à partir desquels la forme-cinéma s’est instituée ; les suivants s’attachent à décrire comment artistes et cinéastes, au fil de la période moderne et contemporaine, ont disjoint les propriétés du film – lumière, durée, mouvement – et séparé ses éléments constitutifs – photogramme ou ruban de photogrammes, faisceau, surface de projection… – pour les réagencer en d’autres configurations. Ce changement de perspective dont on n’a pas fini de mesurer les effets nous oblige à une lecture rétroactive de l’histoire du film tout entière, en même temps que celle de son intégration à un système des arts qu’il transforme en retour. Ce qu’on appelle improprement « cinéma expérimental » apparaît désormais comme la trace, tout au long du XXe siècle, du fait que l’expérience du film ne se confond pas avec l’histoire de sa dématérialisation : face au spectacle de cinéma traditionnel moulé dans l’espace du théâtre classique, du film avant-gardiste des années 1920 à l’expanded cinema des années 1960, jusqu’au film d’artiste contemporain, le style « expérimental » aura été une façon de repenser l’histoire des images en mouvement en suggérant d’autres généalogies et selon d’autres concepts. Face au dispositif spatial dans lequel s’est reconnu et s’est déployé le cinéma moderne (des spectateurs immobiles dirigeant leur regard vers un écran conçu comme une surface transparente) et à partir duquel il a produit ses propres régimes d’intelligibilité, se dessine une autre manière de penser le film : un film despécifié, émancipé des lois de la théâtralité et de celles de la photo-impression, un dispositif de transfert généralisé engendrant des phénomènes de comparution.]]>
» Sur le film ( Macula ) : 07/04/2016 /macula/sur-le-film/9782865890859-p-34802.html

Face aux crises et aux mutations qui ont accompagné son histoire, le cinéma italien n’a pas cessé de se renouveler. Véritable laboratoire de formes et d’inventions, il a aussi donné naissance à des genres florissants et à des sous-genres éphémères (comédies à l’italienne, cinepanettoni, péplums, westerns spaghetti, giallos…) dénigrés avant d’être réhabilités et d’étendre loin très leur influence. Cet ouvrage, réactualisé et augmenté dans sa 4e édition, fournit des repères essentiels à la perception d'un foyer créatif riche et complexe, ancré dans des identités régionales, des sources populaires, des traditions spectaculaires et des modes de production spécifiques. Il met notamment en lumière la conscience historique et les contextes politiques qui, de Rossellini et Visconti à Nanni Moretti, Marco Tullio Giordana et Marco Bellocchio, ont toujours déterminé et inspiré les cinéastes transalpins.]]>
» Le cinéma italien de 1945 à nos jours - 4e édition revue et augmentée ( Armand Colin ) : 06/04/2016 /armand-colin/le-cinema-italien-de-1945-nos-jours/9782200613969-p-34775.html

Prise de vues, montage, cadres, mouvements de caméra, raccords et transitions constituent la grammaire du cinéma. Moyens d’expression du réalisateur, ils lui permettent de raconter une histoire, créer une ambiance et transmettre des émotions. Outil indispensable pour l’étudiant en cinéma ou le cinéphile, ce livre pratique expose ces techniques, règles et principes, illustrés de photogrammes, de schémas explicatifs et complétés par un glossaire technique en fin d’ouvrage. Dans une approche originale et pédagogique, l’auteur analyse et décortique plus de 160 extraits de films choisis dans le cinéma classique, de genre et contemporain. Revisitez l’histoire mondiale du 7e art et de ses créateurs pour découvrir et comprendre le langage cinématographique.]]>
» La grammaire du cinéma - De l'écriture au montage : les techniques du langage filmé ( Armand Colin ) : 06/04/2016 /armand-colin/la-grammaire-du-cinema/9782200603816-p-34776.html

Le cinéma, monde polymorphe qui conjugue art et industrie, poésie et divertissement, ne peut être abordé pleinement sans prendre en compte sa dimension socio-économique. L’objectif de cet ouvrage est de proposer une synthèse des connaissances fondamentales à maîtriser dans ce domaine, sous la forme de 50 fiches réparties en 7 chapitres : penser l’économie du cinéma, les marchés du cinéma, le public et les salles, distribution et promotion, production et financement, filière et stratégies, politiques et régulation. Les définitions des termes essentiels sont regroupées dans un glossaire en fin d’ouvrage. L’auteur y présente avec rigueur les cadres d’analyse et les grilles de lecture nécessaires à l’étude des structures et des évolutions de la filière cinématographique. Cette nouvelle édition met en lumière les problématiques et les débats actuels.]]>
» L'économie du cinéma en 50 fiches ( Armand Colin ) : 06/04/2016 /armand-colin/economie-du-cinema-en-50-fiches/9782200613952-p-34777.html

L’illustratrice Chez Gertrud met en scène 50 robes cultes du cinéma : 50 films à deviner. Un beau-livre miniature sur le cinéma et ses silhouettes les plus glamours. Un livre-jeu entièrement visuel. Sur chaque page : une silhouette féminine, une charmante tenue, un attirail remarquable… tirés d’un grand film – magnifiquement illustrés – à identifier grâce aux indices glissés dans l’image. À la fin du livre : les réponses.]]>
» 50 robes, 50 films à deviner ( Milan et demi ) : 06/04/2016 /milan-et-demi/50-robes-50-films-deviner/9782745976215-p-34779.html

L’illustrateur Nicolas Barrome Forgues dresse le portrait de 50 créatures cultes du cinéma : 50 films à deviner. Un beau-livre miniature sur le cinéma et ses personnages les plus inquiétants. Un livre-jeu entièrement visuel. Sur chaque page : un monstre, un animal terrifiant, une forme de vie inédite… tirés d’un grand film – monstrueusement bien illustrés – à identifier, grâce à d’éventuels indices glissés dans l’image. À la fin du livre : les réponses.]]>
» 50 créatures, 50 films à deviner ( Milan et demi ) : 06/04/2016 /milan-et-demi/50-creatures-50-films-deviner/9782745971470-p-34780.html

Diffusée sur le réseau CBS aux États-Unis de 2002 à 2009, FBI : portés disparus (Without a trace dans sa version originale) se distingue de la majorité des séries US qui lui sont contemporaines par bien des aspects. De tonalité résolument libérale, au sens étasunien du terme, elle accuse volontiers, au gré des quelque cent soixante épisodes qui la composent, le trait de ce qu’il est convenu de nommer le « rêve américain », en pointant tout à la fois les prestiges et les défaillances, les tares, en un mot, qui sont consubstantielles de ce rêve aux bien sombres accents. L’univers humain dont la série dresse le tableau n’est dans son ensemble pas moins sombre, les êtres que l’on y croise y formant une drôle de communauté que réunissent quelques syndromes plus particulièrement, le mal-être largement familial, le sentiment de culpabilité, de sorte que ce qui y rassemble (et fait se ressembler) est simultanément ce qui isole et sépare les êtres les uns des autres. Dans cet univers qui décline le principe d’une universelle et commune solitude, les policiers qui forment la brigade du FBI affectée à la recherche des personnes disparues ne sont pas en reste. Bien au-delà de la notification, conventionnelle dans la plupart des séries policières, de leur non indifférence à l’égard de ce sur quoi ils enquêtent, c’est une relation d’intimité essentielle, pour ainsi dire de projection, qui fonde le rapport des enquêteurs aux sujets de leurs enquêtes. De la sorte, il est bien possible que le motif de la disparition, qui est au cœur du dispositif de Without a trace, menace autant les policiers eux-mêmes que les personnes qu’ils recherchent, voire que dans les faits il les menace en priorité.]]>
» FBI : portés disparus - Une tristesse infinie ( L'Harmattan ) : 01/04/2016 /harmattan/fbi-portes-disparus/9782343087436-p-34806.html

Dans la « dramatique aventure de la lumière », l’écran déploie plusieurs facettes. Il masque ou émet, il intercepte ou reflète. Mais il a toujours la propriété, à lui seul réservée, de faire apparaître une image en mouvement. Les pouvoirs de l’écran enchâssé, « petit » écran inclus dans le grand, sont en premier lieu ceux du dispositif cinématographique lui-même, du poste de télévision ou du miroir (ce numéro hors-série de la revue CIRCAV accorde une large place aux films de JeanLuc Godard, Jean-Daniel Pollet, Jean Cocteau ou Michelangelo Antonioni). Toutefois, en ce début de XXIe siècle, ces pouvoirs caractérisent aussi tous les appareils de la plus récente modernité, qu’il s’agisse des caméscopes du found-footage, ou des smartphones qui imposent leurs cadres, affectant profondément les idées-formes qu’ils contribuent à faire émerger sur la surface. Ce sont tout autant la nature du spectacle cinématographique que notre rapport au monde qui se trouvent dès lors profondément modifiés dans quelques-uns des films récents pris ici en compte. Mais en se multipliant, les écrans deviennent intrusifs. Leur présence insistante est presque impossible à esquiver. Ils se confondent même en certains cas avec l’appareil de prise de vue. Ces écrans du pouvoir, politique ou médiatique, sont au cœur même d’œuvres capables de les questionner, notamment celles de Guy Debord ou de Federico Fellini – parmi d’autres évoquées ici.]]>
» Ecrans de cinéma [des écrans du pouvoir au pouvoir des écrans] ( L'Harmattan ) : 01/04/2016 /harmattan/ecrans-de-cinema-des-ecrans-du-pouvoir-au-pouvoir-des-ecrans/9782343067032-p-34833.html

Le thème principal de ce numéro est consacré à la représentation des grandes figures d’Amérique latine dans le cinéma latino-américain (Bolívar, Perón, las madres de Plaza de Mayo, Gaitán, Frida Kahlo, Glauber Rocha, Che Guevara...), sous la forme d’analyse de films et de séquences filmiques. On y trouvera également un extrait du scénario du dernier film de Pablo Agüero sur Eva Perón (Eva no duerme / Eva ne dort pas). Une rubrique « reseñas » propose des recensions de livres récemment publiés autour du cinéma latino-américain. Dans ce numéro, une recension sera consacrée à Pablo Larraín et une autre au Pernambuco.]]>
» Cinémas d'Amérique latine n° 24 - Regards cinématographiques sur les grandes figures latino-américaines ( Presses Universitaires du Midi ) : 01/04/2016 /presses-universitaires-du-midi/cinemas-amerique-latine-24/9782810704385-p-34810.html

Première étape dans la création d'une série télé, la rédaction de la bible est décisive dans le développement du projet. Fiche d'identité qui devra convaincre le producteur, elle comporte tous les codes et éléments essentiels qui se trouveront dans la série. Illustré de nombreux exemples de séries à succès, cet ouvrage, unique en France, présente toutes les techniques pour rédiger ce document, de l'élaboration du concept en passant par l'écriture des fiches personnages jusqu'à la rédaction du pilote. Scénaristes en herbe, étudiants en cinéma, acteurs rêvant d'écrire, professionnels de l'audiovisuel ou passionnés de séries, tous pourront se lancer dans l'aventure en suivant pas à pas les conseils et la méthode proposée.]]>
» Ecrire une serie télé - Toutes les astuces pour rédiger une bible efficace ( Eyrolles ) : 01/04/2016 /eyrolles/ecrire-une-serie-tele/9782212563795-p-34759.html

Le Fils de Saul de László Nemes est venu récemment ranimer la question de la représentation cinématographique du génocide juif. C’est ainsi que le film de Steven Spielberg, La Liste de Schindler, s’est de nouveau retrouvé au cœur de tous les débats. Le constat est accablant : plus de vingt ans après sa sortie, celui-ci pâtit toujours de la polémique qu’il a provoquée et se trouve aujourd’hui réduit à quelques lieux communs qui semblent empêcher toute réévaluation critique. Or La Liste de Schindler est une œuvre complexe, foisonnante, hybride – parfois malhabile, toujours passionnante. Elle est surtout une déclaration de foi en faveur d’une certaine forme de cinéma : un cinéma fictionnel, narratif, figuratif, en un mot classique. Forme largement dominante certes, mais dont Spielberg prouve avec ce film l’incroyable richesse sémantique – pour peu que l’on sache lire et déchiffrer ce qui nous est donné à voir. « J’aime beaucoup Steven Spielberg et ses films mais, quand il a réalisé La Liste de Schindler, il n’a pas suffisamment réfléchi à ce qu’étaient le cinéma et la Shoah, et comment les combiner », aurait déclaré le réalisateur de Shoah, Claude Lanzmann. Ce livre souhaiterait précisément démontrer le contraire.]]>
» L'étoile jaune et le manteau rouge - Une étude de La Liste de Schindler ( Les Impressions nouvelles ) : 01/04/2016 /les-impressions-nouvelles/etoile-jaune-et-le-manteau-rouge/9782874493201-p-34826.html

Combien de vies Hervé Bourges aura-t-il vécues ? Journaliste, fondateur et directeur de la première école internationale de journalisme créée en Afrique, patron de chaînes de télévision et de radio, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel, militant de la francophonie… Il a été de toutes les grandes aventures politiques et médiatiques des dernières décennies. Fort de ces expériences marquantes, il porte un regard aussi mordant qu’amusé sur la société d’aujourd’hui. Homme de conviction, il entremêle, dans cet abécédaire très personnel, réflexions, rencontres et passions, ne cachant rien de ses enthousiasmes et de ses indignations, en homme libre qu’il a toujours été. De l’Afrique aux bistrots parisiens, de la télévision au football, du Tour de France aux confidences des personnalités recueillies hors antenne, du théâtre à l’amour de la langue, de la cuisine à la musique, il fait passer une bouffée d’air frais en cette époque noyée dans le prêt-à-penser.]]>
» J'ai trop peu de temps à vivre pour perdre ce peu ( Le Passeur ) : 31/03/2016 /le-passeur/ai-trop-peu-de-temps-vivre-pour-perdre-ce-peu/9782368904169-p-34830.html

Le théâtre mémoriel qui s’est développé ces dernières années est souvent considéré comme apolitique parce que consensuel. Violence de l’histoire et « poélitiques » théâtrales contemporaines (domaines anglais, français et francophone occidental) entend montrer qu’il n’en est rien. A partir d’un ensemble de pièces de Bond, Crimp, Mouawad, Cormann, Visniec et Kalisky, l’auteur définit un « théâtre de la mémoire et du traumatisme ». On cherche ici à montrer comment ce théâtre peut se faire réparateur du sujet dévasté par la violence de l’histoire de la seconde moitié du XXe siècle. Devenir sujet de son histoire, telle est la visée éminemment politique à laquelle participe ce théâtre de la mémoire et du traumatisme. De quelles façons ? C’est à cette question que l’on tente de répondre ici en analysant notamment la transmission de discours engagés. Aussi les différentes modalités d’action de ce théâtre pleinement engagé convergent-elles « au profit d’une libération vertigineuse », pour reprendre les mots de Jean Genet. ]]>
» Violence de l’histoire et poélitiques théâtrales contemporaines - Domaines anglais, français et francophone occidental ( L'Entretemps ) : 31/03/2016 /entretemps/violence-de-histoire-et-poelitiques-theatrales-contemporaines/9782355392146-p-34825.html

Marcel achard, prince du théâtre de boulevard et scénariste prestigieux, réunit en sa personnalité une relation amour-haine avec le cinéma qui fut celle d’une génération entière d’écrivains et de dramaturges (Henri Jeanson, Henri Bernstein, Sacha Guitry…). On voit bien à travers les meilleures prestations cinématographiques d’Achard (la collaboration avec Ernst Lubitsch sur La Veuve joyeuse, L’Alibi de Pierre Chenal, L’Étrange Monsieur Victor de Jean Grémillon, et surtout l’admirable Madame de… de Max Ophuls) qu’il possédait un sens et une ambition scénaristique qui allaient bien au-delà du dialogue bien troussé. Quoique de façon inégale, La Valse de Paris, sa propre réalisation, situe sa sensibilité. C’est cette zone franche entre cinéma et théâtre que le présent numéro entend explorer.]]>
» Double Jeu n° 12 - Marcel Archard entre théâtre et cinéma ( Presses universitaires de Caen ) : 31/03/2016 /presses-universitaires-de-caen/double-jeu-12/9782841337798-p-34803.html

Qui se souvient que Joseph Kessel a écrit une trentaine de scripts pour le cinéma ? Ou que Jean Giono signa le scénario d’un film dont Jean-Luc Godard fut convaincu qu’il était le symbole de la modernité cinématographique ? Comme eux, Céline, André Malraux, Julien Green, Roger Nimier, Françoise Sagan, Patrick Modiano, Romain Gary, Michel Houellebecq, Emmanuel Carrère, François Bégaudeau – et bien d’autres encore – ont mis leur talent d’hommes de lettres au service du cinéma en tant que scénaristes, dialoguistes et parfois réalisateurs. Les Écrivains du 7e art est une plongée amoureuse dans ces aventures cinématographiques parfois méconnues, qui convoque également les figures d’Éric Rohmer, François Truffaut, Arnaud Desplechin pour interroger la notion d’« auteur de cinéma », et tenter de remettre en lumière certains films aujourd’hui oubliés ou injustement mésestimés.]]>
» Les écrivains du 7e art ( Séguier ) : 31/03/2016 /seguier/les-ecrivains-du-7e-art/9782840496953-p-34824.html

Chacun de nous possède, à la naissance, une voix unique. Mais, vers l’âge de 6-7 ans, celle-ci commence à se déformer à cause de la croissance et des tensions émotionnelles (stress de la vie quotidienne, remarques négatives : « tais-toi, tu chantes faux ! »…). Or, pour Raymonde Viret, professeur de chant d’une grande expérience puisqu’elle est en activité depuis plus de cinquante ans, nous pouvons tous redécouvrir cette voix unique. Il suffit de retrouver le cri primal du nouveau-né qui, d’instinct, ouvre la bouche, inspire profondément, gonfle son ventre, descend son diaphragme… Et produit un cri très puissant qui peut durer des heures, sans abîmer ses cordes vocales ! Dans ce livre, l’auteure nous apprend à : - Bien respirer - Parler sans s’épuiser - Chanter librement - Comprendre ce que notre voix révèle… Ses conseils sont accompagnés de nombreux témoignages de ses élèves (dont beaucoup de chanteurs, acteurs, avocats…), parmi lesquels ses « 3 mousquetaires » Jacques Weber, Maxime Le Forestier, François Morel. Cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui veulent apprendre à poser leur voix pour parler en public ou chanter (artistes, enseignants, avocats…), et aux personnes qui souhaitent trouver leur voix/voie.]]>
» Trouvez votre voix ! ( Albin Michel ) : 30/03/2016 /albin-michel/trouvez-votre-voix/9782226317001-p-34827.html

Artiste atypique, Paul Klee compte parmi les artistes fondateurs de la modernité, mais aussi les plus protéiformes du XXe siècle. Son œuvre recouvre une large palette, allant de tableaux et oeuvres graphiques à des travaux de peinture sur verre, en passant par des marionnettes. Ses compositions recourent autant à des éléments figuratifs qu’à des jeux de couleurs abstraits, ainsi qu’à des combinaisons variées de différentes techniques picturales. Cette monographie illustrée, étayée de nombreuses citations de l’artiste et de documents rarement publiés, permet d’apprécier toutes les facettes d’un imaginaire fertile nourri à la fois de recherches formelles, de poésie et d’humour.]]>
» Klee ( Citadelles & Mazenod ) : 30/03/2016 /citadelles-mazenod/klee/9782850886690-p-34798.html

En quête d'émotion de Vincent Robert est une approche efficace, claire et progressive de la conception et de la construction d'un récit pour une enquête criminelle, genre le plus produit et le plus apprécié des spectateurs. Cette approche place la victime au coeur des préoccupations du scénariste, du romancier, du cinéaste, et invite à revenir sur l'émotion que doit normalement susciter l'acte ultime, irréparable et tabou qu'est un homicide.]]>
» En quête d'émotions - Une autre approche pour l'écriture d'une enquête criminelle ( CEEA ) : 29/03/2016 /ceea/en-quete-emotions/9782955479308-p-34832.html

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» Lego Star Wars : L'encyclopédie des personnages - mise à jour et augmentée ( Qilinn ) : 25/03/2016 /qilinn/lego-star-wars-encyclopedie-des-personnages/9782374930336-p-34822.html

Sommaire Préface Avant-propos : Droit d’inventaire Préambule : Effets de miroir 1. L’œuvre cinématographique et les institutions : entre radioscopie et clichés - La société du contrôle dans Matrix : une impulsion électrique dans votre cerveau ? - Le juge, le procureur et l’avocat : la justice au cinéma - La police, le droit et le cinéma : mythe et réalité - La figure du président dans les cinémas français et américain - Les représentations de l’administration publique au cinéma - Soldats et cours martiales sous la Grande Guerre au cinéma, justice ou injustice ? - L’entourage de l’homme politique vu par le cinéma français - L’héroïsation de l’avocat dans les deux versions des Inconnus dans la maison - Démocratie et état de droit dans le cinéma suédois - Le rapport entre droit et force dans Warlock (L’homme aux colts d’or) 2. L’action cinématographique dans la cité : de la carte postale à la contre-propagande - James Bond et le droit international - Les Marvels : un objet de propagande ? - Le rire tue-t-il la foi ? - Les droits de l’homme au cinéma - Le droit diplomatique, le cinéma et la télévision : quelques réflxions personnelles - Les institutions de l’ordre républicain au prisme politique de l’œuvre d’Yves Boisset - Une très brève histoire du « cinéma social » - Le cinéma commercial et populaire comme anxiolytique social - Les cinémas d’Art et essai à Perpignan : une politique de programmation, une programmation politique ? - Le cinéma, miroir de la question postcoloniale. Réflexions sur les Maghrébins dans le cinéma français - Nouvelle Vague, derniers soupirs Bibliographie sélective Liste des auteurs]]>
» CinémAction n° 158 - Cinéma, droit et politique ( Corlet ) : 25/03/2016 /corlet/cinemaction-158/9782847066326-p-34809.html

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» Penser le cinéma en peintre - L'oeuvre de Théo Angelopoulos rencontre la peinture ( Publications de l'Université de Provence ) : 24/03/2016 /publications-de-universite-de-provence/penser-le-cinema-en-peintre/9791032000441-p-34831.html

Depuis une vingtaine d’années, de nouvelles séries sont apparues tirant parti d’un formidable levier : une temporalité indéfinie et ouverte. Les héros ne sont plus ces êtres monolithiques, insensibles au travail du temps, mais des individus qui vieillissent en même temps que nous. Jamais l’attachement au monde raconté que permet la durée n’a été autant lié à l’incertitude de son destin. Les intrigues se complexifient, jouant sur les emboîtements entre épisodes, saisons et série : flashbacks et flashforwards, enchâssements et jeux sur les points de vue constituent de nouveaux modes de narration. Les séries changent nos visions du monde, pas seulement par ce qu’elles en disent, mais d’abord par la façon de le raconter. Ainsi, à leur manière, elles nous obligent à repenser le récit.]]>
» Télévision n° 7 - Repenser le récit avec les séries télévisées ( CNRS Editions ) : 24/03/2016 /cnrs-editions/television/9782271091611-p-34807.html

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» L'Avant-scène cinéma n° 631 - Les neiges du Kilimandjaro : un film de Robert Guédiguian ( l'Avant-scène cinéma ) : 23/03/2016 /avant-scene-cinema/avant-scene-cinema-631/9782847251258-p-34765.html

L'ancienne comédienne désormais psychanalyste raconte l'amitié qu'elle a entretenue avec l'acteur Bernard Giraudeau, sous la forme d'une lettre adressée à ce dernier]]>
» L'ami d'éternité ( Pygmalion ) : 23/03/2016 /pygmalion/ami-eternite/9782756418964-p-34808.html

Après avoir porté à des sommets l’art soviétique du montage, S. M. Eisenstein quitte la Russie et voyage à travers le Mexique postrévolutionnaire des années 1930. L’auteur de La Grève, du Cuirassé Potemkine, de La Ligne générale et d’Octobre y tourne Que viva Mexico!, film hors-norme, entre fiction et documentaire, entre archéologie et anthropologie, dont il ne verra aucun des montages et qui le hantera jusqu’à sa mort. Que nous apprennent les éclats de Que viva Mexico! sur le renouvellement radical de la pratique d’Eisenstein et de ses théories sur le montage, l’extase, le regard anthropologique, le temps ? Que nous révèlent les pages qui en documentent l’existence contrariée ? Comment ce film inachevé, ce non finito moderne, permet-il à son « auteur » de rejoindre le courant d’exploration du « primitif » où s’inscrivent Pablo Picasso et Max Ernst, Aby Warburg et Georges Bataille, Michel Leiris et Antonin Artaud ? Quelle valeur paradigmatique accorder à cette œuvre qui résonne intensément avec les expériences filmiques d’Orson Welles, de Maya Deren, de Glauber Rocha, de Pier Paolo Pasolini, de Raymonde Carasco ? À travers des cheminements aussi divers qu’a pu l’être la démarche d’Eisenstein, cet ouvrage propose de rouvrir la prodigieuse « boîte de Pandore » qu’aura été sa rencontre avec le Mexique et d’en mesurer, au sein des gestes créatifs contemporains, les effets fondateurs de fracture conceptuelle, théorique et poétique.]]>
» Eisenstein – Leçons mexicaines - Cinéma, anthropologie, archéologie dans le mouvement des arts ( Presses universitaires de Paris Ouest ) : 18/03/2016 /presses-universitaires-de-paris-ouest/eisenstein-lecons-mexicaines/9782840162377-p-34778.html

À la fin des années soixante, alors que de nombreuses nations en Afrique du Nord et au Moyen-Orient obtiennent leur indépendance, la question de la création d'industries cinématographiques nationales attire l'attention des politiques, qui y voient la possibilité de créer un sentiment national au sein des pays et une voix qui sera entendue à l'étranger. Elle suscite aussi l'intérêt de chercheurs et d'intellectuels comme le français Georges Sadoul ou le tunisien Tahar Cheriaa. Depuis la fin des années 1980, cette question a cependant été laissée à l'abandon. Alors que dans ces pays, le cinéma, tant comme production que comme loisir, commence à péricliter, la recherche universitaire se consacre à l'interprétation politique et esthétique des films de la région. Ce volume cherche à réhabiliter la recherche dédiée à la dimension socio-économique du cinéma maghrébin et moyen-oriental. La question des industries du cinéma est en effet aujourd'hui plus importante que jamais. Quels sont les conditions dans lesquels les films sont distribués, montrés et reçus dans le contexte politique qui secoue aujourd'hui la région MENA (Moyen-Orient / Afrique du Nord) ? De quelle façon les nouvelles technologies et la démultiplication de l'accès au film bouleversent-elles les réseaux de distribution classique ? Dans quel paysage cinématographique et culturel vivent les habitants de la région MENA ? La question de la circulation des films est fondamentale car c'est la nature même du cinéma que de voyager. Voyage d'une rive de la Méditerranée à l'autre, voyage entre les pays d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient. Ce voyage, facile pour certains, semés d'embûches pour d'autres, est l'œuvre de passeurs qui sont au cœur de ce volume, des distributeurs commerciaux aux vendeurs de DVD dans leurs échoppes, des organismes européens aux organisateurs de festivals.]]>
» Africultures n°101-102 - La circulation des films : Afrique du Nord et Moyen-Orient ( L'Harmattan ) : 18/03/2016 /harmattan/africultures-101-102/9782343085968-p-34801.html

Née en 1959, Barbie bénéficie pour la première fois en 2016 d’une véritable invitation dans une institution muséale française, au musée des Arts décoratifs à Paris. Lorsqu’elle voit le jour, ses longues jambes, sa taille fine et sa poitrine avantageuse sont vues comme une provocation. Mais son succès est bientôt planétaire. Car, au-delà d’être un jouet, Barbie est le reflet des mœurs d’une époque et de leur évolution. Elle contribue à diffuser l’image d’une Amérique prospère et conquérante, épousant les changements sociaux, politiques et culturels de plusieurs générations. Ses traits, européens au départ, se sont peu à peu diversifiés pour finir par incarner un nombre considérable de types ethniques. Elle est tour à tour enseignante, vétérinaire, hôtesse de l’air, actrice, astronaute, architecte, femme d’affaires… En 1989 elle est ambassadrice de l’Unicef, en 2012 sort une Barbie « Yes She Can », aujourd’hui elle a un compte Instagram. Puisant dans les archives inédites de la maison Mattel, mettant en valeur un patrimoine historique méconnu, ce livre très illustré, à la fois sérieux et léger, instructif et décalé, éclaire la poupée star sous des angles inattendus. N’évitant pas les clichés mais essayant plutôt de les mettre en perspective, il étudie la place de Barbie dans l’histoire du jouet et l’inscrit plus largement dans une histoire culturelle et sociale des XXe et XXIe siècles. Il évoque également la famille de Barbie et sa vie amoureuse, son goût pour la mode – qui à son tour a inspiré des créateurs comme Christian Louboutin ou Jeremy Scott –, mais aussi les coulisses de sa fabrication ou ce rose qui ne la quitte pas. Ce livre contient même une interview exclusive de Barbie par Frédéric Beigbeder ! Ce sont tous les paradoxes de Barbie, ses ambiguïtés et son éclectisme qui font de ce jouet unique le siège de nos enthousiasmes ou de nos réticences.]]>
» Barbie ( Les arts décoratifs ) : 18/03/2016 /les-arts-decoratifs/barbie/9782916914602-p-34821.html

Venez découvrir comment comprendre, examiner, analyser, construire, et déconstruire une comédie, tout en étant toujours capable de rire aux éclats. Cet ouvrage fournit un nouveau paradigme qui permet de maîtriser les mécanismes de la comédie ainsi que des outils pratiques et éprouvés pour écrire une comédie. Ce sont des concepts, des percepts, des techniques, et des approches de problèmes vieux comme le monde qui se posent lors de l’écriture, de la mise en scène, et de l’interprétation de comédies. Les outils proposés par Steve Kaplan dans ce livre s'adressent ainsi tout à la fois aux scénaristes, aux acteurs, aux producteurs, aux directeurs littéraires, aux enseignants ou autres, car la comédie n'est jamais mieux comprise que lorsqu'elle est perçue comme une forme d’art homogène. Steve Kaplan explore les outils méconnus et les principes de la comédie : -qu'est-ce que c'est ? -comment cela fonctionne-t-il ? - pourquoi cela marche-t-il ? - que se passe-t-il quand ça ne marche pas ? - comment résoudre le problème ? En prenant comme point de départ l’équation comique suivante : La comédie traite d’un gars ou d’une fille ordinaire se battant contre d’insurmontables bizarreries sans avoir toutes les compétences et tous les outils requis pour l’emporter et qui pourtant ne perd jamais espoir ; Steve Kaplan propose des outils pour analyser, améliorer ou corriger vos comédies. L’objectif ultime étant de vous donner les outils et les principes dont vous avez besoin pour écrire des scénarios à succès.]]>
» L'écriture d'une comédie - Les outils indispensables ( Dixit ) : 18/03/2016 /dixit/ecriture-une-comedie/9782844811691-p-34786.html

"Une promenade inspirée parmi les plus beaux panoramas de France et d'ailleurs, pour apprendre à capter l'essence d'un paysage avant de l'immortaliser." Qui n'a jamais été déçu en regardant ses photos d'un magnifique panorama devenu étendue plate et sans saveur sur le tirage ? Photographier les paysages est l'une des disciplines les plus difficiles qui soient, tant il est délicat de transcrire en deux dimensions les émotions qui nous saisissent devant le spectacle de la nature, d'un monument ou d'une ville. Trouver son sujet, appréhender un lieu afin de lui rendre justice par l'image, lire la lumière et choisir l'heure, le jour ou la saison, construire la scène avant de cadrer... autant d'étapes à ne pas négliger pour réussir dans ce domaine tout en subtilité, Grâce à l'expérience de Fabrice Milochau, arpenteur de lieux magiques depuis des années, et à ses explications limpides qui vous guideront en douceur, ce livre vous amènera à mieux comprendre l'essence des paysages que vous avez sous les yeux et vous aidera à faire les bons choix (point de vue, focale, cadrage...) pour mettre en valeur leur beauté.]]>
» Les secrets de la photo de paysage - Approche - Composition - Exposition ( Eyrolles ) : 17/03/2016 /eyrolles/les-secrets-de-la-photo-de-paysage/9782212143966-p-34793.html

Concevoir, produire, mettre en espace, communiquer, accueillir... De l'idée initiale au vernissage, découvrez les étapes et les savoir-faire qui permettent de monter une exposition. Comment naissent les projets ? Avec quels outils et méthodes les met-on en oeuvre ? Quels sont les moments clés ? Autant de questions auxquelles cet ouvrage répond, à travers la présentation des différents intervenants d'une exposition : commissaire, chargé de production, scénographe, graphiste, éditeur, régisseur, chargé de communication, chargé de l'accueil des publics. Les auteures, qui travaillent avec les plus grands musées français, présentent ici leur pratique quotidienne et leur vision du métier. Elles proposent ainsi une approche vivante et professionnelle de la genèse d'une exposition : - chaque chapitre présente concrètement une étape et un métier de l'exposition ; - des fiches-métiers détaillent les qualités requises, les pistes de formation, les associations professionnelles existantes ; - des entretiens avec des professionnels apportent un éclairage différent sur la pratique du métier, ou une ouverture sur des professions connexes ; - un cahier couleur illustre en images les différentes étapes de réalisation d'une exposition. Ce guide pratique s'adresse autant aux professionnels des musées qu'aux étudiants désireux de découvrir ces métiers, et aux indépendants souhaitant travailler sur des expositions.]]>
» Concevoir et réaliser une exposition - Les métiers, les méthodes ( Eyrolles ) : 17/03/2016 /eyrolles/concevoir-et-realiser-une-exposition/9782212143836-p-34792.html

En finissant ce livre, Claude Chabrol était habité d’une crainte, celle de paraître sympathique. Hélas pour lui, il semble que celle-ci ait été parfaitement fondée. En lisant ces Pensées, répliques et anecdotes, on retrouve en effet avec bonheur toute la malice et l’esprit du metteur en scène. En particulier son coup d’œil gourmand et impitoyable lorsqu’il s’agit de déceler le ridicule de nos mœurs en général, mais aussi de l’argent roi, de la bourgeoisie, des œuvres humanitaires, du cinéma et de la télévision en particulier. Qu’il évoque les cons les plus splendides qu’il a côtoyés, les points communs entre critiques cinématographiques et gastronomiques, ou encore ses rapports avec Jean-Luc Godard, Claude Chabrol tire à vue avec une bonne humeur contagieuse. On ne peut pas tout avoir. Et puis d’abord où le mettrait-on ? On ne doit pas avoir plus d’argent que son imagination ne permet d’en dépenser. La bêtise est infiniment plus fascinante que l’intelligence, infiniment plus profonde. L’intelligence a des limites, la bêtise n’en a pas.]]>
» Pensées, répliques et anecdotes ( le Cherche Midi ) : 17/03/2016 /le-cherche-midi/pensees-repliques-et-anecdotes/9782749149837-p-34790.html

La collection complète des photographies de fleurs de Robert Mapplethorpe présentée dans un seul ouvrage, pour le plus grand bonheur de ses admirateurs de la première heure et de tous les passionnés de fleurs et de photographie florale. Ouvrage réalisé en collaboration avec la Fondation Robert Mapplethorpe, avec un avant-propos de Dimitri Levas, ami proche de Mapplethorpe, et une introduction de Herbert Muschamp, ancien critique du New York Times.]]>
» Flora : Les Fleurs de Mapplethorpe ( Phaidon ) : 17/03/2016 /phaidon/flora-les-fleurs-de-mapplethorpe/9780714871707-p-34789.html

Dans le monde actuel du travail, savoir postuler en anglais est devenu une nécessité. Ce guide pratique vous accompagnera tout au long du processus de candidature. Vous bénéficierez ainsi de conseils et de nombreuses pistes sur la recherche d'emploi et sur les secteurs porteurs dans les pays anglo-saxons, dans les pays émergents ou, tout simplement, en France si vous visez une entreprise d'envergure internationale. Des informations précieuses, des modèles de CV et de lettres de motivation commentés par des recruteurs, ainsi qu'un guide linguistique vous permettront de bâtir un CV personnel, concis et dynamique et une lettre de motivation percutante adaptés à votre cible. Vous trouverez également dans ce guide tous les ingrédients et les bonnes recettes pour réussir vos entretiens en anglais.]]>
» Le CV et l'entretien d'embauche en anglais ( Eyrolles ) : 17/03/2016 /eyrolles/le-cv-et-entretien-embauche-en-anglais/9782212563764-p-34794.html

New York, septembre 1963 : Andy Warhol, une caméra Bolex en bandoulière, s’embarque dans un break Falcon à travers l’Amérique avec l’acteur Taylor Mead, le poète Gerard Malanga, et l’artiste Wynn Chamberlain. Direction Los Angeles, où l’attendent une exposition de ses sérigraphies à la Ferus Gallery et, surtout, une « soirée de star de cinéma » organisée en son honneur par Dennis Hopper et sa femme Brooke Hayward. Sur la mythique Route 66, tout en écoutant « Be My Baby » des Ronettes ou « Sally Go ’Round the Roses » des Jaynetts, le peintre découvre alors un diaporama pop de panneaux publicitaires, d’enseignes de néon, de motels et de diners à l’architecture Streamline Moderne, avant de débarquer Hollywood, d’y croiser son idole Marcel Duchamp, et d’y tourner un délirant film underground Tarzan and Jane Regained . . . Sort Of, qui l’imposera quelques temps après comme un maître du genre. Une cinquantaine d’années plus tard, la romancière et biographe Deborah Davis a refait, pour les besoins de ce document exceptionnel, la route exacte qu’Andy Warhol a arpenté lors de ce road trip haut en couleurs et évoque, à travers cet épisode méconnu (et pourtant fondateur) de la vie de l’artiste, cette Amérique pop des Campbell’s Soup et du Coca Cola qui irrigue l’ensemble de son œuvre. Get your kicks on Route 66 !]]>
» Andy Warhol va à Hollywood - Road trip à travers l'Amérique pop des sixties ( Rivages ) : 16/03/2016 /rivages/andy-warhol-va-hollywood/9782743635862-p-34782.html

La mythologie gréco-romaine est restée la principale source d’inspiration des écrivains et des artistes depuis l’Antiquité jusqu’au milieu du xxe siècle. Par son inventivité et son intelli- gence, elle est porteuse de vérités profondément ancrées dans la pensée occidentale. Depuis Hésiode et Homère jusqu’à Gide, Camus ou Yourcenar, en passant par les auteurs de la Renaissance, de l’âge classique et les poètes romantiques ou symbolistes, cette anthologie donne à lire et contempler plus de 200 textes et 400 oeuvres. Autour de quarante mythes fon- dateurs, la constellation d’extraits et d’images choisis au fil de trente siècles d’histoire littéraire et artistique, réflète l’ex- traordinaire fécondité de ces récits conjuguant le merveilleux, l’épique autant que la philosophie.]]>
» Ecrire la mythologie - D'Homère à Yourcenar ( Citadelles & Mazenod ) : 16/03/2016 /citadelles-mazenod/ecrire-la-mythologie/9782850886676-p-34774.html

Qu’est-ce que le théâtre ? Quelles sont les particularités de chaque époque de l’histoire du théâtre français ? Quelles sont les conditions de représentation et les rapports avec le public propres à chaque période ? Texte et spectacle, aventure collective et lieu d’émotions individuelles, art de l’instant et institution de tous les temps, le théâtre est l’un des phénomènes culturels les plus complexes qui soient. Par lui, chaque société se donne d’elle-même un chatoiement d’images et d’interrogations. Pour en comprendre les enjeux, il faut pouvoir tout à la fois le décrire et en parcourir l’histoire, dans ses relations avec les conditions de représentation et les mutations des structures sociales, des mentalités et des esthétiques. Ce manuel, réalisé avec la collaboration de spécialistes reconnus, propose une mise en perspective théorique et une histoire des genres, des salles et des troupes en même temps que l’analyse des œuvres majeures du théâtre français, depuis le haut Moyen Âge jusqu’à nos jours.]]>
» Le théâtre en France - 2e édition ( PUF ) : 16/03/2016 /puf/le-theatre-en-france/9782130735816-p-34783.html

Satyajit Ray, feu mon père, publia en 1976 son premier recueil d’articles en anglais. Our Films Their Films demeura son unique livre sur le cinéma en cette langue jusqu’à la parution du présent volume – qui comprend des articles écrits à partir de 1949, donc avant qu’il ne devienne cinéaste. Il y avait déjà quelque temps déjà que notre Société avait décidé de réunir en un livre (ou plusieurs) les articles de mon père publiés, de manière dispersée, dans différents journaux et magazines dans notre pays et à l’étranger. Mais nous n’avions pas la moindre idée de leur nombre exact. Mon père n’a jamais pris un soin méticuleux de ses textes publiés. Nous avions, toutefois, dans nos archives, un petit nombre d’articles. Pour les autres, nous avons lancé une recherche qui s’est avérée difficile car la plupart des quotidiens et périodiques où ils avaient paru avaient cessé d’exister. Au bout du compte, nos efforts nous ont permis de retrouver un certain nombre d’essais et d’entretiens, de longueur variable, qui semblaient fournir, par leurs qualités, la matière d’un livre digne de ce nom. La recherche se poursuit. Ces textes, qui étaient depuis longtemps inaccessibles aux lecteurs contemporains, offrent des aperçus révélateurs sur l’évolution de la pensée de mon père sur certains aspects du cinéma comme art visuel, sur son propre métier de cinéaste et sur son point de vue sur ces autres grands réalisateurs que sont Chaplin, Bergman, Godard et Antonioni. Sandip Ray]]>
» J’aurais voulu pouvoir vous les montrer - Conférences, notes de festivals, dessins ( G3J ) : 16/03/2016 /g3j/aurais-voulu-pouvoir-vous-les-montrer/9791092267051-p-34785.html

Evoquer Beckett et le théâtre, c'est voir surgir l'image d’un auteur réfractaire à la mise en scène, d’un tenant d’une exécution littérale des didascalies, d’un auteur, en somme, dans la lignée d’un Maeterlinck, pour qui la scène était « le lieu où meurent les chefs d’œuvre ». Le présent ouvrage propose une autre vision de la relation de Beckett à la scène, dans une approche résolument interdisciplinaire. Il retrace ainsi l’évolution de Beckett, depuis le poète et romancier des débuts jusqu’à l’auteur-metteur en scène, et analyse ses mises en scène de son premier théâtre, de Godot à Oh les beaux jours, en s’appuyant sur de nombreux documents, dont certains inédits. Ainsi s’esquisse, au fil des chapitres, un portrait de la relation de Beckett à la scène « en mouvement », épousant au plus près l’itinéraire complexe qui nous conduit, avec Beckett, de la page au plateau.]]>
» De la page au plateau - Beckett auteur-metteur en scène de son premier théâtre ( Presses Sorbonne nouvelle ) : 15/03/2016 /presses-sorbonne-nouvelle/de-la-page-au-plateau/9782878546804-p-34781.html

Béla Tarr déclarait en 1987 : « Je déteste les histoires, puisque les histoires font croire qu’il s’est passé quelque chose. Or il ne se passe rien : on fuit une situation pour une autre. De nos jours, il n’y a que des situations, toutes les histoires sont dépassées. Il ne reste que le temps. La seule chose qui soit réelle, c’est probablement le temps. » […] […] Ces propos, qui sont programmatiques de l’œuvre du cinéaste, éclairent ce qui l’a amené – à l’orée des années 1980 – à abandonner l’approche sociocritique qui fondait ses premiers films dont les histoires humaines étaient tissées des espoirs déçus du communisme. Avec la « trilogie démoniaque » (Damnation, Sátántangó, Les Harmonies Werckmeister), Béla Tarr entame une collaboration avec le romancier László Krasznahorkai. Il ne cessera, dès lors, de filmer les laissés pour compte qui parcourent les plaines boueuses de la Hongrie postcommuniste et s’égarent dans des bars vétustes, manipulés par de petits escrocs. Il élit un formalisme cinématographique strict et singulier : pellicule noir et blanc, travellings latéraux, longs plans au Steadicam accompagnant ceux qui errent, filoutent, épient ou, simplement, attendent. Enfermés dans des situations de désintégration de plus en plus radicales, hommes et animaux ont surtout pour lien la pluie, le vent et la boue qui rythment le quotidien. De la colère et de la révolte des premiers films aux œuvres récentes empreintes de désillusion, cet ouvrage propose de questionner l’œuvre d’un cinéaste majeur et pourtant trop méconnu. Une œuvre où se manifeste, dans un formalisme radical à la beauté noire, le déclin inflexible des existences et le passage implacable du temps.]]>
» Béla Tarr - De la colère au tourment ( Yellow now ) : 14/03/2016 /yellow-now/bela-tarr/9782873403737-p-34736.html

S’éloignant de la sphère strictement intime, le cinéaste autoportraitiste ne revendique pas son individualité, mais sa position et son savoir-faire d’artiste dans un « moi-ici-maintenant » du film – et, par extension, du cinéma –, pour se représenter au travail. À travers un corpus varié de films, Muriel Tinel-Temple explore les postures du cinéaste (disparition du visage au profit des mains), son espace intime (« atelier » et paysage intérieur), l’inscription de sa subjectivité par le regard et la voix ainsi que la visibilité du film comme support et matériau. L’autoportrait cinématographique ouvre, enfin, vers une mise en scène de la mémoire du cinéma par le cinéma.]]>
» Le cinéaste au travail : autoportraits ( Hermann ) : 14/03/2016 /hermann/le-cineaste-au-travail-autoportraits/9782705691905-p-34784.html

Rome ville éternelle, ville sensuelle, ville des palais et des faubourgs. Rome des fontaines, des Vespa, mais aussi du périphérique et de ses embouteillages, a inspiré les plus talentueux cinéastes. C’est cette Rome, qui fait désormais partie de notre imaginaire, qu’ Edouard Dor nous invite à revisiter en parcourant les lieux de tournage de scènes emblématiques. Plus de soixante-dix films des réalisateurs les plus prestigieux, de Vittorio de Sica à Michelangelo Antonioni, de Federico Fellini à Pier-Paolo Pasolini, en passant par William Wyler, Jean-Luc Godard, Nanni Moretti et Woody Allen, sont évoqués dans ce ciné-guide enrichi de nombreuses cartes et de trois index (films, réalisateurs, lieux).]]>
» Rome mise en scènes ( Espaces & Signes ) : 14/03/2016 /espaces-signes/rome-mise-en-scenes/9791094176078-p-34812.html

Cette étude prend appui sur les trois premiers films kabyles, La Colline oubliée, d’Abderrahmane Bougermouh (1996), Machaho, de Belkacem Hadjadj (1996), La Montagne de Baya, d’Azzedine Meddour (1997), et se poursuit avec le premier film chaoui, La Maison jaune d’Amor Hakkar (2008), avant de faire un détour vers le cinéma berbère marocain, aux côtés de son initiateur Mohamed Mernic. Après une analyse de l’organisation coutumière de la société kabyle, l’auteure étudie la place de ces structures traditionnelles dans les films analysés et dans les écrits éponymes. Elle retient des figures filmiques simples, et envisage la manière dont les cinéastes les ont utilisées pour ne rien trahir de leur société d’origine, tout en donnant à penser de possibles améliorations de ces coutumes. Elle s’intéresse tout naturellement au contexte politique et social ayant accompagné la naissance des œuvres, et aux requêtes des Imazighen les ayant précédées. Le présent ouvrage s’adresse ainsi à la fois aux publics méconnaissant la culture kabyle, et à une audience intéressée par l’analyse d’images et des sons au cinéma, le découpage, le montage… Il semblerait que cet essai soit le premier ouvrage à mettre en perspective ces baptistaires d’une possible cinématographie Tamazight.]]>
» De la naissance du cinéma kabyle au cinéma amazigh ( L'Harmattan ) : 11/03/2016 /harmattan/de-la-naissance-du-cinema-kabyle-au-cinema-amazigh/9782343085630-p-34756.html

Paulo Emílio Sales Gomes, intellectuel, homme de lettres et fondateur de la Cinemateca Brasileira, fait partie des personnalités essentielles de la critique de cinéma internationale. Grand défenseur du cinéma brésilien qu'il contribue à révéler (Cinema Novo), Sales Gomes est un personnage à multiples facettes: à la fois militant politique, critique, essayiste, historien, et conservateur de la première cinémathèque du Brésil. Auteur de Panorama du cinéma brésilien: 1896/1966 (1970), Humberto Mauro, Cataguases, Cinearte (1974), ainsi que des nouvelles littéraires Três mulheres de 3 pppês (1977), (traduit en français P...comme Polydore - 1986), il reste essentiellement connu en France pour son travail exemplaire sur Jean Vigo (Seuil, 1957) - que François Truffaut considèrera comme « le plus beau livre de cinéma jamais écrit ». Paulo Emílio Sales Gomes ou la critique à contre courant (une anthologie) présente l’édition inédite d’une soixantaine de ses courts textes sur le cinéma russe et soviétique, le néo-réalisme italien, le cinéma français, la critique selon Bazin, la question politique, ou encore le rôle des cinémathèques, articles où Sales Gomes exerce ses talents d’analyste durant les années 1950 et 1960. L’écriture ciselée et vive de Paulo Emílio Sales Gomes accompagne sa vision de chercheur engagé qui consacra sa vie à une lutte infatigable pour la conservation des films mondiaux, et à la reconnaissance du cinéma brésilien.]]>
» Paulo Emilio Sales Gomes ou la critique à contre courant - (une anthologie) ( Association française de recherche sur l'histoire du cinéma (AFRHC) ) : 11/03/2016 /association-francaise-de-recherche-sur-histoire-du-cinema-afrhc/paulo-emilio-sales-gomes-ou-la-critique-contre-courant/9782370290090-p-34755.html

Le dessin, sous toutes ses formes, intègre les chantiers d’expériences et les champs de pratiques du cinéma d’animation, depuis ses origines au XIXe siècle jusqu’aux réalisations actuelles. Ce livre présente, avec la contribution de chercheurs spécialistes du domaine et de cinéastes artistes, et avec l’appui de nombreuses analyses de films, les problématiques artistiques et les enjeux esthétiques du dessin d’animation.]]>
» Les expériences du dessin dans le cinéma d'animation ( L'Harmattan ) : 11/03/2016 /harmattan/les-experiences-du-dessin-dans-le-cinema-animation/9782343081625-p-34757.html

Los olvidados, Cría cuervos, Le Labyrinthe de Pan, L’Orphelinat... De Buñuel et Saura jusqu’aux cinéastes d’aujourd’hui, le cinéma hispanique n’a cessé de produire des figures d’enfants et d’adolescents, qui hantent la mémoire de tout cinéphile, et recueillent les plus hautes récompenses dans les festivals. Cet ouvrage propose une étude de ce véritable phénomène culturel, invite à l’analyser et à en chercher les causes dans l’Histoire refoulée des pays concernés. Il montre comment certains films ont créé des figures mythiques (celle de l’enfant-victime, celle de l’enfant-bourreau et celle de l’enfant oublié) reprises et déclinées ensuite par plusieurs générations de cinéastes. Il s’intéresse également aux cinéastes qui ont fait de l’enfance la clef de voûte de leur œuvre : des entretiens inédits avec trois d’entre eux nous éclairent sur cette obsession. Il se penche enfin sur le devenir des enfants-acteurs qui ont poursuivi une carrière cinématographique à l’âge adulte, et sur la mémoire du cinéma que leur image nous renvoie.]]>
» Enfances et adolescences dans le cinéma hispanique ( Editions Universitaires de Dijon ) : 10/03/2016 /editions-universitaires-de-dijon/enfances-et-adolescences-dans-le-cinema-hispanique/9782364411616-p-34744.html

Nastasjia, 10 ans, veut devenir comédienne. Yves Afonso, Patrick Chesnais, Jean-François Derec, Michael Lonsdale, François Morel, Denis Podalydès, Micheline Presle, Philippe Torreton, Jacques Weber lui confient leurs secrets d’acteurs… Qu’est-ce que jouer ? Comment apprendre un texte, composer un personnage, faire rire, lâcher prise, avoir du charisme ? Au théâtre et au cinéma. En menant son enquête, Nastasjia apprend que son grand-père, le philosophe Jacques Sojcher, rêvait d’être comédien quand il était jeune...]]>
» Je veux être actrice ( Riveneuve ) : 10/03/2016 /riveneuve/je-veux-etre-actrice/9782360133550-p-34758.html

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» Le temps des médias n° 26 - Afrique(s), entre histoire et mémoire(s) ( Nouveau Monde Editions ) : 10/03/2016 /nouveau-monde-editions/le-temps-des-medias-26/9782369423935-p-34761.html

«"La science peut bien multiplier ses efforts, perfectionner à l'infini ses appareils : il y a un ordre d'expériences qui échappera toujours aux mesures dont elle dispose. C'est à cet ordre d'expériences que le poème se rattache", écrit Philippe Jaccottet dans Une transaction secrète, précieuse collection de lectures par lesquelles le poète suisse ouvre à qui veut le suivre les portes de la grande bibliothèque universelle où Maurice Scève côtoie Hôlderlin, où Novalis voisine avec Paul Celan et Giuseppe Ungaretti. Imagine-t-on, mieux que ne le fait Philippe Jaccottet, dire ce qu'est la compétence si singulière de la poésie? Son pouvoir, sa nécessité, son empire? Tout au long du XXe siècle, confrontés à la dissolution sans retour des modèles anciens – les vers rimés, l'alexandrin et l'octosyllabe, la strophe, le quatrain, le sonnet... –, les poètes français n'ont cessé d'inventer leurs propres répertoires de formes nouvelles. Et cette liberté vertigineuse, avec laquelle ils ont dû composer, a généré des œuvres d'une extraordinaire singularité, d'une diversité époustouflante. C'est cela qu'entend démontrer la traversée du XXe siècle poétique que nous vous proposons dans les pages qui suivent. Bienvenue en poésie, c'est-à-dire en un territoire où on respire souvent quelque chose comme l'air du sacré, au sens que Jung donnait à ce terme : "Ce qui saisit l'individu, ce qui, venant d'ailleurs, lui donne le sentiment d'être."» Nathalie Crom.]]>
» Télérama hors-série - Le parti pris des mots. Poètes du XXe siècle ( Télérama ) : 10/03/2016 /telerama/telerama-hors-serie/9782070792641-p-34828.html

Sommaire - Demain la veille par Pierre Eugène - Trois jours à Cadix ou les Vaincus par Pierre Léon - Les anneaux saturniens de Miguel Gomes par Suzanne Liandrat-Guigues - Ceux qui demeurent. La Vanité de Lionel Baier par Eric Loret - James L.Brooks, le secret magnifique par Murielle Joudet - Le jour où par Chantal Akerman - Revoir Hôtel Monterey par Marceline Delbecq - Chantal Akerman, filmer ce qui n'est plus par Jean-Luc Outers - Amère Chronique d'un amour par Hervé Gauville - John Ford, notre sauvage par Frédéric Sabouraud - Ford et les médecins par Sylvie Pierre Ulmann - Être cet homme. Nanouk l'Esquimau de Robert Flaherty par Pierre Gabaston - Mû par la rage et la passion pour l'art par Walker Evans (présentation par Anne Bertrand) - Evans on Agee: un portrait fait de mots par Anne Bertrand]]>
» Trafic n° 97 ( POL ) : 10/03/2016 /pol/trafic-97/9782818038895-p-34732.html

Depuis près de 50 ans, Star Trek compte des millions de fans à travers le monde. Mais cet univers de science-fiction n’est pas qu’un simple délassement. Il propose un idéal social reposant sur une organisation juridique et des règles de droit très élaborées, qui servent notamment de guide pour explorer des mondes étranges et découvrir de nouvelles civilisations dans la galaxie. Au fil des séries et des films, plusieurs dizaines d’intrigues constituent autant de cas susceptibles de donner lieu à une jurisprudence dans des domaines très variés du droit. Le capitaine Kirk peut-il ainsi déroger à la Directive première, clef de voûte légale de l’exploration spatiale, sans encourir la réprobation de Spock et les foudres de ses supérieurs ? L’androïde Data, qui sert sur l’Enterprise sous les ordres du capitaine Picard, est-il une personne ou une chose ? Le lieutenant Jadzia Dax, officier scientifique de la station Deep Space 9, peut-elle être déclarée pénalement responsable pour un crime qu’aurait commis le symbiote qu’elle porte en elle ? B’Elanna Torres, ingénieur en chef sur l’U.S.S. Voyager, doit-elle répondre devant un juge de simples pensées hostiles ? Du fin fond de l’espace, nos héros et nos héroïnes de Starfleet doivent affronter des situations aussi complexes qu’inédites, parfois dangereuses, et c’est bien souvent par l’application d’une règle de droit qu’ils trouvent une solution équitable et, si possible, sans violence. Conçu de manière très accessible, fourmillant d’exemples, cet ouvrage s’adresse à tous les amateurs de science-fiction, mais également aux étudiants désireux de découvrir le droit de façon originale. Plus généralement, Le droit selon Star Trek veut illustrer que la science-fiction est un genre constamment préoccupé par notre temps et que la science juridique peut s’enrichir à son contact.]]>
» Le droit selon Star Trek ( Mare et Martin ) : 10/03/2016 /mare-et-martin/le-droit-selon-star-trek/9782849342282-p-34791.html

Les ouvrages de la collection « Anatomie d'un acteur » étudient de manière exhaustive le parcours des plus grands acteurs mondiaux, à travers une analyse de dix rôles emblématiques. Les auteurs de la collection s’attachent à comprendre pourquoi et comment ces stars du cinéma sont devenues quelques-unes des figures les plus respectées et influentes dans le monde du cinéma. Chaque titre est divisé en 10 chapitres, chacun d’entre eux étant consacré à un rôle spécifique, et illustré de photographies de plateau et de tournage.]]>
» Nicole Kidman ( Cahiers du Cinéma ) : 10/03/2016 /cahiers-du-cinema/nicole-kidman/9782866429782-p-33673.html

Acteur majeur du monde de la parfumerie et des arômes alimentaires, la maison Givaudan est à l’origine de nombreuses créations olfactives et gustatives. Depuis 250 ans, elle innove et insuffle les tendances, œuvrant en étroite collaboration avec les plus prestigieuses marques de luxe : Dior, Saint Laurent, Givenchy, Prada…Givaudan crée aussi de nouveaux goûts s’attachant les savoir-faire de grands chefs toqués. De la conception à la fabrication, des sites de récoltes aux laboratoires de recherche et aux ateliers de création des parfumeurs et des aromaticiens, l’ouvrage nous raconte la formidable aventure des parfums et des arômes à travers le monde.]]>
» Givaudan - Une odyssée des arômes et des parfums ( La Martinière ) : 10/03/2016 /la-martiniere/givaudan/9782732467191-p-33983.html

Le réalisateur de « Baisers volés » et du « Dernier métro » ne cachait pas son jeu: « Le cinéma, disait-il, c’est l’art de faire faire de jolies choses à de jolies femmes ». Il ne se priva jamais de mêler la vie, l’image, la fiction, le scénario, la réalité. Il y avait ainsi, d’un côté, le Truffaut rive droite, cravaté et sanglé ; et, de l’autre, l’individu pétri d’émotions et soumis à son tumultueux désordre intérieur. La femme idéale n’existant pas, il la modela à l’image de ses fantasmes : fatale, magnétique, audacieuse, tendre, intouchable. Du cinéma à ses propres battements de cœur, ce fut donc, pour ce merveilleux artiste, un tourbillon dans lequel les actrices seront, chacune, un vertige spécifique : amoureux de son épouse, Madeleine, fou de Jeanne Moreau, de « Framboise » Dorléac, amusé par Claude Jade, aimanté par Catherine Deneuve, envoûté par Fanny Ardant. Son existence et ses films finirent par se confondre afin de ne faire plus qu’un. Truffaut ou l’homme qui aimait les femmes ? Toutes les femmes ? Évidemment. Ce livre-enquête prouvera qu’elles le lui rendaient bien.]]>
» Truffaut et les femmes ( Grasset ) : 09/03/2016 /grasset/truffaut-et-les-femmes/9782246852421-p-34760.html

Ce livre propose un triptyque inédit : le récit historique de Pei Xing (IXe siècle) qui a inspiré le film The Assassin, le scénario original (écrit par Chu Tien-wen, A Cheng et Hsieh Hai-meng), enfin et surtout « Nuages mouvants »,la chronique de l’écriture du scénario, de la préparation et du tournage, écrite par Hsieh Hai-meng, la plus jeune des scénaristes, une personnalité forte et originale de la scène littéraire taïwanaise, qui a en partie inspiré le caractère de l’héroïne du film, une justicière rebelle qui lutte contre les tyrans dans la Chine du IXe siècle. Salué comme un chef-d’oeuvre au Festival de Cannes 2015 où il reçut le « Prix de la mise en scène », sélectionné pour concourir à l’Oscar du meilleur film étranger en 2016, The Assassin, dix-huitième long-métrage de Hou Hsiao-hsien est, selon l’expression de Jean-Michel Frodon (l’auteur de la préface) « une mutation, un voyage,un tournant dans l’art mobilisé ». Nuages mouvants fournit d’innombrables indices qui en éclairent le processus de création. On y découvre une vision particulière de la culture chinoise classique des Tang et du cinéma, on y saisit de façon vivante et incarnée la manière dont travaille Hou Hsiao-hsien. On y comprend aussi les enjeux plus vastes en termes matériels, financiers, stylistiques, « idéologiques » auxquels il est confronté. On y a enfin accès à des informations plus générales sur les conditions de tournage en Chine, à Taïwan et au Japon. Tout le travail — depuis l’écriture du scénario jusqu’à la sortie du film — est dévoilé, mêlant croquis pris sur le vif, opinions tranchées sur des réalisateurs et des films, références aux conditions de fabrication d’autres films de Hou Hsiao-hsien, réflexions sur le sens de ses comportements et de ses décisions. Les deux écrits précédant la chronique de Hsieh Hai-meng — bref récit du IXe siècle d’un côté, et de l’autre scénario rédigé au xxie siècle avec la connaissance du gigantesque corpus de romans et de films de wuxia (histoires de « chevalerie » et d’arts martiaux) — permettent de percevoir ce que peut signifier la réinvention en vue d’un art très actuel, le cinéma, d’un noyau narratif vieux de plus de mille ans.]]>
» Nuages mouvants - Chronique sur la réalisation du film "The Assassin" ( L'asiathèque ) : 09/03/2016 /asiatheque/nuages-mouvants/9782360570782-p-34747.html

L’animation japonaise, depuis son arrivée à la télévision française dans les années 1970, marquée en particulier par l’entrée fracassante de Goldorak en 1978, ne semble pas avoir tout perdu de sa faculté à déranger, à interroger et à attirer le public français. Si le vocabulaire dépréciatif associé aux « japoniaiseries » a progressivement disparu au proit d’une connaissance et d’un intérêt accrus, l’anime reste un objet suscitant passion et détestation, comme s’il fallait choisir son camp entre les studios Ghibli et Disney. Il faut dire que le contexte d’introduction de cette cinématographie, bien différent par beaucoup d’aspects de l’animation telle qu’elle est alors connue en France, est marqué par de nombreuses controverses, en particulier centrées sur la violence et la vulgarité (réelles ou supposées) des programmes choisis par les chaînes de télévision françaises – il sufit pour s’en convaincre de penser aux houleux débats suivant l’apparition de la série de combats post-apocalyptique Ken le survivant dans l’émission jeune public de TF1 Le Club Dorothée. Cet ouvrage se propose donc de revenir, grâce aux éclairages de chercheurs et journalistes issus d’horizons divers, sur les conditions de la réception, de la diffusion mais également des différentes formes de réappropriations qu’a connues l’animation japonaise suite à son introduction en France. Les textes ainsi rassemblés, originaux et novateurs, constituent l’une des premières explorations académiques sur le sujet.]]>
» L'animation japonaise en France - Réception, diffusion, réappropriations ( L'Harmattan ) : 04/03/2016 /harmattan/animation-japonaise-en-france/9782343079936-p-34740.html

La création cinématographique a longtemps été réservée aux hommes. Et lorsque les femmes s’y sont aventurées - le verbe est à propos - on n’accorda guère de crédit à leurs contributions. C’est là tout le projet des auteurs : réparer les injustices et sortir de l’oubli ces grandes figures « au féminin » qui, productrices de chefs-d’œuvre du xxe siècle, méritent d’être réinstallées au générique des génériques. D’Alice Guy « premier cinéaste » au monde, aux épouses de Pialat, Micheline et Sylvie, en passant par Mag Bodard, Christine Gouze-Rénal, Albina du Boisrouvray, Margaret Ménégoz, Julie Gayet... Femmes souvent d’exception, sujettes à des destins glorieux ou contrariés, toutes ont pris leur part à l’histoire du septième art.]]>
» La vie des productrices ( Séguier ) : 04/03/2016 /seguier/la-vie-des-productrices/9782840495802-p-34739.html

Le torture porn désigne depuis les années 2000 un sous-genre du cinéma d'horreur et d'exploitation apparu depuis longtemps déjà. Il s'agit d'histoires où des victimes sont soumises à toutes sortes de brutalités et autres atrocités dont l'issue leur sera généralement fatale. Vilipendé par la critique mais commercialement fructueux (voir la franchise Saw, le succès des Hostel…), le torture porn a relancé le débat sur la prétendue nocivité du cinéma d'horreur. Considéré comme le véhicule des pulsions sadiques et misogynes de ses auteurs et de son public, il demeure trop méprisé pour avoir fait l'objet d'une étude objective et approfondie dans notre pays. Cet ouvrage propose d'explorer les enjeux et les thèmes du sous-genre. Il remet ainsi en cause certains principes du féminisme radical et d'une pensée politiquement correcte qui tendent à l'aseptisation du cinéma horrifique. Le torture porn, héritier d'une tradition subversive du cinéma d'exploitation, y est envisagé comme le vecteur d'une sensibilité postmoderne empreinte de scepticisme envers les valeurs morales, politiques et culturelles en vigueur. Il questionne la validité du modèle patriarcal et redéfinit les enjeux de la féminité en offrant de mémorables portraits de femmes violentes et en dépeignant une masculinité en crise. Lieu de l'instabilité, de l'incertitude et de la déconstruction (des corps comme des concepts), le torture porn se dérobe aux notions établies de bien et de mal, de conservatisme et de progressisme, de haute culture et de sous-culture, pour jongler avec les paradoxes et les diversités. Il restitue au cinéma d'horreur sa force brute de questionnement et ses vertus d'inconfort.]]>
» Torture porn - L'expérience postmoderne ( Rouge Profond ) : 04/03/2016 /rouge-profond/torture-porn/9782915083866-p-34738.html

En 1999, Le Projet Blair Witch sort sur les écrans et les réalisateurs Daniel Myrick et Eduardo Sánchez lancent la mode du film faussement amateur, retraçant pas à pas la disparition d'un groupe d'apprentis cinéastes. En une décennie, le found footage se constitue en genre à part entière et offre au cinéma fantastique et horrifique quelques-uns de ses plus grands succès, dont la saga Paranormal Activity, Chronicle, Diary of the Dead, [REC], avant de s'essouffler et de quasiment disparaître. Feu de paille ou laboratoire d'une révolution cinématographique ? Ce livre examine le found footage comme forme hybride, au croisement entre réalité et fiction, pauvreté des moyens et ingéniosité des dispositifs, expérimentation et tentation mercantiliste. En exhibant la technologie de filmage, le found footage n'aspire-t-il pas en définitive à montrer ce qui demeure habituellement invisible : l'acte de voir lui-même ? S’envisage donc ici la manière dont les cinémas fantastique et d’horreur, par le biais de caméras dévoilées à l’écran, retrouvent leurs racines les plus profondes, à savoir imager la terreur. À ceci près que les monstres et les fantômes ne se tiennent plus devant la caméra mais dans l’œil même de son objectif.]]>
» Terreur du voir - L'expérience found footage ( Rouge Profond ) : 04/03/2016 /rouge-profond/terreur-du-voir/9782915083835-p-34737.html

Hollywood, ses films, ses stars, ses paillettes… Un monde ou l’illusion peut transformer la carrière d’un cinéaste brillant en une descente aux enfers rocambolesque… Le cinéma d’action est devenu depuis plus de vingt ans un must du cinéma « de genre ». À travers ce prisme cinématographique divertissant, un homme a réussi à donner ses lettres de noblesse à un genre considéré comme abrutissant. Son nom : John McTiernan. Predator, Die Hard, Last Action Hero, Le treizième guerrier… Des films cultes qui ont défini en eux-mêmes ce que le genre « actioner » peut donner de plus viscéral, tout en restant sobre et intellectuel. Voyage au cœur d’une enquête où se mêlent étroitement obsessions, économie, industrie, politique, mise sur écoute, FBI et crime organisé. Bienvenue à Hollywood, la ville ou le rêve et les millions de dollars côtoient le soleil, les palmiers et le crime…]]>
» John McTiernan : Hollywood, film d'action et politique - De l'apogée au déclin d'une carrière ( L'Harmattan ) : 04/03/2016 /harmattan/john-mctiernan-hollywood-film-action-et-politique/9782343071022-p-34745.html

Trois coups, le rideau se lève, « moteur, action, coupez »... Le comédien de cinéma est-il forcément bon au théâtre et vice-versa ? En tout cas, que ce soit côté interprétation ou réalisation, il existe une différence entre le jeu au théâtre et le jeu au cinéma, même si la sincérité est la même… Louis Jouvet n’a t-il pas dit « Au théâtre, on joue, au cinéma, on a joué » ? Sacha Guitry a également déclaré qu’il n’existe rien de plus différent que le théâtre et le cinéma : « Le théâtre c’est positif, la pellicule est négative. Le théâtre, c’est le dessin. Le cinéma, c’est la litho. » Un bouquet d’acteurs people qui traversent le labyrinthe du double je(u) développent leurs réflexions en miroir des phrases de Louis Jouvet et de Sacha Guitry. Puis des metteurs en scène évoquent aussi leur manière de travailler dans les deux disciplines…]]>
» Acteur et comédien - D'une passion à l'autre ( L'Harmattan ) : 04/03/2016 /harmattan/acteur-et-comedien/9782343073330-p-34741.html

Il existe un genre cinématographique capable de transformer en vedettes hollywoodiennes les membres d’une famille inuit et d’éveiller la conscience mondiale sur l’usage des armes à feu ou sur les dangers d’une politique étrangère. Un genre qui permet de découvrir des civilisations lointaines ou de s’insurger contre les conditions de travail dans les sociétés contemporaines, d’observer au plus près la vie des animaux, de témoigner contre les génocides en recueillant la parole de ceux-là mêmes qui les ont perpétrés. Un genre poétique, autobiographique, engagé, contemplatif, polémique… Formidable laboratoire de recherches et de formes, le cinéma documentaire est aujourd’hui reconnu comme un art à part entière. En mêlant de plus en plus étroitement la dimension strictement documentaire à la dimension fictionnelle, il rend poreuse, voire obsolète, la frontière traditionnelle entre « réalisme » et « imaginaire ». Sa puissance émotive n’en est que plus forte ; et les plus grands cinéastes s’y sont illustrés, de Clouzot à Wim Wenders, sans oublier Louis Malle ou Wang Bing. De A comme Antonioni à Z comme Z32, en passant par M comme Chris Marker, F comme Fahrenheit 9/11, R comme Jean Rouch ou W comme Frederick Wiseman, à travers plus de 500 entrées, ce dictionnaire questionne ces films « pas tout à fait comme les autres » (Chris Marker), et propose une somme sans équivalent sur le sujet.]]>
» Dictionnaire du cinéma documentaire ( Vendémiaire ) : 04/03/2016 /vendemiaire/dictionnaire-du-cinema-documentaire/9782363581792-p-34710.html

Dîner chez Marlène, de Georg A. Weth, est une invitation à découvrir une Marlène Dietrich inédite, cuisinière et hôtesse attentive. Ici, les robes lamées d'argent, les voilettes vaporeuses, ou le célébrissime manteau de cygne, tout ce qui contribua à créer l'un des plus grands mythes du cinéma du XXe siècle, sont remplacés par un simple tablier; Marlène ne joue plus les femmes fatales devant l'objectif d'une caméra, mais s'affaire en maîtresse de maison devant un fourneau ... Davantage qu'un simple recueil de recettes, ce livre nous permet d'entrer dans l'intimité de 1'« Ange bleu ». Marlène était fière de savoir cuisiner pour ceux qu'elle aimait, et l'excellence de sa table était notoire parmi les gourmets. Cet ouvrage mélange anecdotes, témoignages d'acteurs célèbres et de chefs étoilés. On y trouve des recettes devenues légendaires, comme le fameux pot-au-feu, le « consommé magique », ou les oeufs brouillés spécialement préparés par Dietrich pour John Gilbert, Joseph von Sternberg, John Wayne, Jean Gabin, Edith Piaf, ou encore Jean-Claude Brialy. Abondamment illustré, Dîner chez Marlène, est à la fois un parcours culinaire et le portrait d'une femme passionnée pour qui faire la cuisine et partager un repas était toujours affaire d'amitié, et parfois d'amour...]]>
» Dîner chez Marlene - Le livre des recettes de Marlene Dietrich ( Michel de Maule ) : 03/03/2016 /michel-de-maule/diner-chez-marlene/9782876236240-p-34753.html

Maîtriser les techniques d'animation des grands maîtres du dessin animé est toujours aujourd'hui un préalable indispensable à l'apprentissage des jeunes dessinateurs, y compris pour l'animation moins traditionnelle qu'est la 3D, par exemple. Célèbre animateur passé par les studios Disney (Fantasia, Bambi...) et Tex Avery, Preston Blair donne ici un cours sur le dessin des personnages, des corps et du mouvement, en mettant l'accent sur la perspective, la physionomie et les émotions, la synchronisation de la caméra, du personnage et du son, le traitement des arrière-plans et l'élaboration des storyboards. Il répertorie également les erreurs les plus habituelles à éviter quand on fait bouger (courir, danser, tomber...) un personnage. Enfin réédité en langue française, ce classique indémodable de l'art de l'animation est un guide essentiel pour tous ceux qui se destinent au dessin animé, au jeu vidéo et à la 3D.]]>
» Cartoon - L'animation sans peine ( Eyrolles ) : 03/03/2016 /eyrolles/cartoon/9782212143676-p-34751.html

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» Cahiers du Cinéma n° 720 - Hommage à Jacques Rivette ( Cahiers du Cinéma ) : 03/03/2016 /cahiers-du-cinema/cahiers-du-cinema-720/9782866429812-p-34750.html

Les mémoires tant attendus de Grace Jones, muse, mannequin et légende de la musique, qui évoque sans tabou sa vie, de ses jours avec Andy Warhol au Studio 54 à sa collaboration avec l’artiste Jean-Paul Goude. Autant d’expériences qui feront de Grace Jones, fille d’évêque, une icône de la mode.]]>
» Je n'écrirai jamais mes mémoires ( Séguier ) : 03/03/2016 /seguier/je-ecrirai-jamais-mes-memoires/9782840496984-p-34754.html

De Georges Méliès à Tim Burton, en passant par Pedro Almodóvar, Orson Welles, Jean-Luc Godard, Steven Spielberg ou encore François Truffaut, l’objectif n’est pas ici celui d’une anthologie exhaustive, mais bien d’une sélection de cinéastes ayant bouleversé durablement le cinéma mondial – dont des réalisateurs non-occidentaux tels que le Japonais Yasujirō Ozu ou l’Indien Satyajit Ray. Dans une volonté de sortir du discours traditionnel sur le cinéma, Andy Tuohy, graphiste et illustrateur britannique, revisite chaque artiste par le biais d’un portrait reflétant sa vision personnelle. Les textes de Matt Glasby, critique de cinéma, replacent le cinéaste dans le contexte de sa création – sa démarche, ses sujets de prédilection, ses influences, etc. –, reviennent sur ses principaux films et délivrent une anecdote marquante ou amusante sur sa vie. En fin de livre, un glossaire rappelle les termes et les courants essentiels de l’histoire du cinéma.]]>
» Artographic : les grands cinéastes de A à Z ( Prisma ) : 03/03/2016 /prisma/artographic-les-grands-cineastes-de/9782810416547-p-34800.html

Les ouvrages de la collection « Anatomie d'un acteur » étudient de manière exhaustive le parcours des plus grands acteurs mondiaux, à travers une analyse de dix rôles emblématiques. Les auteurs de la collection s’attachent à comprendre pourquoi et comment ces stars du cinéma sont devenues quelques-unes des figures les plus respectées et influentes dans le monde du cinéma. Chaque titre est divisé en 10 chapitres, chacun d’entre eux étant consacré à un rôle spécifique, et illustré de photographies de plateau et de tournage.]]>
» George Clooney ( Cahiers du Cinéma ) : 03/03/2016 /cahiers-du-cinema/george-clooney/9782866429799-p-33672.html

Pour le cinéma sinophone, le passé est un sujet d’avenir… Qu’est-ce que le rétro ? Pastiche et références multiples et maniaques au passé, certes ; mais au-delà, y a-t-il plus qu’une mode ? Est-ce une démarche assumée portant expression de revendications ? Le regard en arrière est-il une volonté de freiner la fuite en avant, en cultivant le plaisir du temps retrouvé, qui permet de favoriser notre transition vers un autre âge, moins inquiet ? Sans vouloir donner de réponse définitive à ces multiples interrogations, Corrado Neri fait la synthèse des grands travaux qui étudient ce mouvement, largement plus complexe que l’expression d’une simple nostalgie, et s’attache à cerner, en s’appuyant sur de nombreux exemples et sur des analyses détaillées de films importants, tels ceux de Hou Hsiao-hsien, Edward Yang, Tsai Ming-liang et bien d’autres, ce que les Taïwanais, les Hongkongais, les Chinois tentent d’exprimer — de plus en plus ensemble — par-delà la grande variété des oeuvres étudiées. Une postface de Stéphane Corcuff, directeur de la collection « Études formosanes », dont Rétro Taiwan est le premier titre, élargit les perspectives en définissant les objectifs de la collection et en situant l’ouvrage de Neri dans le contexte des recherches à mener sur Taiwan considérée non pas comme « une autre Chine », mais comme « un morceau du monde ».]]>
» Rétro Taiwan - Le temps retrouvé dans le cinéma sinophone contemporain ( L'asiathèque ) : 02/03/2016 /asiatheque/retro-taiwan/9782360570652-p-34773.html

Il nous a fait redécouvrir La Fontaine, Rimbaud et Céline. Il incarne l'esprit et le panache de la langue française. En prose, en vers et même en verlan, il a donné sa voix à d'immenses auteurs, auxquels il sait faire respirer l'air de notre temps - en racontant la fureur du Misanthrope à l'ère du téléphone portable, ou la sensualité de "La Laitière et le pot au lait" sur l'air d'une publicité pour Dim. Il a quitté l'école à quatorze ans pour devenir apprenti coiffeur. Il est aujourd'hui l'un de nos plus grands comédiens, célébré pour ses lectures-spectacles, couronné par la Mostra de Venise pour son rôle dans son dernier film, L'Hermine. Dans son autobiographie, Fabrice Luchini livre le récit d'une vie placée sous le signe de la littérature, à la recherche de la note parfaite.]]>
» Comédie française - Ca a débuté comme ça... ( Flammarion ) : 02/03/2016 /flammarion/comedie-francaise/9782081379176-p-34748.html

Annales du concours d'admission à l'école Nationale Supérieure Louis Lumière 2014 Section Son.]]>
» Annales du concours d'admission à l'école Nationale Supérieure Louis Lumière - 2015 - Section Son ( Ecole nationale supérieure Louis-Lumière ) : 01/03/2016 /ecole-nationale-superieure-louis-lumiere/annales-du-concours-admission-ecole-nationale-superieure-louis-lumiere/ellans15-p-34771.html

Annales du concours d'admission à l'école Nationale Supérieure Louis Lumière 2014 Section Photographie (concours unique et recomposé à partir de 2006). Les 2 options PDV (Prise de vue) et TDI (traitement des images) sont remplacées par une section unique articulée autour d'un tronc commun.]]>
» Annales du concours d'admission à l'école Nationale Supérieure Louis Lumière - 2015 - Section Photographie ( Ecole nationale supérieure Louis-Lumière ) : 01/03/2016 /ecole-nationale-superieure-louis-lumiere/annales-du-concours-admission-ecole-nationale-superieure-louis-lumiere/ellanpp15-p-34770.html

Annales du concours d'admission à l'école Nationale Supérieure Louis Lumière 2014 Section Cinéma.]]>
» Annales du concours d'admission à l'école Nationale Supérieure Louis Lumière - 2015 - Section Cinéma ( Ecole nationale supérieure Louis-Lumière ) : 01/03/2016 /ecole-nationale-superieure-louis-lumiere/annales-du-concours-admission-ecole-nationale-superieure-louis-lumiere/ellanc15-p-34769.html

Pensé pour les artistes et leur entourage professionnel, ce guide décrypte les relations des artistes à leurs fans, et les enjeux stratégiques d’une communication/promotion web autour d’un projet artistique. En partant du principe que chaque artiste développe un regard et des projets spécifiques, l’auteure Emily Gonneau détaille de manière pratique les fonctionnalités et les usages d’un ensemble d’outils (Facebook, Youtube,Twitter, Instagram, Periscope, Bandcamp, etc.) et en relève les pièges à éviter. Cet ouvrage propose ainsi des conseils sous forme de fiches et d’interviews sur la planification d’une communication, la mise en place d’un community management, d’une campagne de crowdfunding, d’une opération de promotion (avec ou sans moyens financiers), etc. Il délivre également des notions en matière de commercialisation et de monétisation sur Internet. Un guide pour mieux se développer dans la jungle des plateformes et des applications web, et accompagner les artistes dans ce qui reste au cœur de leur démarche : créer.]]>
» L'artiste, le numérique et la musique - Comment exister dans la jungle d'internet ( Irma ) : 01/03/2016 /irma/artiste-le-numerique-et-la-musique/9782367480244-p-34743.html

Cet ouvrage a pour objectif de présenter des œuvres cinématographiques (blockbusters, films de cinéphile, d’animation ou jeux vidéo) afin d’amener, via le support de l’image, le lecteur pouvant manquer de culture philosophique à entrer plus facilement dans le corpus des œuvres de la tradition. Chaque support propose une analyse filmique précise ayant pour vocation de conduire à réfléchir tant sur des notions fondamentales de la philosophie que sur les œuvres célèbres qui les ont portées. Ainsi ont été retenus dans le présent opus, consultable comme un guide ou un manuel, les films qui participent de ce regard philosophique sur le monde, en ce qu’ils rejoignent et illustrent les préoccupations et l’ensemble des textes des philosophes, depuis l’Antiquité grecque jusqu’à nos jours. Le jeu d’échecs du Septième sceau peut désormais, au fil des pages, croiser sans pâlir le Joker de Batman ou encore John Rambo… Ce livre espère éveiller le sens critique de chacun, lui rappeler l’esprit de sérieux qui se niche d’aventure derrière le divertissement.. et également, par là-même, le sortir de la léthargie ambiante, capacité de s’étonner de l’ordinaire en jugeant qui désigne le statut même de la vérité (l’aléthéia grecque) dont est ontologiquement en quête la philosophie.]]>
» Philosofilms - La philosophie à travers le cinéma ( Bréal ) : 26/02/2016 /breal/philosofilms/9782749534947-p-34749.html

Si vous pensez que les entretiens de personnalité et de motivation constituent une formalité et que l’admissibilité garantit l’admission, cette Bible n’est pas pour vous ! Ces entretiens sont en effet tout à la fois complexes, délicats, très sélectifs et présentent même souvent, de par leurs coefficients, une dimension éliminatoire. Loin des fantasmes et « trucs » parfois présents sur les forums, ils requièrent, à plusieurs niveaux, une préparation sérieuse, intense et soignée de votre part. Quel que soit votre niveau d’études et l’école à laquelle vous aspirez, vous devez impérativement vous préparer. La vocation de ce livre est de vous aider à assimiler les attentes principales des jurys et de vous donner des moyens d’y répondre. Reposant sur l’ample expérience des auteurs et de témoignages d’étudiants et de membres de jurys, contenant de nombreux conseils et astuces, cette Bible, résolument tournée vers l’opérationnel, constitue l’outil de dissection, de compréhension et de préparation aux entretiens le plus complet jamais publié. Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas …]]>
» La bible des entretiens de motivation - 3e édition ( Studyrama ) : 26/02/2016 /studyrama/la-bible-des-entretiens-de-motivation/9782759031689-p-34795.html

Des cinéastes aussi importants que Théo Angelopoulos, Chantal Akerman, Jean-Luc Godard, Atom Egoyan, Tariq Teguia, Sylvain George ou Park Chan-wook ont filmé les lignes frontalières afin d’en montrer les usages, les tensions, les drames. Dans ces récits d’exil et de passage, aux esthétiques fragmentaires et aux dispositifs radicaux, la frontière n’a rien d’un alibi thématique ou d’un arrière-fond scénique. Elle s’impose comme une réalité particulière qui dialectise les tensions entre les états, dans laquelle se révèlent en creux les échanges socioéconomiques et les mouvements migratoires du monde. Cet ouvrage se place sous le signe d’une logique à la fois esthétique et politique. Les auteurs analysent la frontière comme un motif en soi, un pivot imageant qui fait fonctionner le récit cinématographique, et le déstabilise pourtant.]]>
» Filmer les frontières ( Presses universitaires de Vincennes ) : 25/02/2016 /presses-universitaires-de-vincennes/filmer-les-frontieres/9782842924591-p-34724.html

Retrouvez plus de 40 coiffures, faciles à reproduire et à adopter selon les occasions. Tresses, queues de cheval, chignons, torsades, boucles… les basiques se déclinent en de nombreux modèles : sophistiqués, d’inspiration rétro, ultra structurés ou, au contraire, savamment sauvages. Joliment mis en scène, les looks conçus par la styliste capillaire Rubi Jones ont été testés, approuvés… pour un maximum d’effet !]]>
» L'atelier coiffure - Le guide indispensable pour maîtriser tous les modèles chic et tendance ( Vigot ) : 25/02/2016 /vigot/atelier-coiffure/9782711423859-p-34762.html

Découvrez les secrets du dessin de manga et devenez mangaka à votre tour ! Dessinatrice reconnue et expérimentée, Sonia Leong vous guide étape par étape dans la réalisation de votre propre manga. Sous sa gouverne, stylisez des personnages à partir de formes géométriques simples, imaginez des décors respectant les règles de la perspective et maîtrisez les techniques traditionnelles du dessin ainsi que la création sur ordinateur. En suivant les conseils de cet ouvrage, destiné aux débutants comme aux dessinateurs désireux de progresser, vous donnerez rapidement vie à votre œuvre. Chibi, shōnen, shōjen… quelles que soient vos préférences, les démonstrations en images abordent les différents univers du manga. Au fil des pages de ce livre, précieuse source d’inspiration, vous trouverez : -des pas à pas illustrés et des portfolios d’artistes talentueux, qui vous permettent de suivre l’évolution d’un dessin, de l’esquisse jusqu’à sa mise en couleur, et vous invitent ensuite à vous exercer ; -les astuces et les codes d’usage pour concevoir vos illustrations, les mettre en page et aboutir à leur commercialisation ; -28 liens vers des vidéos accessibles en ligne, qui mettent en scène Sonia Leong à l’œuvre et vous permettent de surmonter toutes les difficultés.]]>
» Le dessin de manga - Un guide complet pour apprendre toutes les techniques ( Vigot ) : 25/02/2016 /vigot/le-dessin-de-manga/9782711423736-p-34763.html

Des petits carnets toujours de même format, de couleur rouge, marron ou noire... De 1958 à 1995 (l’année de sa mort), René Allio, réalisateur entre autres de Moi, Pierre Rivière, ayant égorgé ma mère, ma soeur et mon frère, des Camisards et de La Vieille dame indigne, remplit pour son usage personnel des carnets — une quarantaine au total. En 1991, l’historienne Arlette Farge en collaboration avec lui en publie de larges extraits couvrant les années 1970-1990. Vingt ans plus tard (la totalité des carnets est écrite, Allio ne cesse de nous intéresser), une intégrale s’impose. Pour les chercheurs qui y trouveront une mine d’informations; parfois des corrections, des erreurs factuelles (de datation par exemple) que perpétuent des ouvrages anciens. Une intégrale qui comporte néanmoins des risques : publier ce qui n’était pas écrit pour être publié et qui en l’occurrence peut apparaître parfois comme anecdotique ou sans intérêt. Enfin, intégrale, cette édition est aussi pédagogique. Un bien grand mot certes pour dire qu’elle s’est dotée d’un dispositif d’accompagnement qui manquait à l’édition de 1991 et à son lecteur. Ce qui frappe au premier abord dans Les Carnets, c’est le caractère hétérogène et hétéroclite du discours qui résulte évidemment de la discontinuité de l’écriture, de la réactivité tous azimuts du rédacteur et de l’amplitude temporelle du récit (à trente ans d’intervalle, Allio n’est plus le même)... Cette publication permettra de mieux faire connaître « l’un des réalisateurs les plus singuliers du cinéma français »]]>
» Les Carnets - I. 1958-1975 ( L'Entretemps ) : 25/02/2016 /entretemps/les-carnets/9782355392078-p-34726.html

Qu’est-ce que l’âge d’or du cinéma hollywoodien ? Comment a-t-on fait le requin des « Dents de la mer » ? Comment a-t-on filmé le naufrage du « Titanic » ? Quel fut le premier documentaire ? Qui était Walt Disney ? Autant de questions qui trouvent dans ce livre des réponses claires et détaillées, appuyées par une iconographie riche et surprenante. Des centaines d’informations, d’anecdotes, de portraits d’acteurs et de réalisateurs sont organisés de façon graphique et ludique en trois grands chapitres : – « Au fil des films », où, des frères Lumière à Bollywood en passant par l’immense machine hollywoodienne, on retrouve les grandes étapes de l’évolution du cinéma. Une chronologie complète de l’histoire du 7e art et de ses incroyables avancées technologiques ; – « L’envers du décor », où tous les secrets de la réalisation d’un film nous sont révélés. De la fabrication des costumes aux effets spéciaux, des anecdotes de tournage des grands acteurs aux portraits atypiques des réalisateurs les plus marquants (Alfred Hitchcock, George Lucas, Steven Spielberg, Orson Welles…) ; – « Histoires à l’écran », où l’on explore dans le détail les grands genres cinématographiques. Arts martiaux, comédie musicale, western, science-fiction… Pour découvrir les meilleurs films de chacun de ces genres.]]>
» Ma grande encyclopédie du cinéma ( Milan ) : 24/02/2016 /milan/ma-grande-encyclopedie-du-cinema/9782745976222-p-34805.html

Ce projet a vu le jour afin de tirer de l’oubli un artiste dramatique nommé Romuald Joubé, né en 1876 et décédé en 1949. Cet homme était mon ancêtre, c’est l’oubli familial et collectif dont il a été victime qui a suscité la réalisation de ce travail. Il a eu la particularité de devenir un acteur reconnu au théâtre et au cinéma muet, en traversant deux guerres mondiales. Cette biographie s’attache à faire découvrir l’évolution du jeune comédien et celle du milieu théâtral et cinématographique de la première moitié du XXe siècle. Son parcours le mène de Saint-Gaudens à Paris, de l’Odéon à la Comédie-Française, des tournées européennes aux tournées internationales où il côtoie les grands noms du théâtre et du cinéma tels qu’André Antoine, Sarah Bernhardt, Abel Gance. Devenu une vedette il ne renie jamais sa région pyrénéenne où il crée un théâtre de verdure et défend ardemment le théâtre de plein air jusqu’à la fin de sa vie. Son éclectisme lui permet d’interpréter différents répertoires. Aussi remet-il en cause certaines idées reçues sur l’histoire du monde théâtral, par exemple le clivage entre Théâtre commercial et Théâtre littéraire. Tragédien à la voix d’or, il n’hésite pas à devenir en concomitance acteur du cinéma muet, il sera aussi intéressé par la radiophonie en 1936 et plus tard, il fera une expérience au cinéma parlant avec Sacha Guitry, Emile Couzinet et André Hugon. Homme entre tradition et modernité, Joubé révèle les ambiguïtés du monde artistique en temps de guerre. Cet homme aux multiples dons, à la fois acteur, dessinateur, peintre, spécialiste de la langue gasconne, se battra jusqu’à sa mort pour défendre l’art de qualité pour tous, sans jamais oublier sa famille et ses racines.]]>
» Romuald Joubé (1876-1949) - Quand l'art triomphe des conflits ( Mare et Martin ) : 22/02/2016 /mare-et-martin/romuald-joube-1876-1949/9782849342206-p-34723.html

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» Cahiers du Cinéma n° 719 - De l'Iphone à l'Imax - Dossier spécial caméras ( Cahiers du Cinéma ) : 19/02/2016 /cahiers-du-cinema/cahiers-du-cinema-719/9782866429805-p-34722.html

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» L'Avant-scène cinéma n° 630 - Kandahar : un film de Mohsen Makhmalbaf ( l'Avant-scène cinéma ) : 19/02/2016 /avant-scene-cinema/avant-scene-cinema-630/9782847251241-p-34730.html

Chaque année, en France, environ 5000 nouveaux auteurs-compositeurs s’inscrivent à la SACEM ; une pléthore d’artistes à qui il est déjà arrivé, indépendamment du niveau de préparation individuel, d’avoir un blocage créatif. Gary Ewer leur dédie un guide qui, page après page, conseille les stratégies les plus adaptées pour résoudre rapidement ces moments de stagnation. Des techniques générales (relaxation, concentration...) viennent renforcer les techniques spécifiques à l’écriture musicale : des exercices pour retrouver la bonne inspiration pour les textes, et des “déblocages” qui visent à récupérer l’inspiration musicale pour la mélodie et les arrangements. Chacune de ces techniques est décrite en s’appuyant sur de nombreux exemples et en faisant recours aux stratagèmes utilisés par les professionnels.]]>
» Ecrivez vos chansons - Comment allier techniques et imagination en surmontant définitivement vos blocages créatifs ( Gremese ) : 18/02/2016 /gremese/ecrivez-vos-chansons/9782366771039-p-34787.html

Cette anthologie de monologues de personnages féminins parcourt la littérature dramatique de la fin du XVIe siècle à nos jours, et propose cinquante tirades sélectionnées parmi les plus expressives du répertoire européen et américain. Ces monologues - précédés d'un texte introductif qui les replace dans leur contexte, résume la pièce et donne des indications sur le personnage -, constituent, par leur choix et leur diversité, un bon outil de travail pour un banc d'essai original, qui permettra aux comédiennes débutantes ou déjà confirmées de s'entraîner pour une audition ou de parfaire leur jeu, en abordant tous les registres - du rire aux larmes, de l'intériorité à l'épanchement. Ces extraits peuvent également inciter les amateurs à redécouvrir ou à approfondir des oeuvres théâtrales, et à approcher avec facilité les auteurs contemporains - nombreux dans ce recueil - souvent considérés, à tort, comme inaccessibles.]]>
» Grands monologues du théâtre classique et contemporain - Volume 1 : 50 rôles féminins pour un banc d'essai remarquable ( Gremese ) : 18/02/2016 /gremese/grands-monologues-du-theatre-classique-et-contemporain/9782366771008-p-34746.html

Parmi la génération des cinéastes ayant émergé au début des années 1920, peu ont connu une fortune critique aussi éclatante dans le champ de la réflexion contemporaine que Jean Epstein. Après une longue période d’oubli, par strates successives, l’influence et l’aura de ses films comme de ses écrits n’ont cessé de croître et de fertiliser aussi bien les pratiques artistiques que la réflexion théorique sur les images en mouvement. Des historiens et théoriciens du cinéma, des philosophes, des anthropologues se sont emparés par exemple de ses archives, ses textes (parfois inédits) sont republiés, et cet intérêt dépasse aujourd’hui largement les frontières de l’hexagone. L’influence d’Epstein ne se cantonne pas à la recherche, puisque de nombreux cinéastes s’inscrivent également dans cet héritage, dans le domaine du cinéma d’avant-garde bien sûr, où il s’était particulièrement illustré, mais aussi dans ceux du documentaire et de la fiction, qu’il a marqués durablement en son temps. Ainsi la réflexion d’Epstein sur le gros plan, ses investigations théoriques sur le temps ou encore ses propositions filmiques décisives autour du régime descriptif des images cinématographiques fournissent-elles aujourd’hui la matière d’un dialogue fructueux avec les pratiques les plus contemporaines, celles de Philippe Grandrieux, James Schneider, Emily Richardson, James Benning ou encore Werner Herzog, parmi tant d’autres. Cet ouvrage propose ainsi de relire et revoir Epstein, en examinant avec un regard neuf son importante et si originale production littéraire, en évaluant sous des angles nouveaux la place de sa réflexion et de son travail de création dans son époque, et en mesurant l’influence de sa pensée sur notre temps en termes de propositions théoriques et d’inventions formelles.]]>
» Jean Epstein - Actualité et Postérités ( Presses universitaires de Rennes ) : 18/02/2016 /presses-universitaires-de-rennes/jean-epstein/9782753543188-p-34728.html

La place de la caricature dans la société actuelle est le fruit d’une longue histoire, que ce livre aborde sous l’angle des relations entre caricature et affiche dans la seconde moitié du XIXe siècle et au début du XXe, au moment où l’affiche connaît une apogée artistique tout en se professionnalisant. Les cibles de la caricature (de Louis-Philippe à Charlie-Hebdo), la place de la censure dans le dessin politique, le rôle des revues satiriques (Le Chat noir, Le Rire, L’Assiette au beurre…) et, plus largement, le rire sous toutes ses formes, littéraires et visuelles, sont au cœur de cet ouvrage. Il montre le rôle qu’a joué la caricature dans le renouvellement de l’affiche : parce qu’elle va à l’essentiel et grossit les traits, la caricature tend vers une simplification graphique qui est aussi le marqueur de l’entrée de l’affiche dans la modernité. Lorsque les caricaturistes dessinateurs de presse créent des affiches, ils ne cherchent pas à faire rire mais appliquent à l’affiche les techniques de la caricature qu’ils maîtrisent. Comme une caricature, une affiche réussie doit immédiatement marquer l’esprit et capter l’attention de celui qui la regarde. Après Forain, Sem, Steinlen, Nadar ou Willette, c’est ce qu’ont compris Cappiello, O’Galop et Jossot, dont les affiches connaissent un grand succès. Ce livre riche de plus présente les réalisations de près de 60 dessinateurs de presse et affichistes.]]>
» De la caricature à l'affiche 1850-1918 ( Les arts décoratifs ) : 17/02/2016 /les-arts-decoratifs/de-la-caricature-affiche-1850-1918/9782916914619-p-34820.html

La musique électronique et informatique nécessite des outils sophistiqués, une grande habilité dans le travail de studio et une parfaite connaissance des techniques audionumériques. Devenu au fil des années le livre de référence, L’audionumérique s’adresse à tous les techniciens et ingénieurs du son ainsi qu’aux musiciens compositeurs qui souhaitent découvrir ce domaine ou se perfectionner. Largement illustré de schémas, captures d’écran et photos, cet ouvrage présente l’ensemble des aspects théoriques, pratiques et esthétiques de la synthèse et du traitement d’un signal sonore dans un environnement numérique : La première partie traite de l’environnement et des outils : mixage, filtres numériques, spatialisation et réverbération, hauteur et rythme, méthodes d’analyse spectrale, MIDI, etc. La seconde partie aborde l’échantillonnage puis décrit dans le détail tous les types de synthèse sonore : additive, granulaire, pulsar, par modulation, formantique, graphique, etc. Cette 3e édition s’enrichit de deux nouveaux chapitres consacrés aux méthodes par décomposition atomique et à la synthèse concaténative.]]>
» L'audionumérique - Musique et informatique ( Dunod ) : 17/02/2016 /dunod/audionumerique/9782100706884-p-34717.html

Un planétaire vintage actionné par une machine à vapeur, une veste rococopunk décadente fabriquée avec des matériaux de récupération, des instruments de musique, des éléments d’intrigues pour des histoires steampunk : cet ouvrage complet offre des conseils et des sources d’inspiration liées à ce mouvement à la fois tourné vers le futur et rendant hommage au passé.]]>
» Le manuel steampunk - uide illustré pratique et excentrique pour la création de rêves rétrofuturistes ( Bragelonne ) : 17/02/2016 /bragelonne/le-manuel-steampunk/9782352949282-p-34729.html

omancier, réalisateur, dramaturge, dessinateur, la figure de Jean Cocteau, qui se voulait poète avant tout, a suscité nombre de commentaires et de prises de position. Ce Cahier dirigé par Serge Linarès se veut dans un premier temps une vue d’ensemble des acquis de la recherche autour de l’auteur, afin que le lecteur puisse envisager la totalité de sa création polymorphe. Dans un souci de clarté, l’ouvrage s’ouvre sur une section biographique intitulée « Éclats de vie », qui donne pour repères les épisodes marquants de la vie de Cocteau. La deuxième partie se penche sur ses héritages et filiations : on y croise Goethe, Musset, Gide ou Picasso. L’œuvre de Cocteau est ensuite envisagée au fil des parties organisées par genres : poésies, proses d’idées, théâtre, narrations, écritures de soi, autant « d’escales dans l’exploration au long cours d’une littérature délibérément hostile aux frontières et aux confinements ». Enfin, le Cahier se penche sur la relation de Cocteau aux autres arts qui l’ont nourri et dans lesquels il s’est également illustré : musique, danse, dessin, cinéma… À travers le regard de spécialistes, de contemporains ou successeurs de Cocteau (les textes, inédits en français, de Jorge Luis Borges, Gertrude Stein, W. H. Auden témoignent notamment de son aura internationale), mais également de textes rares ou inédits de l’auteur (des poèmes, La Croisière aux Îles Emeraudes…), ce Cahier offre une diversité de vues qui vient renouveler la recherche sur l’artiste dont l’épitaphe témoignait sa foi en la postérité : « Je reste avec vous ».]]>
» Cahiers de l'Herne : Cocteau ( Herne ) : 17/02/2016 /herne/cahiers-de-herne-cocteau/9782851971838-p-34727.html

Ce livre s’adresse à tous ceux qui sont entrés dans une salle de cinéma au moins une fois dans leur vie, mais aussi à ceux qui s’intéressent à la philosophie. À ces esprits qui se posent depuis toujours des questions obsessionnelles sans réponse définitive. Quel désir nous incite à acheter un billet pour assister à la projection du dernier film à l’affiche ? Le fait est que le cinéma représente une modalité de l’expérience tout à fait exceptionnelle, « unique », semblable à celle que la philosophie définit comme une expérience de vérité. Ce livre s’interroge sur le cinéma en tant que figure unique de cette épochê, une belle occasion de toucher du doigt (mais aussi de l’œil et de l’oreille) ce que l’intellect a toujours désigné comme but impossible à atteindre, et comme expression originelle du paradoxe de la « vérité ».]]>
» Habiter le seuil - Cinéma et Philosophie ( Mimesis ) : 16/02/2016 /mimesis/habiter-le-seuil/9788857527345-p-34733.html

Ce qui se produit en Afrique subsaharienne francophone depuis les années 2000 est tout à fait inédit. Pour des cinémas qui n’ont connu ni l’avènement du parlant ni celui de la couleur, le numérique est le premier changement auquel ils font face sans s’y être vraiment préparés. L’abandon de la pellicule, la manipulation directe de la matière filmée et l’immédiateté du voir forcent de nouvelles pratiques, mais aussi une nouvelle esthétique qui rencontrent de plus en plus les préoccupations des théoriciens. L’auteur élabore dans cet ouvrage une description rigoureuse des situations de production, de diffusion et des pratiques spectatorielles, connectées ou non et à écrans multiples, dans l’aire de référence. Ceci à partir d’une connaissance des travaux universitaires existants qui lui permet de documenter son propre travail tout en le problématisant, et à partir des réalités d’un terrain qu’il pratique en professionnel averti.]]>
» De l'analogique au numérique - Cinémas et spectateurs d'Afrique subsaharienne francophone à l'épreuve du changement ( L'Harmattan ) : 12/02/2016 /harmattan/de-analogique-au-numerique/9782343085623-p-34719.html

Cet ouvrage rassemble des articles portant sur les relations entre enfance et horreur dans l’oeuvre de Tim Burton. Issu d’un colloque organisé par l’IRCAV (Paris III-Sorbonne Nouvelle) et la Cinémathèque Française et enrichi de nombreux articles, cet ouvrage rassemble des réflexions sur les relations entre enfance et horreur dans l’œuvre de Tim Burton. Il vise à renouveler, sous cet intitulé paradoxal, les études déjà parues sur ce cinéaste charismatique, en proposant trois grandes lignes de force Tim Burton et les arts développe le rapport aux illustrations enfantines, aux courants picturaux, aux costumes, au cinéma d’animation et à la musique Autour des origines…, replace Tim Burton, enfant terrible de Calarts et héritier turbulent de Walt Disney, dans une – ou plusieurs – lignées artistiques. À ce voyage derrière la machinerie enchantée de Tim Burton, s’articule une réflexion sur L’Image de l’Artiste et la manière dont est construite, consciemment ou non, la « marque » Tim Burton, désormais inséparable de ses créations.]]>
» Tim Burton - Horreurs Enfantines ( L'Harmattan ) : 12/02/2016 /harmattan/tim-burton/9782343084244-p-34718.html

Il peut paraître incongru de « faire du droit » dans une revue consacrée au théâtre. C’est d’ailleurs une première pour Études théâtrales. Mais il nous a paru indispensable d’aborder certaines questions juridiques liées à l’actualité du secteur du théâtre car elles sont au centre des préoccupations des professionnels qui lui donnent vie et reviennent au devant de la scène politique en cette période de crise où nos élus, négligeant les effets économiques positifs et multiplicateurs de l’investissement public dans la culture, font des coupes sévères dans les budgets de nos institutions culturelles et modifient les conditions de travail des artistes, tout en durcissant la réglementation sur leur droit au chômage. Ce numéro rassemble les contributions d’auteurs belges et français que nous avons choisis en raison de leur expertise et de leur compétence. Ils sont avocats, juristes ou artistes.]]>
» Etudes théâtrales n° 62 - Droit et théâtre. Droit d'auteur, droits voisins, et droit à l'image ( Centre d’études théâtrales ) : 12/02/2016 /centre-etudes-theatrales/etudes-theatrales-62/9782806102645-p-34735.html

Ce livre de plus de 500 pages réunit la plupart des articles écrits par Emmanuel Carrère depuis 25 ans dans la presse (du Nouvel Observateur à La Règle du jeu, en passant par Les Inrockuptibles ou XXI). Ces textes couvrent les sujets les plus divers : de l’amour à la politique, de la littérature au cinéma, de la société et des faits divers à l’intime. On y lit l’amorce de préoccupations qui donneront plus tard lieu à des livres, on y vit avec l’auteur, ses doutes, ses échecs (par exemple une calamiteuse interview de Catherine Deneuve...), ses réussites, ses enthousiasmes, de Truman Capote à Sébastien Japrisot, du mathématicien anglais Alan Turing à Luke Rinehart. On s’y plonge dans de grands reportages sur la Roumanie, sur une junkie américaine, sur la Russie, sur le forum de Davos. On y lit aussi des préfaces à Moll Flanders de Defoe, à l’intégrale des nouvelles de Philippe K. Dick ou encore à « Epépé », de Ferenc Karinthy. Et même, pendant neuf chroniques écrites pour un magazine italien, il est « envoyé spécial dans le coeur des hommes » et, plus particulièrement, dans le sien. Bref un panorama quasi complet des talents d’Emmanuel Carrère : Analyste, chroniqueur, commentateur, aventurier, satiriste, critique et avant tout écrivain.]]>
» Il est avantageux d'avoir où aller ( POL ) : 11/02/2016 /pol/il-est-avantageux-avoir-ou-aller/9782818038765-p-34731.html

Les séries ont-elles remplacé le cinéma comme usine à rêves ? Des Soprano à Battlestar Galactica, de Buffy contre les vampires à Twin Peaks, Awake et Hannibal, sans oublier LOST et Six Feet Under, cet ouvrage, abondamment illustré, se propose d’explorer le rêve comme ressort narratif par lequel la fiction se déploie, se ressource et se remet en question. Film dans le film, au carrefour du réel et de l’irréel, de l’objectivité et de la subjectivité, du monde de veille et du monde imaginaire, le rêve met en tension notre croyance en la fiction que nous regardons, tout en ouvrant une fenêtre vers d'autres possibles et en ménageant du « jeu » dans la représentation. Sarah Hatchuel nous rappelle que les séries oniriques ne nous invitent pas à devenir des spectateurs sceptiques qui regarderaient les séquences de manière détachée voire cynique parce que celles-ci pourraient ne pas être vraies. Elles nous exhortent, au contraire, à devenir des amoureux de la fiction, à chérir les histoires même lorsque celles-ci s’avèrent appartenir à une dimension virtuelle ou mentale. Au fond, la réalité des événements importe peu. Buffy pourrait évoluer dans une dimension qu’elle s’est elle-même inventée ; les rescapés du vol 815 se retrouver dans un rêve qu’ils ont fabriqué ; Laura Palmer raconter son histoire depuis une Chambre rouge à cheval sur deux mondes. Loin de penser le rêve comme récit subalterne, ces séries le posent comme expérience de vie, nous faisant réfléchir à la portée de nos actes et aux conséquences de chacune de nos décisions.]]>
» Rêves et séries américaines - La fabrique d'autres mondes ( Rouge Profond ) : 05/02/2016 /rouge-profond/reves-et-series-americaines/9782915083828-p-34709.html

Il fut la première icône du grand écran et demeure, cent ans après son premier film, le visage le plus instantanément reconnaissable du cinéma. Mais qui était vraiment l’homme à la moustache ? Petit garçon blessé par la déchéance de sa mère adorée, scandaleux séducteur multipliant les jeunes conquêtes, égocentrique pathologique, réalisateur omniprésent derrière et devant la caméra, agitateur politique… Avec la précision d’un biographe et la distance d’un romancier, Peter Ackroyd rend justice à Chaplin sous tous ses aspects – les lumières comme les ombres. Il braque ses projecteurs sur une vie et une œuvre, depuis les humiliants débuts dans les music-halls londoniens jusqu’à la célébrité planétaire acquise alors qu’il n’a que vingt-cinq ans. Et, sur fond d’une centaine de films qui n’ont cessé depuis de drainer des hordes de spectateurs à travers le monde, nous entraîne, par les sombres scandales des années 1940 et la chasse aux sorcières du maccarthysme, au final et pathétique exil suisse. La biographie passionnante d’un personnage de génie, énigmatique entre tous.]]>
» Charlie Chaplin ( Phillipe Rey ) : 04/02/2016 /phillipe-rey/charlie-chaplin/9782848764986-p-34703.html

Michel Galabru était l'un des derniers monstres sacrés du cinéma français. Acteur de la comédie poulaire, il a tourné dans plus de 250 films et téléfilms, tout en menant en parallèle une belle carrière au théâtre. Considérant souvent le cinéma comme alimentaire et privilégiant le théâtre. Il a connu tous les acteurs et les réalisateurs de la seconde moitié du 20ème siècle : de Louis de Funès à Isabelle Adjani en passant Michel Serrault, Jean Carmet ou Charles Aznavour. Il se souvient, tantôt avec tendresse, souvent avec humour, des virées avec "ses copains", des tournées à travers la France, de ses débuts à la Comédie-Française, de sa rencontre avec Marcel Pagnol, de sa fascination pour Sacha Guitry, du tournage à New York des Gendarmes, du grand rôle de sa vie dans le film de Bertrand Tavernier : Le Juge et l'Assasin, de sa première figuration aux côtés de Paul Meurisse déjà grande vedette et amant d'Edith Piaf, du succès de La Cage aux folles, de son amitié avec Jean-Paul Belmondo... Véritable mémoire du cinéma français, Michel Galabru a traversé le 20ème siècle et nous livre aujourd'hui ses souvenirs, les bons comme les mauvais, avec une grande sincérité et une modestie touchante. Une belle leçon de cinéma, une belle leçon de vie. Un témoignage posthume très émouvant.]]>
» Les rôles de ma vie ( Hors collection ) : 04/02/2016 /hors-collection/les-roles-de-ma-vie/9782258135819-p-34708.html

Depuis une vingtaine d’années, le scénario américain s’est imposé comme modèle du scénario de fiction auprès des acteurs européens de la production de cinéma et de télévision pour sa performance et sa rationalité narratives. Conçu pour assurer au film le maximum de chance de succès auprès du public, il subordonne la création audiovisuelle à un dispositif narratif qui réduit l’expression cinématographique à la dramaturgie de l’histoire d’un ou de personnages agissant pour atteindre leur objectif dans un environnement hostile. Cette critique du scénario américain n’est pas la critique des films américains - la résistance aux normes, aux USA comme ailleurs, existe mais celle de la formatisation narrative induite par les exigences de la prémisse, du conflit central, du protagoniste unique, des set up/pay of, climax, résolution, etc., dans la scénarisation du film à faire. Promues et enseignées, adoptées pour critères de sélection de projets au sein des institutions françaises et européennes, ces notions devenues sanctions étouffent l’ambition du cinéma d’inventer sa propre narration et d’offrir au spectateur la vision non conforme sur le monde dont s’autorise l’art. Une redéfinition du rôle et de la pratique de l’écriture du scénario en découle, qui intègre les acquis du Néo-réalisme italien, de la Nouvelle Vague française et du Cinéma Indépendant américain. Il s’agit de concevoir le scénario et la pratique de l’écriture dans l’intention du film, comme cette structure en mouvement qui met l’histoire au service du film et non le film au service d’une histoire.]]>
» Critique du scénario américain - suivi de Pour un scénario filmique ( Téraèdre ) : 01/02/2016 /teraedre/critique-du-scenario-americain/9782360850709-p-34706.html

King Vidor (1894-1982) est un cinéaste au style lyrique et épique, dont la filmographie imposante mêle superproductions hollywoodiennes et œuvres plus personnelles. Après les longs métrages muets de 1919 à 1928 (dont La Grande Parade et La Foule), ses longs métrages parlants, de Hallelujah (1929) au Rebelle (1949) et à Guerre et paix (1956), ont inspiré plusieurs générations de cinéastes, de David Lean à Michael Cimino, d’Orson Welles à Martin Scorsese.]]>
» King Vidor ( Vrin ) : 29/01/2016 /vrin/king-vidor/9782711626557-p-34707.html

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» Les Inrocks 2 - Le cinéma des frères Coen ( Les Inrocks ) : 28/01/2016 /les-inrocks/les-inrocks/3663322088070-p-34705.html

Actrice et productrice, Julie Gayet endosse désormais la casquette de Première dame de France officieuse… et joue avec un certain talent les premiers rôles dans la comédie du pouvoir. À l’affiche des festivals de cinéma ou de théâtre, elle poursuit sa carrière, continue de financer des films d’auteur et s’engage publiquement pour des causes humanitaires, mais jamais elle n’apparaît au bras de François Hollande. Traumatisé par le scandale Trierweiler, le chef de l’État se refuse à présenter sa nouvelle conquête aux Français et se contente de lui octroyer quelques instants volés, à l’abri des regards. First lady clandestine, Julie Gayet devient alors la nouvelle exception culturelle française. Mais qui connaît Julie Gayet ? Que cherche-t-elle ? Qu’espère-t-elle ? Issue d’une lignée de grands industriels, fille d’un chirurgien renommé et d’une antiquaire, elle a le charme discret de la haute bourgeoisie dont elle manie les codes avec aisance. Militante de gauche, déjà soutien de Ségolène Royal en 2007, elle sait aussi bien séduire les politiques que les milliardaires, de François Pinault à Xavier Niel. Femme de réseaux, elle a mis ses nombreux relais au service de son « amoureux », au point d’être parfois considérée comme une ministre de la Culture de substitution. Crainte et courtisée, elle use à discrétion du pouvoir que lui confère sa proximité avec le président. Enquête sur une intermittente de l’Élysée dont les affaires prospèrent à l’ombre de la République.]]>
» Julie Gayet - Une intermittente à l'Elysée ( Du Moment ) : 28/01/2016 /du-moment/julie-gayet/9782354174668-p-34697.html

« J’ai pleuré en apprenant la mort de mon papa de cinéma. Pour moi, il était devenu un papa tout court. Roger Hanin était à la fois mon père, mon mentor, mon ami, mon confident et mon pilier. Il m’a aidée à grandir et à devenir la femme que je suis aujourd’hui. Je venais juste d’avoir dix ans lorsque j’ai rencontré Roger Hanin pour la première fois. Je faisais partie des trois finalistes préposées à jouer sa fille dans « Navarro » et il était venu lui-même donner son avis sur la distribution. « Lorsque j’ai obtenu mon permis de conduire, c’est lui qui m’a offert ma première voiture. En grandissant, j’ai appris à connaître ses bandes d’amis : celles de ses amis d’enfance de la Casbah d’Alger, celle des politiques, celle des gens du métier… Chaque été, il avait l’habitude de réunir ses différentes bandes autour de grands tablées. « Roger était la générosité même. Il répétait sans cesse : "On arrive au monde nu et l’on repart nu. Rien ne sert d’accumuler. L’argent est là pour être partagé. Il fallait toujours qu’il aide ceux qui étaient dans le besoin. »]]>
» Un père pas comme les autres ( L'Archipel ) : 27/01/2016 /archipel/un-pere-pas-comme-les-autres/9782809818130-p-34704.html

Jean, Antoine, Mouchette et les autres évoque de célèbres enfants de cinéma en accord avec le sous-titre sur quelques films d’enfance. Le petit Jean, c’est celui de Visages d’enfants de Jacques Feyder. Un chapitre entier lui est consacré. De même pour Antoine, personnage principal des Quatre Cents coups de François Truffaut, de Mouchette, cet enfant au seuil de l’adolescence, du film éponyme de Robert Bresson, et pour bien d’autres enfants de cinéma accueillis en cet essai. La plupart des chapitres porte sur un film, exclusivement, mis à part les oeuvres évoquées dans l’avant-propos qui précise les intentions et orientations majeures, et ceux dont il est débattu dans la première annexe qui se réfère à une table ronde radiophonique (elle avait réuni, à France-Culture, Raphaël Enthoven, Françoise Heitz et Patrick Louguet). D’un film à l’autre se nouent des liens subtils, plus ou moins manifestes, entre les différents destins enfantins. Cependant il y a aussi des chapitres thématiques tel L’enfant des tréteaux, ou encore Bandes enfantines, qui engagent davantage les enfants dans des collectifs, ainsi qu’il en est avec ceux consacrés à La Récréation de Paul Carpita, ou à Zéro de conduite de Jean Vigo. L’originalité de l’ouvrage réside aussi dans ses illustrations, dessins évocateurs, à l’encre, réalisés avec un calame, et installés pleine page à raison de deux par chapitre.]]>
» Jean, Antoine, Mouchette et les autres - (sur quelques films d'enfance) ( Artois Presses Université ) : 25/01/2016 /artois-presses-universite/jean-antoine-mouchette-et-les-autres/9782848322223-p-34698.html

La révolution du roman de Proust suit la courbe de cet art essentiellement visuel jusqu'au début des années vingt. Le romancier prend conscience d'un objet nouveau dont il redoute l'affiche : la vie reproduite telle quelle à l'écran. Ce faisant, il flaire un piège que des cinéastes après lui vont vouloir contourner afin de dégager justement tout le potentiel d'un art cinématographique. S'il est vrai que Proust n'a pas été au rendez-vous du septième art, par un tour paradoxal, c'est son œuvre elle-même qui a scellé l'improbable rencontre.]]>
» Proust à l'orée du cinéma ( l'Age d'homme ) : 24/01/2016 /age-homme/proust-oree-du-cinema/9782825145548-p-34767.html

Depuis 20 ans, le cinéma chinois connaît un développement foudroyant, en phase avec l’essor de ce pays. Nul n’incarne mieux cette évolution que le réalisateur Jia Zhang-ke, révélé en 1999 avec son premier film, Xiao-wu artisan pickpocket. […] […] Son cinéma se distingue par la modernité de son écriture, nourrie par la réinvention des rapports entre fiction et documentaire, par les usages inventifs des nouvelles technologies, par la créativité des relations entre l’intime et le collectif à l’échelle d’un pays d’un milliard et demi d’habitants. Les films de Jia sont en effet, et du même mouvement, œuvres d’un grand artiste contemporain et témoignages sensibles des gigantesques mutations qui affectent la Chine, et le monde entier. Des titres tels que Platform,The World, Still Life, A Touch of Sin et Mountains May Depart jalonnent un parcours esthétique à la fois extrêmement cohérent et en constant renouvellement. Ils accompagnent la construction patiente d’une place centrale dans la culture de son pays malgré les immenses obstacles liés à la censure. Et ils racontent, selon un point de vue original et pertinent, ce qui s’invente avec le XXIe siècle. Un long entretien mené avec le réalisateur sur les lieux de son enfance, ces lieux de travail et de tournage, un texte historique établissant la place de Jia dans le cinéma chinois et dans le cinéma actuel, une notice critique consacrée à chacun de ses films, longs et courts métrages, enrichis de plusieurs éclairages dont des entretiens avec ses principaux collaborateurs, et des textes de Jia inédits hors de Chine, font de ce livre le premier ouvrage offrant une visibilité et une compréhension exhaustive de l’œuvre de ce cinéaste, et de son importance majeure.]]>
» Le monde de Jia Zhang-Ke ( Yellow now ) : 22/01/2016 /yellow-now/le-monde-de-jia-zhang-ke/9782873403744-p-34699.html

La catégorisation des films par genre est presque aussi ancienne que le cinéma. Comédies, biopics, téléfilms, blockbusters, documentaires, films d’auteur, d’animation ou encore de science-fiction accompagnent spectateurs et professionnels, du scénario à la critique. À l’heure du numérique, où les modes de production et les lieux de diffusion des films se diversifient, où cinéma, télévision et internet tendent à converger, où des genres inédits font leur apparition, qu’est-ce que le genre filmique et surtout à quoi sert-il ? L’ouvrage envisage ces questions sous un angle pragmatique. Il analyse à la fois les différentes théories génériques, à travers une histoire de la pensée du genre, et les usages qu’en font les professionnels et les publics, grâce à des observations de terrain et des entretiens sociologiques. De la spécialisation des producteurs aux typologies du CNC, du marketing à la programmation en salle, de l’édition en DVD aux catalogues de vidéo à la demande, chaque étape de la filière cinématographique française est examinée. L’ouvrage fournit ainsi des clés théoriques, empiriques, méthodologiques et pratiques pour comprendre comment l’une des catégories les plus utilisées pour décrire les films se crée, circule et agit dans nos sociétés.]]>
» Le genre filmique - Cinéma, télévision, internet ( Presses Sorbonne nouvelle ) : 22/01/2016 /presses-sorbonne-nouvelle/le-genre-filmique/9782878546590-p-34713.html

Jusqu’alors scindé en deux volumes, Les accessoires de A à Z est désormais disponible dans une version compilée. Il existe près de deux mille modèles d’accessoires, sans compter tous ceux qui ont durablement mais non définitive­ment disparu du devant de la scène de la mode... Alors, avant que nous ne succombions à la tentation de nommer chacun des modèles composant cet extraordinaire patrimoine un « it-quelque chose », Les accessoires de A à Z consti­tue l’étape incontournable permettant d’appeler un chèche un chèche ! Les accessoires de A à Z est la seule encyclopédie sur l’ensemble des accessoires de mode. Chaque modèle fait l’objet d’un descriptif, d’une illustration, d’une présentation historique et son nom est traduit en anglais. Accessoires de coiffure, chapeaux, accessoires textiles, bijoux, ceintures, chaussures, éventails, gants, lunettes, masques, maroquinerie (bagages, sacs, petite maroquinerie), montres, parapluies et cannes sont passés au crible. Les accessoires de A à Z est une étape incontournable pour tous ceux qui ont besoin de se documenter sur ce sujet, maîtriser le vocabulaire de mode, se régaler de toutes sortes d’histoires et d’anecdotes et puiser des sources d’inspiration.]]>
» Les accessoires de A à Z - Encyclopédie ( Falbalas ) : 22/01/2016 /falbalas/les-accessoires-de/9782918579199-p-34818.html

Hanna Axmann Rezzori (1921-2000), fut peintre, actrice, décoratrice et écrivain. Son destin recouvre le siècle et se trouve à la croisée d’autres destins. Fille d’un industriel allemand, Juive par sa mère, elle passe la guerre en Suisse avant d’aller à New-York puis à Hollywood. Elle retourne en Allemagne après la guerre et participe à l’émergence du Nouveau Cinéma dans les années 60. Elle s’installe, après cela en France, à Saint-Firmin-sur-Loire. Elle aura croisé Chaplin, Marlène Dietrich, Kirk Douglas, John Houston, mais surtout Nicholas Ray et Joseph Losey. Son premier mari sera l’acteur américain Ed. Tierney et le second l’écrivain Gregor von Rezzori. En Allemagne, elle finance le premier film de Fassbinder. Ami aussi de Volker Schöndorff, elle apparaît dans son adaptation des Désarrois de l’élève Törless et est la costumière de son Michaël Kohlhass. Le catalogue, outre la présentation de son travail de peintre, contient une riche iconographie. De nombreuses photographies (photos de studios, de plateaux, etc.), documents (affiches, livres, manuscrits, etc.). Les textes se présentent ainsi : Biographie, par Robert Bonaccorsi ; textes d’Arthur von Rezzori sur sa peinture ; un texte de Philippe Blanchon, suivi de traductions de poèmes que lui a dédiés son ami le poète américain Arthur Gregor. À travers son destin singulier et son œuvre, c’est aussi l’histoire de son siècle qui est revisité.]]>
» Hanna Axmann-Rezzori - Une vie ( La Nerthe ) : 22/01/2016 /la-nerthe/hanna-axmann-rezzori/9782916862880-p-34816.html

Sorti début 2016, Les Huit Salopards, huitième long métrage de Quentin Tarantino, renoue avec la logique du huis-clos de son premier film, Reservoir Dogs, et se mesure à nouveau au western, trois ans après Django Unchained. Les deux mots composant ce titre indiquaient un tiraillement entre dette et liberté. Le premier a une résonance cinéphile. Le second renvoie à une histoire d’esclave affranchi. On pouvait toutefois entendre déchaîné comme une invitation à parler de Tarantino différemment. Une invitation à libérer son cinéma des chaînes de la cinéphilie et de la citation pour l’aborder enfin de front : comme un art du recommencement à neuf et non de la reprise. C’est en tout cas le pari de cet ouvrage collectif, qui reparaît aujourd’hui dans une nouvelle édition augmentée, à l’occasion de la sortie des Huit Salopards. Film par film, des critiques de cinéma, des philosophes et des anthropologues décrivent l’évolution et la nouveauté formelle, mais aussi historique et politique, de l’un des plus grands cinéastes de ces vingt dernières années.]]>
» Quentin Tarantino, un cinéma déchainé ( Capricci ) : 21/01/2016 /capricci/quentin-tarantino-un-cinema-dechaine/9791023900965-p-34701.html

"L’ensemble de ces textes témoigne d’un parcours, d’une trajectoire d’une quinzaine d’années qui n’est pas seulement celle de l’auteur, mais aussi celle de la revue où ils ont été écrits, les Cahiers du Cinéma, depuis la rigidité théorique et idéologique du début des années 1970 jusqu’au post-modernisme des années 1980. On y suivra l’inflexion d’une pensée, d’une écriture, des goûts et des engouements qui définissent une époque — voire plusieurs." P.B. Après des études de philosophie, Pascal Bonitzer entre en 1969 aux Cahiers du cinéma, où il écrit jusqu’au milieu des années 1980. Parallèlement il devient scénariste et collabore à de nombreuses reprises avec Jacques Rivette, André Téchiné ou encore Raoul Ruiz. Encore, son premier long métrage, obtient le Prix Jean-Vigo en 1996. En 2016 sort son septième film: Tout de suite maintenant. Afin de rendre compte de l'ensemble du parcours intellectuel de Bonitzer, ce livre, qui mêle théorie et critiques, se compose de quatre grandes parties. Sans suivre un fil strictement chronologique, elles marquent l'évolution d'une pensée majeure. Parmi les cinéastes commentés dans ce recueil, Nagisa Oshima et Federico Fellini, qui y occupent une place privilégiée, mais aussi Alfred Hitchcock, Jean Eustache, Éric Rohmer, Marguerite Duras, Martin Scorsese...]]>
» La vision partielle - Ecrits sur le cinéma ( Capricci ) : 21/01/2016 /capricci/la-vision-partielle/9791023901016-p-34700.html

Oz est une série qui se déroule dans une prison américaine à la fin du XXe siècle et dont l’ordinaire est fait de violences, de meurtres, de trahisons, de trafics, de ré-voltes, d’amitiés et d’amour aussi. Bien plus qu’une lecture sociologique de la série, ce livre l’analyse pour ce qu’elle est : une œuvre d’art. Elle feint d’être un reportage, une sorte de documentaire, mais ce qu’elle dit est bien autre chose que ce qu’elle représente. L’enfer de cette prison est en réalité une utopie, un lieu imaginaire dont la construction permet d’observer et de comprendre ce qu’est un « animal parlant », comment un sujet se trouve et se perd dans le tressage des actes et des paroles, comment il est possible de faire société, en quoi addictions et croyances ont partie liée, comment l’amour vient trouer l’ordre des raisons… Oz est comme les grands mythes : un moyen de penser notre condition en racontant des histoires.]]>
» Oz - Drogue, amour et utopie ( PUF ) : 20/01/2016 /puf/oz/9782130619628-p-34712.html

Textes de base : IDCC 716 (Employés et ouvriers) – Convention collective nationale des employés et ouvriers de la distribution cinématographique du 1er mars 1973, étendue par arrêté du 18 octobre 1977. IDCC 892 (Cadres et agents de maîtrise) – Convention collective nationale des cadres et agents de maîtrise de la distribution cinématographique du 30 juin 1976, étendue par arrêté du 15 avril 1977. Accords communs aux deux conventions. Champ d'application : La présente convention et ses annexes règlent les rapports entre les employeurs et les salariés, employés et ouvriers des deux sexes de la distribution des films cinématographiques, en France métropolitaine.]]>
» Distribution de films de l'industrie cinématographique ( Les éditions des Journaux Officiels ) : 20/01/2016 /les-editions-des-journaux-officiels/distribution-de-films-de-industrie-cinematographique/9782110771117-p-34711.html

Sommaire POINT DE VUE - La critique cinématographique au Brésil et la question du sous-développement économique : du cinéma muet aux années 1970 DOCUMENTS - Petit cinéma ancien (1969) - La joie du mauvais film brésilien (1975) - Une commémoration très personnelle (1977) ÉTUDES - Le Brésil et la construction problématique d’un cinéma national (1896-1954) par Gabriela Trujillo - Ni dolly, ni dollar – Caméra à la main, décolonisation en tête par Lilia Lustosa de Oliveira - Les premières biennales d’art de São Paulo et l’avènement du Cinema Novo par Adilson Mendes ARCHIVES - Glauber Rocha dessinateur par François Albera - Sur le tournage de Soy Cuba ! - Lettres de Serguei Ouroussevski à son épouse Bella Friedman (1961-1962) par Aléxei Konovalov CHRONIQUES - Il Cinema ritrovato à Bologne par Jean-Pierre Bleys, Lorenzo Codelli, Jean A. Gili, Pierre-Emmanuel Jaques, Myria Juan, Lucien Logette - Colloque Reis et Cordeiro à la Fondation Gubelkian par Raquel Schefer - Colloque international « “Splendid Innovations” : The development, reception and preservation of screen translation » par Samuel Bréan et Anne-Lise Weidmann - Colloque international « L’amateur en cinéma, un autre paradigme ? » par Anna Briggs - Exposition : « J’aime les panoramas » (Genève-Marseille) par François Albera COMPTES RENDUS - DVD : Le retour de Kalatozov : 3 + 2 par François Albera - DVD : Eisenstein et Meisel. Contre les « restaurations », les variantes par François Albera - Laurent Véray, Loin du Vietnam, livret + réédition du DVD Loin du Vietnam (collectif, coordination et montage Chris Marker) par François Amy de la Bretèque - Judith Pernin, Pratiques indépendantes du documentaire en Chine : histoire, esthétique et discours visuel 1990-2010 par Marie-Pierre Duhamel-Muller NOTES DE LECTURE - L’équivoque de l’autorité. Didi-Huberman revient sur JLG : Passés cités par JLG. L’Œil de l’histoire Par Stefan Kristensen - Pascal Laborderie, le Cinéma éducateur laïque par Valérie Vignaux - Alexandre Astruc, le Plaisir en toutes choses. Entretiens avec Noël Simsolo par Valérie Vignaux VIENT DE PARAÎTRE : LIVRES, REVUES, DVD par François Albera, Jean A. Gili, Myriam Juan Hommage à Raymond Chirat (1922-2015) par Eric Le Roy Errata RÉSUMÉS / ABSTRACTS]]>
» 1895 Mille huit cent quatre-vingt quinze n° 77 ( Association française de recherche sur l'histoire du cinéma (AFRHC) ) : 15/01/2016 /association-francaise-de-recherche-sur-histoire-du-cinema-afrhc/1895-mille-huit-cent-quatre-vingt-quinze-77/9782370290779-p-34715.html

Sommaire Dossier : René Vautier - Claire Nicolas, Thomas Riot, Nicolas Bancel, « Afrique 50 : le cri anticolonialiste de René Vautier » ; - Matthias de Groof, « Le Glas, comment sonne-t-il? » ; - Valentin Schaepelynck, « René Vautier : esthétique et politique de l'intervention » ; - Sébastien Layerle, « Premières images de l'Algérie indépendante : Un peuple en marche (1964) ou 'l'épopée' du Centre audiovisuel d'Alger » ; - Hélène Raymond, « René Vautier, l’arpenteur » ; - Sylvain Dreyer, « La Folle de Toujane : parler ou ‘faire quelque chose’ » ? - Thomas Voltzenlogel, « ‘Un morceau de caméra dans la tête’ : esth/éthique des films anticolonialistes de René Vautier » ; - François Bovier, avec Cédric Fluckiger, « René Vautier et le cinéma ouvrier : l’UPCB, une structure de production au service des ‘colonisés de l’intérieur’ » ; - Sylvain Portmann, « Les films antinucléaires de René Vautier’ » ; - Tangui Perron, « Souvenirs rouges et personnels de l’historien-géographe René Vautier » ; - François Bovier, Cédric Fluckiger, Elif Ugurlu, « Entretien avec René Vautier : les résonances d’Afrique 50 » ; - Olivier Hadouchi, « La Geste de l’eau, scénario de René Vautier » ; - Oriane Brun-Moschetti, « Filmographie de René Vautier ». Rubrique cinéma suisse - Stefan Kristensen, « Ah ! Oh ! / A propos d’Adieu au langage de Godard » ; - Achilleas Papakonstantis, « Homo Faber, homo spectans et homo narrans : l’adaptation cinématographique selon Richard Dindo » ; - Benoît Turquety, « Compte rendu : Thomas Perret, Roland Cosandey, Paillard Bolex Boolsky, Yverdon-les-Bains, La Thièle, 2013 » ; - Jean-Michel Baconnier, « BIM 2014 : Des anciennes à la ‘nouvelle’ Biennale de l’Image en Mouvement » ; - Claus Gunti, « Taiyo Onorato et Nico Krebs à Art|Basel 2014 : entre imaginaire mondialisé et ‘territoire géopolitique sans image’ ».]]>
» Décadrages n°29-30 - René Vautier ( Association Décadrages ) : 15/01/2016 /association-decadrages/decadrages-29-30/9782970096306-p-34716.html

Les spectacles de Broadway, entre autres les pièces d’Arthur Miller, Tennessee Williams, Eugène O’Neill, constituent pour le cinéma classique hollywoodien une source majeure, puisqu’ils lui apportent une double caution commerciale et artistique. Mais ils se trouvent aussi à l’origine de multiples difficultés idéologiques, tant les scènes new-yorkaises bénéficient d’une liberté d’expression dont le cinéma est privé jusqu’en 1952, en raison de l’autocensure imposée par le Code de production. Pourtant, Hollywood n’a cessé de puiser dans la création théâtrale des modèles qui ont autant contribué à structurer l’industrie du film (stars et genres cinématographiques) qu’à miner de l’intérieur le système d’autocensure. Cet ouvrage met au jour ce que le cinéma classique américain doit au théâtre de Broadway, en s’attachant en particulier à des metteurs en scène comme Kazan, Cukor, Minnelli, Preminger ou des acteurs comme Katharine Hepburn, Henry Fonda, Mae West, etc. Il examine la façon dont le système hollywoodien s’est organisé pour adapter systématiquement les productions théâtrales contemporaines. Il montre l’articulation des enjeux industriels, artistiques et idéologiques et les contradictions qui les accompagnent, des années 1930 au milieu des années 1960. Une contribution originale majeure à l’histoire culturelle du cinéma américain.]]>
» De Broadway à Hollywood ( CNRS Editions ) : 14/01/2016 /cnrs-editions/de-broadway-hollywood/9782271083449-p-34696.html

L’enquête-vérité sur l’homme le plus mystérieux du cinéma français À l’issue de deux ans d’enquête, Geoffrey Le Guilcher livre la première biographie du producteur-réalisateur Luc Besson. Du pensionnat de Coulommiers jusqu'à sa résidence gardée par un vigile armé à Los Angeles, l’auteur dévoile les aspects les plus secrets de l’ascension extraordinaire d’un jeune autodidacte devenu, pas après pas, l’un des tycoons du cinéma mondial. Un homme aussi invisible qu’intouchable. Comment un accident de plongée a-t-il bouleversé la vie du jeune Luc ? Qui connaît Besson l’intrépide et ses coups de bluff improbables comme ses tournages réalisés sans autorisation à Venise pour Nikita ou dans les rues de New York pour Léon ? Pourquoi Le Cinquième élément signe-t-il en 1997 la fin de ses rêves de réalisateur-prophète ? Quel deal l’amène, à partir de 2004, à peupler ses films de voitures de la marque Audi ? Pourquoi l’ombre du plagiat plane-t-elle sur sa filmographie ? Comment son association avec le publicitaire sarkozyste Christophe Lambert lui a-t-elle permis de décrocher les financements de la Cité du cinéma ? Dans quel but a-t-il sollicité Laurent Fabius, alors ministre de l’Économie, à propos de sa situation fiscale ? Comment, avec sa nouvelle superproduction Valérian, Luc Besson espère-t-il rejoindre ses amis George Lucas, James Cameron et Steven Spielberg dans le clan très fermé des géants d’Hollywood ?]]>
» Luc Besson, l'homme qui voulait être aimé - La biographie non autorisée ( Flammarion ) : 13/01/2016 /flammarion/luc-besson-homme-qui-voulait-etre-aime/9782081357891-p-34695.html

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» Ligéia n° 145-148 - Art et animalité ( Ligéia ) : 08/01/2016 /ligeia/ligeia-145-148/3663322088964-p-34772.html

Apparu sur les scènes de la Révolution française, le mélodrame, périodiquement donné pour mort, et régulièrement renaissant, n’a cessé d’infléchir la fiction populaire ou savante, depuis le XIXe siècle. Le tournant des années soixante-dix marque pourtant le point de départ d’une nouvelle relation au mélodrame : Fassbinder redécouvre Douglas Sirk et sa trilogie allemande instaure une relation directe à l’émotion, aux codes et aux enjeux du genre. À sa suite, Pedro Almodóvar comme me Todd Haynes, lñarritu, Gus van Sant, Amos Gitai ou Robert Guédiguian explorent les multiples voies du mélodrame. Au même moment, la critique savante, puis la philosophie s’emploient à réévaluer le mélodrame, à mettre au jour à la fois son esthétique et sa signification sociale et politique. Comment cerner et définir le mélodrame tel que l’aborde le cinéma contemporain ? Quels échos, quelles résonances du cinéma classique viennent animer les plans d’aujourd’hui, jusqu’à rendre perceptible, par-delà l’émotion directe, le feuilletage de la temporalité ? Que reste-t-il, surtout, dans le cinéma des trente dernières années, du projet esthétique et politique qui sous-tendait le théâtre de Pixérécourt, les romans d’Eugène Sue, puis les films de Griffith ? Conçu pour installer le peuple au coeur du drame, pour en faire à la fois le destinataire et le sujet d’une fiction aux ambitions éducative, le mélodrame n’a cessé, cependant, de poser la question du peuple, de sa définition, de sa permanence. Ce questionnement interroge plus que jamais le cinéma contemporain, de l’Inde au Pakistan, de la Turquie aux États-Unis, des Philippines à l’Europe ou au Japon. Si les réponses sont parfois indécises, toujours complexes, elles s’attachent aujourd’hui encore à réinventer la mission originelle du mélodrame : faire advenir le peuple, créer une communauté d’émotion et de désir dont le sens transcende la fugacité du moment, dépasse les clivages, ouvre la voie d’une possible émancipation.]]>
» Le mélodrame dans le cinéma contemporain - Une fabrique de peuples ( Presses universitaires de Rennes ) : 07/01/2016 /presses-universitaires-de-rennes/le-melodrame-dans-le-cinema-contemporain/9782753543584-p-34690.html

Le Lexique Bilingue de la Mode délivre la traduction, en français ou en anglais, de l’un des 10.000 mots du vocabulaire des multiples thématiques de la mode : textiles (les matières premières, les tissus, les armures, les fils, les techniques de la filière textile…)… vêtements (les modèles, leurs détails et ornements, les fournitures…)… accessoires (les bijoux, les chapeaux, les chaussures, les lunettes, les montres, les sacs, leurs matières premières, leurs détails et ornements…)… processus de collection (les étapes et les techniques de création et de mise au point des produits, les étapes et les techniques de production, les étapes et la logistique des défilés…)… marketing & commercial (les techniques, les réseaux de distribution, les supports de communication…)… acteurs de la mode & métiers (les prestataires de la mode, les métiers de la création, de la production, de la communication…)…]]>
» Lexique bilingue de la mode - français-anglais / anglais-français ( Falbalas ) : 05/01/2016 /falbalas/lexique-bilingue-de-la-mode/9782918579144-p-30266.html

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» Cahiers du Cinéma n° 718 - Les films les plus attendus de 2016 ( Cahiers du Cinéma ) : 04/01/2016 /cahiers-du-cinema/cahiers-du-cinema-718/9782866429775-p-34721.html

L’iconoclasme cinématographique, sous ses formes les plus récentes, n’est pas forcément en rapport avec le sacré, le religieux ou la théologie. Certains de ses aspects relèvent d’une pensée philosophique comme celle de Kant ou Hegel, ainsi qu’une certaine frange de l’art, volontairement désacralisée. Certaines questions d’ordre théologique à l’origine, comme l’incarnation et la figure, ont fini par investir la sphère de l’art. La question du refus de l’image a évolué au cinéma. Ainsi, le XXe siècle a permis l’émergence de formes d’iconoclasme qui échappaient au domaine du religieux et même parfois du sacré. Certains réalisateurs ont affirmé clairement leur rupture avec ces domaines, et osé un iconoclasme radical et laïcisé, comme Guy Debord ou Isidore Isou. Jean-Luc Godard, pour sa part, a préféré sacraliser l’art. L’iconoclasme est devenu politique, esthétique ou éthique (et parfois les trois à la fois). L’irruption du numérique a engendré de nouvelles formes d’iconoclasme cinématographique et ouvert des voies à la réflexion. Ce livre vient prolonger la réflexion du précédent ouvrage de l’auteur : Le cinéma est-il iconoclaste ?, publié chez Corlet-Cerf dans la collection 7e Art.]]>
» Entre spiritualité et laïcité, la tentation iconoclaste du cinéma ( L'Harmattan ) : 04/01/2016 /harmattan/entre-spiritualite-et-laicite-la-tentation-iconoclaste-du-cinema/9782343076270-p-34694.html

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» L'Avant-scène cinéma n° 628-629 - Intolérance : un film de David Wark Griffith ( l'Avant-scène cinéma ) : 23/12/2015 /avant-scene-cinema/avant-scene-cinema-628-629/9782847251234-p-34692.html

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» Star Wars : tout l'art du Réveil de la Force ( Huginn & Muninn ) : 21/12/2015 /huginn-muninn/star-wars-tout-art-du-reveil-de-la-force/9782364803985-p-34693.html

Notre époque perçoit le cinéma comme un art narratif (adaptations de romans ou de pièces de théâtre). Pourtant, dès les origines, et ce jusqu’aux années 1920, cinéastes et théoriciens ont perçu la magie du 7e art et son pouvoir d’évocation poétique. La relation entre ces deux arts n’a cessé d’évoluer, comme le montrent les films d’Eisenstein Cocteau,Varda, Bunuel ou Godard. Qu’en est-il aujourd’hui ? Quelles perspectives offrent le numérique ? Que se passe-t-il du côté de l’Asie, et en particulier chez les cinéastes d’animation comme Miyazaki ? Ce nouveau numéro de CinémAction s’attache à combler une lacune en faisant découvrir la richesse et la complexité de la relation entre cinéma et poésie.]]>
» CinémAction n° 157 - L'écran poétique ( Corlet ) : 11/12/2015 /corlet/cinemaction-157/9782847066128-p-34686.html

Au-delà de la figure du cinéaste engagé qui interpelle le public par son ouvre, cet ouvrage s'intéresse à la culture de l'engagement qui se déploie dans un espace extra-filmique. A travers des exemples tirés de contextes géographiques distincts (Etats-Unis, France, Espagne, Afrique du Sud, etc.), les auteurs démontrent que la politisation des films est souvent précédée par une prise de position des réalisateurs et des acteurs. La culture de l'engagement est liée à l'action collective permise par les films qui se laissent instrumentaliser à des fins politiques. Les festivals de cinéma sont ainsi des lieux de réflexion et de protestation, où l'artiste rencontre le militant dans un espace de mobilisation collective. Cet ouvrage dessine les contours historiques de cette culture cinématographique engagée ; il évoque les crises historiques qui appellent des actes de création. Du franquisme à l'apartheid, de la ségrégation raciale aux indignés, le cinéma absorbe les tensions sociales qu'il transcende dans un art de l'engagement. Etudiés en lien avec leurs conditions de production et de réception, les films considérés dans cet ouvrage démontrent que le cinéma demeure un lieu de résistance à la fabrique du consentement. Ils s'inscrivent dans un rapport de force avec le cinéma dominant, dont ils interrogent les normes en montrant les luttes des oubliés de l'histoire.]]>
» La culture de l'engagement au cinéma ( Presses universitaires de Rennes ) : 04/12/2015 /presses-universitaires-de-rennes/la-culture-de-engagement-au-cinema/9782753542655-p-34691.html

Sommaire - Elsa Boyer, Les dormeurs du val - Jean-Paul Fargier, Le cœur d'une reine - Olivier Neveux, Hélène Châtelain, géographe de voyages insensés - Hélène Châtelain, Le Sablier - Jean-Charles Villata, La vie est faite de morceaux qui ne se joignent pas - Bernard Eisenschitz, Demolishing and Building up the Star Theatre - Patrice Blouin, Ralentir travaux - Dave Kehr, William K. Howard - Charlotte Garson, Du non-mariage comme remariage - Hervé Gauville, Daïnah la métisse franchit la ligne - Marcos Uzal, Chaplin plein champ - Fabrice Revault, Ecce Charlot - Leslie Kaplan, One A.M. déplace le ciel - Victor Chklovski, Chaplin policeman - Pawel Mościcki, Playful pain - E.E. Cummings, Miracles et rêves]]>
» Trafic n° 96 ( POL ) : 04/12/2015 /pol/trafic-96/9782818038055-p-34687.html

Le cinéaste et poète Pierre Perrault (1927-1999) est très certainement l’un des plus grands documentaristes de l’histoire du cinéma. Ce volume aborde son œuvre cinématographique et littéraire, et étudie la permanence et les évolutions de son regard sur une longue période, des années de formation à l’émergence des nouvelles techniques d’enregistrement des images et des sons et des revendications d’émancipation identitaire aux derniers films testamentaires. Il offre des regards croisés sur ses multiples activités d’écrivain, de cinéaste, d’auteur radiophonique. Les chapitres, répartis en quatre parties, sont de nature très différente (témoignages, analyses globales ou plus spécifiques) et présentent une grande variété d’approches (esthétique, historique, génétique, anthropologique, technique), livrant ainsi des éclairages complémentaires sur l’œuvre plurielle du cinéaste. Ils associent des auteurs, des chercheurs et des cinéastes, brésiliens, canadiens et français, réunis à l’occasion de deux colloques coorganisés par l’association Balafon et l’IRCAV. Cet ouvrage collectif témoigne de l’actualité des recherches menées ces dernières années sur un cinéaste de renommée internationale, qui reste pourtant méconnu bien que son œuvre soit consultable en ligne sur le site de l’ONF. Ce livre est accompagné de photographies issues de la photothèque de l’ONF et de la collection de Martin Leclerc. Il comprend également une filmographie et une bibliographie détaillée.]]>
» Théorème 25 - A grande allure. L'œuvre de Pierre Perrault ( Presses Sorbonne nouvelle ) : 04/12/2015 /presses-sorbonne-nouvelle/theoreme-25/9782878546781-p-34714.html

Découvrez les plus glorieux arrêts sur image, les affiches originales, les critiques les plus passionnées ainsi que les anecdotes les plus amusantes et incontournables sur vos films préférés. Et ce n’est pas tout : les meilleurs moments de chaque film s’accompagnent de la bande originale. Une chose est certaine: aucun amoureux du cinéma ne passera à côté de ce fabuleux régal audiovisuel et musical (8 CD, 9 heures de musique, 140 thèmes cinématographiques), car au cinéma, les images et la musique sont irrémédiablement liées. Une sélection subjective qui nous invite à revivre la nostalgie, à redécouvrir des joyaux oubliés et à en connaître de nouveaux. Un livre de référence !]]>
» Films : silence ! moteur ! action ! ( White star ) : 03/12/2015 /white-star/films-silence-moteur-action/9788861127678-p-34685.html

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» Cahiers du Cinéma n° 717 ( Cahiers du Cinéma ) : 03/12/2015 /cahiers-du-cinema/cahiers-du-cinema-717/9782866429768-p-34720.html

Cet ouvrage consacré à Kenji Mizoguchi (1898-1956), l’un des grands noms de l’art cinématographique se veut, avant tout, une introduction générale à sa vie et à son oeuvre à la fois réaliste et poétique, humaniste et féministe. Son exigence morale et sa quête du sublime par la mise en scène se confondent alors pour offrir au spectateur une vision du monde et du cinéma tout autant classique que résolument moderne.]]>
» Mizoguchi, pour l'amour des femmes ( l'Amandier ) : 03/12/2015 /amandier/mizoguchi-pour-amour-des-femmes/9782355162947-p-33807.html

Icône du grand magasin parisien et incarnation d’un luxe et d’une modernité à la française, le Printemps constitue depuis des générations un haut lieu de la mode, de la beauté et du style. Miroir d’une société en constante évolution, il est le lieu où tout s’expose, se crée, se diffuse : créations des célèbres ateliers Primavera ; collaborations avec Paul Poiret, Pierre Cardin, Christian Lacroix, Karl Lagerfeld, qui imaginent le vestiaire de la femme moderne ; vitrines mises en scène par Nick Knight ou Chanel ; collections capsules de Victoria Beckham ou Manolo Blahnik ; affiches dessinées par Gruau ou Philippe Delhomme. De l’art de vendre à l’art de vivre, le Printemps demeure le temple du chic de la Parisienne.]]>
» C'est le Printemps - De 1865 à demain, l'histoire du grand magasin parisien ( La Martinière ) : 03/12/2015 /la-martiniere/est-le-printemps/9782732467207-p-33982.html

Ce livre est unique ! Il constitue un tribut inédit au cinéma de Science-Fiction… Vous allez découvrir ce que le mot passion veut dire : un amour démesuré pour ces artistes, ces inventeurs, qui donnent corps aux visions des écrivains ou des réalisateurs. Entre vos mains, vous tenez le témoignage de ceux qui créent ces univers qui nous font rêver depuis les origines du genre SF. En plusieurs décennies d’un travail acharné, Arnaud Grunberg a réuni une kyrielle d’objets, de maquettes, de costumes, d’illustrations originales… Avec Patrice Girod, grand spécialiste de Star Wars, il nous ouvre les portes de cette caverne aux trésors. Des merveilles qui révèlent des secrets insoupçonnés : comment Luke perd-il sa main dans L’Empire contre-attaque ? Quels détails recèlent les costumes de Marty dans Retour vers le futur ? Avez-vous déjà vu de près les vaisseaux d’Alien ou de Starship Troopers ? Comment sont créées les affiches des films comme Star Trek ou Indiana Jones ? Sans compter les gadgets promotionnels, jouets de toutes tailles, ou autres documents rares qui viennent enrichir l’hommage rendu à ces films inoubliables. Plusieurs centaines de photos réalisées par le talentueux Benjamin Taguemount vous permettront de juger de l’incroyable soin du détail et de l’élégance de cette collection exceptionnelle.]]>
» Générations science-fiction : de Flash Gordon à Matrix ( Bragelonne ) : 02/12/2015 /bragelonne/generations-science-fiction-de-flash-gordon-matrix/9782352949169-p-34677.html

Le western est le genre cinématographique par excellence. Patrick Brion, spécialiste du cinéma américain, propose un panorama de l’essentiel des films qui ont façonné ce genre depuis plus d’un siècle. Ce livre présente les westerns les plus importants produits de 1903 à 2014.À l’heure où ce genre réalise les meilleures audiences des chaînes thématiques (Ciné+ Classic…) et des ventes de DVD conséquentes, cet ouvrage de référence présente les films essentiels depuis la naissance du genre il y a plus d’un siècle. Chaque film est analysé et illustré. La présentation est chronologique par grandes époques. C’est un ouvrage à ce jour sans équivalent. Plus de 1100 films et près de 1200 illustrations, photos et documents. Édition limitée en deux volumes, complète avec un hors texte de 24 pages dans le volume 1 (reproduction lobby cards originales), un encart dépliant dans le volume 2 (press book How The West Was Won) et un fac-similé de 12 pages en encart libre (The Rapid City Daily Journal).]]>
» Encyclopédie du western ( Télémaque ) : 27/11/2015 /telemaque/encyclopedie-du-western/9782753302808-p-34678.html

Le coffret collector de 100 cartes postales James bond. Le meilleurs des affiches internationales, photos de tournages et créations des équipes des films de cette saga culte en petit formats collectors.]]>
» James Bond : 100 cartes postales ( Huginn & Muninn ) : 27/11/2015 /huginn-muninn/james-bond-100-cartes-postales/9782364800465-p-34672.html

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» L'Avant-scène cinéma n° 627 - J'attends quelqu'un : un film de Jérôme Bonnell ( l'Avant-scène cinéma ) : 27/11/2015 /avant-scene-cinema/avant-scene-cinema-627/9782847251227-p-34673.html

Du Dernier des Mohicans de Cooper aux romans de Gustave Aimard et de Karl May, en passant par les « dime-novels », le western a d’abord des origines littéraires. La généalogie du genre passe par les récits de captivité, la terreur gothique liée à l’émergence de la littérature américaine, la fascination pour la violence et le sacré, le rêve (ou le cauchemar) américain. Il puise dans l’histoire de l’Amérique, glorifiant l’épopée des pionniers, sans négliger les Guerres indiennes. Surtout, le western mythifie certains personnages historiques. À la fin de L’Homme qui tua Liberty Valance, une phrase résume l’essence du western : « Quand la légende devient réalité, imprimez la légende ! » Un sujet aussi ample que le western requiert une constellation d’approches, que ce soit dans le domaine de la littérature, des arts plastiques et visuels, de la musique et de la civilisation nord-américaine. Il s’agit aussi de revisiter les « figures mythiques » tels Bas de Cuir, Daniel Boone, Jesse James, Billy the Kid, Calamity Jane, Buffalo Bill, et d’autres figures du genre : le cow-boy, l’éclaireur, le shérif, le pionnier, le héros solitaire, la femme fatale. Des topoi sont convoqués, comme la wilderness, la Prairie, le désert, la ville, le saloon, etc. Les motifs westerniens se déclinent dans toutes les formes de la culture savante et populaire et servent des discours critiques, polémiques, voire politiques. Le western connaît les fluctuations de la modernité et de la post-modernité, avec des approches sociologiques, multiculturelles, pluriethniques ou féministes, conduisant à de nouveaux regards sur le genre et à des remises en cause d’une doxa par la satire, le décalage ou l’inversion ironiques, la parodie, le pastiche, l’hybridation générique, la déconstruction des mythes et des icônes, non sans une dose parfois de nostalgie.]]>
» Le western et les mythes de l'ouest - Littérature et arts de l'image ( Presses universitaires de Rennes ) : 27/11/2015 /presses-universitaires-de-rennes/le-western-et-les-mythes-de-ouest/9782753542631-p-34679.html

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» Les Inrocks 2 - Star Wars : l'envers du mythe ( Les Inrocks ) : 27/11/2015 /les-inrocks/les-inrocks/3663322087165-p-34681.html

Star Wars, ou l’histoire de l’Amérique, celle d’un Empire incarnant successivement le Bien et le Mal et d’une nation qui, à trop avoir eu besoin de démons, s’est trop souvent perdue. Face à l’obsession sécuritaire désormais constante, la question que pose la saga est celle de l’avenir de l’Amérique, et au-delà, de nos démocraties. Mais si la saga nous touche si profondément, c’est parce que l’histoire de la nation tiraillée entre le Bien et le Mal s’incarne dans la trajectoire mythologique d’un héros à la recherche de son père, et finalement de lui-même. Grand paradoxe de Star Wars, la saga aura rendu possible l’arrivée au pouvoir de Ronald Reagan et sa révolution conservatrice alors que le projet s’inscrivait dans une tradition contre-culturelle. Dans un pays égaré, qui craint plus que jamais peut-être de décliner, qui sera capable, sans agiter le spectre dangereux de la peur, de renouer avec le projet des Pères fondateurs ? De retrouver, finalement, le « père » ? À l’occasion de la sortie mondiale de Star Wars 7, et à travers le prisme de la saga, Thomas Snégaroff nous offre un regard sur la culture politique américaine et, au-delà, le destin de l’Occident.]]>
» Je suis ton père - La saga Star Wars, l'Amérique et ses démons ( Naïve ) : 27/11/2015 /naive/je-suis-ton-pere/9782350213958-p-34680.html

« Dans chaque pays, il y a un fou qui m’admire, en France, c’est toi ! » C’est sur ce constat, non dénué d’humour et d’autodérision, que Jess Franco concluait, en février 1973, un entretien fleuve avec l’auteur du présent ouvrage dans le salon de son hôtel parisien. Cette rencontre marqua le début d’une amitié qui ne s’est, au cours des quarante années à venir, jamais démentie. En 1994, Alain Petit décide d’éditer, à compte d’auteur, le fruit d’un travail impressionnant amorcé, dès 1971, par le biais de son premier fanzine. Morcelé en six volumes, cet ouvrage a connu une diffusion confidentielle qui l’a rendu quasiment introuvable, ce dès sa publication initiale. Agrémenté d’un copieux dictionnaire, cet ouvrage a fait l’objet, en 1998, d’une réédition en huit volumes, réédition toute aussi confidentielle, sous les auspices du fanzine Ciné Zine Zone. Vous tenez donc entre les mains l’intégrale des mythiques Manacoa Files, édition soigneusement mise à jour en 2014, sous une identité souhaitée, à l’origine, par son auteur : Jess Franco ou les prospérités du Bis. Désormais disponible, cet ouvrage couvre les soixante ans de carrière (1953-2013) du plus singulier, du plus marginal, des cinéastes espagnols, un cinéaste que la postérité pourrait peut-être bien un jour qualifier de chaînon manquant entre Luis Bunuel et Pedro Almodovar. Ce livre est tout simplement la Bible ultime et définitive sur Jess Franco.]]>
» Jess Franco ou les prospérités du bis ( Artus Films ) : 27/11/2015 /artus-films/jess-franco-ou-les-prosperites-du-bis/9782954843537-p-34682.html

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» Télérama hors-série - Star Wars, tout un univers ( Télérama ) : 25/11/2015 /telerama/telerama-hors-serie/9782914927796-p-34689.html

Écrivains, cinéastes, quidams du Web, les auteurs issus de groupes de mémoire différents (harkis, immigration algérienne, pieds-noirs) vivent leur rapport au passé à partir du présent et font mémoire, (tout) contre l'histoire. De leur médium d'énonciation, un lieu de mémoire de la colonie s'érige.]]>
» Le Partage des mémoires - La guerre d'Algérie en littérature, au cinéma et sur le web ( Classiques Garnier ) : 25/11/2015 /classiques-garnier/le-partage-des-memoires/9782812438363-p-34683.html

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» Manuel du Padawan ( Hachette ) : 25/11/2015 /hachette/manuel-du-padawan/9782011461162-p-34666.html

Écrivains, cinéastes, quidams du Web, les auteurs issus de groupes de mémoire différents (harkis, immigration algérienne, pieds-noirs) vivent leur rapport au passé à partir du présent et font mémoire, (tout) contre l'histoire. De leur médium d'énonciation, un lieu de mémoire de la colonie s'érige.]]>
» Le Partage des mémoires - La guerre d'Algérie en littérature, au cinéma et sur le web ( Classiques Garnier ) : 25/11/2015 /classiques-garnier/le-partage-des-memoires/9782812438356-p-34684.html

Catalogue publié à l'occasion de l'exposition "La Mode retrouvée. Les robes trésors de la comtesse Greffulhe" présentée au Palais Galliera du 7 novembre 2015 au 20 mars 2016 Enrichi d’essais inédits, cet ouvrage présente une cinquantaine de manteaux, tenues d’intérieur, robes de jour et du soir, griffés Worth, Fortuny, Babani ou Lanvin, accompagnés d’accessoires, de portraits et de nombreuses photographies...]]>
» La mode retrouvée - Les robes trésors de la comtesse Greffulhe ( Paris musées ) : 25/11/2015 /paris-musees/la-mode-retrouvee/9782759603053-p-34631.html

« Je n’ai finalement pas tant pour projet de faire des livres que de faire une vie. Partagé entre le dehors de l’écriture et le dedans de la vie, j’ai fini par passer mon temps à prendre des notes, à annoter mon existence comme on annote un livre. Le détour que je fais ici par le personnage à peine fictif du marin me fait passer du livre au film, du commentaire de mon existence à la voix off de ma vie. » Après des études de théologie protestante, Fabrice Reymond conçoit des documentaires pour France Culture entre1993 et1998, puis s’engage dans l’aventure de l’art. Depuis 2008, il publie tous les deux ans le nouveau tome d’un projet intitulé « Anabase », le livre d’une vie, construit comme un musée conservant des fragments de textes patiemment consignés. L’énoncé programmatique d’« Anabase » est le suivant : « Perdu sur le chemin du retour, on sème les indices qui dessinent la carte du présent. » En 2008, Fabrice Reymond codirige l’anthologie Art conceptuel, une entologie, conçue comme un manifeste littéraire qui affirme la dimension littéraire et fictionnelle des énoncés conceptuels, et qui permet au texte d’excéder les styles, les genres, les formats et d’échapper à la clôture du livre.]]>
» À l’opéra derrière un poteau ( Post-éditions ) : 23/11/2015 /post-editions/opera-derriere-un-poteau/9791092616132-p-34669.html

Ville tentaculaire, Tokyo est aussi un assemblage de villages. C’est ce Tokyo au carrefour de la tradition et de la modernité mis en scène par de nombreux cinéastes de toutes nationalités qu’Adrien Gombeaud nous invite à revisiter. Un voyage dont le cinéma est le fil conducteur et qui permettra à beaucoup de retrouver les lieux des scènes les plus mythiques des nombreux films qui y furent tournés. Plus de soixante films des réalisateurs les plus prestigieux, d’Ozu à Kurosawa, de Samuel Fuller à Takeshi Kitano, en passant par Chris Marker, Alain Corneau et Sofia Coppola, sont évoqués dans ce ciné-guide de Tokyo enrichi de plusieurs index (films, réalisateurs, lieux) et de cartes.]]>
» Tokyo mis en scènes ( Espaces & Signes ) : 23/11/2015 /espaces-signes/tokyo-mis-en-scenes/9791094176108-p-34811.html

Vie et mort des aoûtiens se présente comme un document, c’est le scénario d’un film non réalisé. À plusieurs reprises, pendant la période du mois d’août, Judith Abensour a collecté des enregistrements de voix, des témoignages d’habitants de Paris et de sa banlieue ; elle a mené des entretiens sous la forme de conversations avec l’idée de constituer une encyclopédie de paroles, une sorte de cartographie sonore de la métropole. Il s’agissait d’évoluer dans la zone blanche du mois d’août, de l’utiliser comme caisse de résonance, pour faire émerger des lignes de fuite, des trajectoires qui remettent en jeu la délimitation entre le centre et la périphérie, entre la norme et la marge, entre l’œuvre achevée et celle restée en suspens. Hantise du scénario est un texte de réflexion théorique écrit parallèlement à Vie et mort des aoûtiens.]]>
» Vie et mort des aoûtiens - Suivi de Hantise du scénario ( Post-éditions ) : 23/11/2015 /post-editions/vie-et-mort-des-aoutiens/9791092616125-p-34670.html

Nombre de livres analysent les films comme objets finis, de l'extérieur, mais il n'en existe pas vraiment, à ce jour, qui analysent l'acte de création cinéma lui-même, dans ses choix et sa dynamique. Tout film, toute séquence, tout plan, portent la trace du geste de création dont ils sont l'aboutissement. Cette trace, c'est comme la touche du peintre lorsque l'on s'approche du tableau que l'on a d'abord regardé à la distance convenue : on voit alors le contact du pinceau avec la toile, la matière même dont est faite l'oeuvre. C'est le propos de ce livre : essayer d'approcher l'acte de création de l'intérieur, à la naissance même de ce que va être le film, et tout au long de son processus de création. Il assemble des textes écrits pour diverses revues, publications et conférences. Il trace le chemin d'une réflexion continue de plus de vingt ans, où s'approfondit le travail sur quelques cinéastes essentiels à cette approche : Hitchcock, Rossellini, Godard, Bergman, Renoir, Eustache, Mizoguchi, Truffaut, Jean Vigo, Kiarostami... Il s'adresse à tous ceux que les questions de création (et pas seulement au cinéma) concernent ou intéressent. Il est écrit dans un style simple, accueillant, sans jargon spécialisé et sans péages théoriques. Destiné aussi aux étudiants, aux enseignants et aux chercheurs en cinéma, il est susceptible d'ouvrir de nouvelles voies à l'analyse de film et à la recherche en cinéma.]]>
» La création cinéma ( Yellow now ) : 23/11/2015 /yellow-now/la-creation-cinema/9782873403768-p-34702.html

- Comment et sur quels projets s'engager ? - Sur quels critères appuyer ses choix stratégiques ? - Comment structurer le travail entre l'équipe de production et de réalisation ? - Quelle relation faut-il entretenir avec les diffuseurs ? - Quelles informations financières doit-on impérativement maîtriser ? - Quelles sont les sources de financements ? Toute la chaîne de décision est minutieusement décrite en s'appuyant sur des projets concrets, allant du choix du sujet à sa mise en diffusion en passant par le développement artistiques et économique, le financement et la production. Cet ouvrage fait la synthèse d'un métier à multiples facettes, où il faut savoir être successivement : aventurier, coach, enquêteur, financier, gestionnaire, logisticien, communicant et… joueur ! Cet ouvrage est relié à un site internet de plus de 600 pages, comprenant de nombreux dossiers de films.]]>
» Produire un documentaire ( Dixit ) : 20/11/2015 /dixit/produire-un-documentaire/9782844811684-p-34663.html

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» 007 : Dans les coulisses de Spectre ( Huginn & Muninn ) : 20/11/2015 /huginn-muninn/007-dans-les-coulisses-de-spectre/9782364803954-p-34671.html

Il y a eu des grands acteurs belges de cinéma avant Benoît Poelvoorde. Mais ils étaient obligés de se fondre dans le moule du cinéma français. Benoît, lui, a déboulé au Festival de Cannes en 1992 avec une bombe, « C’est arrivé près de chez vous », pseudo-reportage délirant dans lequel il incarne un truculent tueur à gages… D’emblée, il a imposé un humour belge irrésistible et un tempérament d’acteur inimitable. En près de vingt-cinq ans de carrière, il a incarné une gamme étonnante de personnages : du guide autoritaire (« Les randonneurs ») au sosie de Claude François (« Podium ») en passant par le vétérinaire serial killer (« Entre ses mains »)… Sans oublier Dieu en personne ! (« Le tout nouveau testament » de Jaco Van Dormael). Le résultat : Poelvoorde est une vraie star, populaire, généreuse, démesurée. Grâce à lui, le Belge est devenu « tendance », et plus seulement la victime des blagues de Coluche… Un exploit !]]>
» Poelvoorde, l'inclassable - Entretiens 1992-2015 ( Renaissance Du Livre ) : 20/11/2015 /renaissance-du-livre/poelvoorde-inclassable/9782507053307-p-34657.html

Nourriture à toutes les sauces. Et cinéma à savourer. Cinéma à la carte propose une analyse à large spectre de la façon dont on mange et dont on a mangé sur le grand écran depuis l’aube du Septième art. Conçu comme un long repas, qui débute avec les frères Lumière pour arriver à nos jours, ce livre illustre par thèmatiques des films anciens et récents, plus ou moins célèbres, dans lesquels la nourriture tient le rôle principal et a une fonction précise, celle d’exprimer, selon les cas, la richesse ou la pauvreté. Sexe, amour ou cannibalisme. Vengeance, cruauté, diplomatie. Adultération et pureté. De la science-fiction du pionnier Georges Méliès à l’usage que firent Chaplin et John Ford de la nourriture, du Festin de Babette aux déjeuners ethniques à la mode – parmi lesquels ressortent ceux du défi franco-indien des Recettes du bonheur –, Stefano Giani nous raconte avec une profusion de détails les repas « cinématographiques » d’hier et d’aujourd’hui, entre histoire, coutumes, société et gastronomie.]]>
» Cinéma à la carte - Parcours entre films, histoire et nourriture ( Gremese ) : 20/11/2015 /gremese/cinema-la-carte/9782366770902-p-34676.html

Les ouvrages de la collection « Anatomie d'un acteur » étudient de manière exhaustive le parcours des plus grands acteurs mondiaux, à travers une analyse de dix rôles emblématiques. Les auteurs de la collection s’attachent à comprendre pourquoi et comment ces stars du cinéma sont devenues quelques-unes des figures les plus respectées et influentes dans le monde du cinéma. Chaque titre est divisé en 10 chapitres, chacun d’entre eux étant consacré à un rôle spécifique, et illustré de photographies de plateau et de tournage.]]>
» Johnny Depp ( Cahiers du Cinéma ) : 20/11/2015 /cahiers-du-cinema/johnny-depp/9782866429652-p-33671.html

Il y a dans le cinéma de Terrence Malick un peu plus que du cinéma. C'est à ce supplément que Philippe Fraisse consacre son essai richement illustré. Les films de Malick, depuis La Balade sauvage jusqu'au prochain Knight of Cups, en passant par Les Moissons du ciel, La Ligne rouge, Le Nouveau Monde, Tree of Life, À la merveille, offrent un imagier bruissant de voix chuchotantes qui invite à la méditation et à une expérience intérieure. Dans le vacarme des sociétés de contrôle médiatique une oeuvre telle, avant tout exigeante en silence, a peu de chance d'être saluée par autre chose que les plus grossiers contresens. Malick est travesti en prosélyte de l'église épiscopalienne, en propagandiste du christianisme. Est-il question chez Malick de Trinité ou d'Incarnation, ou bien plus simplement d'anges, d'amour et de théophanie ? Dans nos troupeaux où tout se revendique et se milite, où chaque élan de la vie est ramené à une succession de calculs économiques, le spirituel est condamné d'emblée comme religieux. Terrence Malick reste notre contemporain. Sa quête de pureté nous interpelle, et s'il peut être qualifié de poète pastoral, c'est parce qu'il filme la nature d'une façon incomparable en parvenant à en capter la brillance et l'éclat, saisissant une lumière qui est la manifestation d'une lumière invisible, celle de l'esprit. Le texan Malick n'est ni un prédicateur ni un écologiste. Les images qu'il nous propose ne sont pas des tableaux édifiants. Jamais chez ce cinéaste ce qui est donné à voir ne relève du spectacle, posé devant nous comme artifice à consommer. Il cherche les images-états, les images-perceptions qui effacent la distance du sujet à l'objet afin d'ouvrir un espace qui n'est plus de contrôle ou de représentation mais de présence. Plus que tout Malick aime filmer les abords des rivières, et les embarcations réelles ou figurées qui les parcourent. Puisse son cinéma, contre toute certitude, irriguer à nouveau les lits des rivières asséchées, et rendre à nos vies les symboles dont nos vies se nourrissent.]]>
» Un jardin parmi les flammes - Le cinéma de Terrence Malick ( Rouge Profond ) : 20/11/2015 /rouge-profond/un-jardin-parmi-les-flammes/9782915083842-p-34155.html

Raconter une histoire est à la portée de n’importe qui. Écrire un scénario, c’est autre chose. Voulez-vous créer un univers original ? Savoir comment accrocher l’attention du spectateur ? Comment rendre vos personnages vivants et crédibles ? Comment donner du sens à votre récit ? Comment créer des rebondissements pour relancer l’intrigue ? Voulez-vous fourvoyer le spectateur dans une fausse piste ? Faut-il des intrigues secondaires ? À quoi sert un MacGuffin ? Qu’y a-t-il comme flashs à part les Flash-back ? Les ellipses temporelles peuvent-elles servir à autre chose que gagner du temps ? Qu’est-ce qui rend les méchants mémorables ? Comment les conflits font-ils avancer l’histoire ? Par quelle scène commencer un scénario ? Quelles sont les règles de mise en forme à respecter pour présenter un scénario à un producteur ? Que doit-on mettre dans une note d’intention ? Tous les livres traitant du scénario vous expliquent comment structurer un récit, en y intégrant harmonieusement genre, univers, personnages, thèmes, rythme, points de vue, action, signification et émotions. Conçu comme une boîte à outil interactive, ce kit de survie vous propose beaucoup plus. Il contient de redoutables techniques pour faire de vos scénarios des pièces uniques : flashs psychologiques, ellipses de dissimulation, détournement d’icônes et de clichés, création d’effets tragiques, dramatiques et comiques, etc. Il est destiné à vous accompagner dans chaque étape de votre périple créatif, aussi particulier soit-il. Débutant(e) ou expérimenté(e), vous y trouverez toutes les notions fondamentales qu’un scénariste doit connaître, accompagnées d’exemples variés et d’exercices de mise en pratique. À l’issue de chaque chapitre, plusieurs directions sont proposées, faisant de votre lecture une aventure unique et personnelle. 261 œuvres citées – 78 exercices d’analyse et d’écriture]]>
» Kit de survie du scénariste ( LettMotif ) : 20/11/2015 /lettmotif/kit-de-survie-du-scenariste/9782367161518-p-34582.html

Raconter une histoire est à la portée de n’importe qui. Écrire un scénario, c’est autre chose. Voulez-vous créer un univers original ? Savoir comment accrocher l’attention du spectateur ? Comment rendre vos personnages vivants et crédibles ? Comment donner du sens à votre récit ? Comment créer des rebondissements pour relancer l’intrigue ? Voulez-vous fourvoyer le spectateur dans une fausse piste ? Faut-il des intrigues secondaires ? À quoi sert un MacGuffin ? Qu’y a-t-il comme flashs à part les Flash-back ? Les ellipses temporelles peuvent-elles servir à autre chose que gagner du temps ? Qu’est-ce qui rend les méchants mémorables ? Comment les conflits font-ils avancer l’histoire ? Par quelle scène commencer un scénario ? Quelles sont les règles de mise en forme à respecter pour présenter un scénario à un producteur ? Que doit-on mettre dans une note d’intention ? Tous les livres traitant du scénario vous expliquent comment structurer un récit, en y intégrant harmonieusement genre, univers, personnages, thèmes, rythme, points de vue, action, signification et émotions. Conçu comme une boîte à outil interactive, ce kit de survie vous propose beaucoup plus. Il contient de redoutables techniques pour faire de vos scénarios des pièces uniques : flashs psychologiques, ellipses de dissimulation, détournement d’icônes et de clichés, création d’effets tragiques, dramatiques et comiques, etc. Il est destiné à vous accompagner dans chaque étape de votre périple créatif, aussi particulier soit-il. Débutant(e) ou expérimenté(e), vous y trouverez toutes les notions fondamentales qu’un scénariste doit connaître, accompagnées d’exemples variés et d’exercices de mise en pratique. À l’issue de chaque chapitre, plusieurs directions sont proposées, faisant de votre lecture une aventure unique et personnelle. 261 œuvres citées – 78 exercices d’analyse et d’écriture]]>
» Kit de survie du scénariste ( LettMotif ) : 20/11/2015 /lettmotif/kit-de-survie-du-scenariste/9782367161501-p-34583.html

Le cinéma a ses aficionados, le train ses tifosi et quand on croise ces deux populations de passionnés, on obtient des amateurs qui ont accueilli avec enthousiasme une première sélection d'une centaine de films, depuis « L'Arrivée d'un train en gare de la Ciotat » des frères Lumière (1896), dans un premier volume : "Le train fait son cinéma". Mais toute sélection - fût elle savante ou gourmande - toujours réductrice, tant le train est une star de cinéma non seulement en France et aux Etats-Unis mais finalement sur tous les continents. Les auteurs, Patrick Brion et Georges Di Lallo, se sont remis à l'ouvrage, élargissant leur propos à près de 130 films. Ce deuxième tome est ainsi l'occasion de revenir sur des grands films français, américains et d'autres nationalités comme le cinéma russe ou égyptien, où le « cheval de fer » occupe tout l'écran et fait la concurrence aux premiers rôles.]]>
» Le train fait son cinéma 2 ( Riveneuve ) : 19/11/2015 /riveneuve/le-train-fait-son-cinema/9782360133529-p-34626.html

Parce qu'ils ont marqué son parcours, Audrey Pulvar brosse le portrait d'une vingtaine d'hommes aux destins exceptionnels. D'Alexandre Dumas à Salman Rushdie, en passant par Albert Camus, Martin L. King ou André Brink, Audrey Pulvar les raconte avec toute la force de ses convictions et un attachement profond à chacun d'entre eux.]]>
» Libres et insoumis - Portraits d'hommes singuliers ( La Martinière ) : 19/11/2015 /la-martiniere/libres-et-insoumis/9782732474694-p-34637.html

Je revendique complètement ma connerie et mes dérapages. Parce qu’il y a là quelque chose de vrai. Et si on ne dérape jamais, c’est souvent qu’on est un peu con. Je ne maîtrise rien, je ne fais que suivre, et parfois supporter mon amour de la vie et des autres. Un amour qui, comme disait François Truffaut, est à la fois une joie et une souffrance. Je ne cherche pas à être un saint. Je ne suis pas contre, mais être un saint, c’est dur. La vie d’un saint est chiante. Je préfère être ce que je suis. Continuer à être ce que je suis. Un innocent.]]>
» Innocent ( le Cherche Midi ) : 19/11/2015 /le-cherche-midi/innocent/9782749148892-p-34668.html

La reine de la nuit revient sur son parcours, de ses débuts dans une boutique de Juan-Les-Pins à son arrivée à Paris avec l'ouverture de sa première boîte de nuit, jusqu'à ses tribulations dans le milieu du show-business, ses succès dans la chanson et ses nombreuses rencontres avec des personnalités de tous bords.]]>
» Mes nuits, mes rencontres ( Hors collection ) : 19/11/2015 /hors-collection/mes-nuits-mes-rencontres/9782258130203-p-34667.html

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» Ainsi parlait Yoda - Philosophie intergalactique ( Michel Lafon ) : 19/11/2015 /michel-lafon/ainsi-parlait-yoda/9782749926131-p-34664.html

Des jeux et activités et un manuel de montage pour assembler la maquette de R2D2 grâce à six planches cartonnées avec les pièces prédécoupées.]]>
» Star Wars : construis R2-D2 ( Hachette Jeunesse ) : 18/11/2015 /hachette-jeunesse/star-wars-construis-r2-d2/9782012046405-p-34665.html

Berlin s'est imposé comme une capitale culturelle et artistique de premier plan en Europe. Chaque année, elle attire dix millions de visiteurs en ses murs qui abritent plus de 150 musées, quelque 140 bibliothèques et près de 60 théâtres... Les créateurs y affluent du monde entier, la transformant en un creuset de création rappelant le New York des années 1980. En perpétuel réaménagement ou reconstruction, elle doit sa vitalité à une histoire aussi mouvementée que singulière. Fondée au XIIe siècle, la ville a été successivement capitale du Royaume de Prusse (1701-1871), de l'Empire allemand (1871-1918), de la République de Weimar (1919-1933) et du Troisième Reich (1933-1945), puis scindée en deux secteurs durant la Guerre froide, avant de retrouver son unité après la chute du Mur en 1989. Son patrimoine architectural et urbain reflète ces pages d'histoire, glorieuses ou sombres, ce destin qui a donné à la cité son visage contemporain, cosmopolite et dynamique. Cette luxueuse monographie illustrée de 500 reproductions vous invite à parcourir cette ville d'art et d'histoire fascinante. De la porte de Brandebourg au château de Charlottenburg, en passant par le quartier Saint Nicolas, l'Île des musées, la Potsdamer Platz, la Karl-Marx Allee, le Reichstag, sans oublier les nombreux jardins et les vestiges du Mur, l'historien de l'art berlinois Godehard Janzing nous dévoile cette cité-monde sous toutes ces facettes.]]>
» Berlin ( Citadelles & Mazenod ) : 18/11/2015 /citadelles-mazenod/berlin/9782850886294-p-33843.html

Le livre référence de deux siècles d'effets spéciaux pour découvrir l'univers du fantastique. Des coulisses de Méliès, en passant par les premières images de synthèse de TRON, jusquà Matrix, Avatar et aux derniers Star Wars et Marvel movies, toutes les techniques sont présentées, expliquées et richement illustrées : animation image par image, effets optiques et numériques, animatronique, pyrothechnie, maquettes et personnages en 3 D... Les plus grands spécialistes aux Etats-Unis, au Japon, en Australie... ont accepté de répondre aux questions de Pascal Pinteau, journaliste, scénariste, concepteur de trucages et témoin privilégié de l'évolution de ces techniques.]]>
» Effets spéciaux : 2 siècles d'histoire ( Bragelonne ) : 18/11/2015 /bragelonne/effets-speciaux-siecles-histoire/9782352949084-p-34562.html

Ce premier numéro de notre nouvelle collection d’ouvrages cinéma s’adresse aux cinéphiles d’un jour comme aux cinéphiles de toujours. On ne vous propose pas moins que l’équivalent d’un film par semaine, disons par exemple le film du dimanche soir. Et imaginez que désormais chaque dimanche vous verrez un BON film. Quelques soient vos goûts, ce Capsules vous propose un florilège du meilleur du cinéma mondial. Au moins vous connaîtrez, vous goûterez, et vous sélectionnerez. On en discute après ? Caspules c’est aussi des entretiens avec Miguel Gomes, Arnaud Desplechin, László Nemes, Kiyoshi Kurosawa, Émilie Brisavoine, Thomas Salvador, Philippe Faucon, Gaspar Noé et Marco Bellocchio Et des papiers passionnés sur Viggo Mortensen, Steve Carell ou encore James Bond.]]>
» Capsules : Les 50 meilleurs films de 2015 ( Les Fiches du cinéma ) : 16/11/2015 /les-fiches-du-cinema/capsules-les-50-meilleurs-films-de-2015/9782902516261-p-34674.html

Cet ouvrage propose à celles et ceux, amateurs ou professionnels, qui animent des ateliers de théâtre, une approche à la fois ludique et pratique de la formation à l’art de la scène et au jeu d’acteur. Présenté sous la forme d’ateliers, il aide les formateurs à bâtir une séance de travail de A à Z, du rituel du training à la mise en espace d’un texte. Passant en revue les fondamentaux de l’acteur (corps, voix, imaginaire, relation à l’espace scénique et au public...), et les différentes techniques de théâtre, il aborde également la dramaturgie et le travail d’interprétation d’une scène ou d’un rôle. Au fil des 250 exercices pratiques et improvisations commentées, les pédagogues trouveront outils et pistes de travail, conseils et références théâtrales leur permettant d’étayer et de développer leur propre méthode. Un guide complet pour les aider dans leur mission : transmettre l’art singulier du théâtre, et former les acteurs aux spécificités de la scène actuelle.]]>
» 35 ateliers théâtre pour devenir acteur - Du training au travail d'interprétation ( L'Harmattan ) : 16/11/2015 /harmattan/35-ateliers-theatre-pour-devenir-acteur/9782343072685-p-34675.html

La Série Noire est née durant l’été 1945. Marcel Duhamel l’a dirigée pendant trente-trois ans, au sein de la maison d’édition de Gaston et Claude Gallimard. Ami de longue date de Jacques Prévert et de Raymond Queneau, féru de littérature américaine, Marcel Duhamel s’est entièrement voué à cette passionnante et frénétique entreprise éditoriale, commencée modestement avant de devenir l’une des collections phares de la NRF. Bon marché et largement diffusée, la Série Noire a été accueillie à bras ouverts par les lecteurs français de l’après-guerre fascinés par l’Amérique, scène mythique de ces romans noirs rugueux et haletants, hérités des pulps et puissamment relayés par le cinéma. «C’est Duhamel qui a créé le genre avec sa Série Noire, a pourtant écrit Manchette. Duhamel a inventé la grande littérature morale de notre époque. Il faisait semblant de ne pas le savoir.» L’homme, professionnel tenace, n’était pas dogmatique ; sa collection ne l’a pas été plus que lui, trouvant, de son vivant comme à sa suite, les moyens de se réinventer ou de se réajuster, sans piétiner l’héritage. Jamais un album n’avait été consacré à l’histoire éditoriale, commerciale et littéraire de cette collection emblématique, riche de quelque trois mille titres. L’anniversaire de ses soixante-dix ans offre l’occasion d’y remédier, en retraçant un parcours rythmé par la succession de quatre directeurs et par les métamorphoses d’un genre, porté par plusieurs générations d’auteurs – anglo-saxons, français puis du monde entier –, tous porteurs d’une certaine conscience de notre temps. Trois cents documents, issus notamment des archives de la maison Gallimard, viennent ainsi illustrer des contributions inédites sur l’histoire de la Série Noire, d’hier à aujourd’hui.]]>
» C'est l'histoire de la Série Noire 1945-2015 ( Gallimard ) : 13/11/2015 /gallimard/est-histoire-de-la-serie-noire-1945-2015/9782070107094-p-34661.html

Dernier grand conflit « classique » du XXe siècle, la guerre Iran-Irak (1980-1988) évoque pour les observateurs européens une guerre conventionnelle opposant deux États. Mais c’est aussi celle d’une fantasmagorie de l’islam combattant. Dès lors qu’en Iran une nouvelle catégorie de soldats, les volontaires islamistes, revendique sa vocation au martyre, cette guerre convoque un imaginaire de sacrifice porté par des représentations, notamment cinématographiques, où le martyre à la fois renforce et défie les logiques de mobilisation. Pour comprendre les enjeux historiques, politiques et idéologiques de cette guerre, mais aussi comment elle a été menée et vécue au quotidien par les combattants et les citoyens iraniens, Agnès Devictor analyse l’étonnante production de films de guerre tournés en Iran durant le conflit. Si une partie d’entre eux reste très influencée par le cinéma hollywoodien, en dépit de la Révolution de 1979 et de la condamnation de l’Amérique comme « Grand Satan », une autre cherche à élaborer un genre spécifique à l’Iran, en cohérence avec l’idéologie de la jeune République islamique et avec l’imaginaire shi’ite du martyre. Ainsi, des réalisateurs ont recours à de nouveaux codes narratifs et esthétiques pour raconter le conflit en se référant à la mythologie de la Bataille de Karbalâ, affrontant alors un des tabous les plus forts du cinéma de guerre : montrer la mort de ses propres forces combattantes durant un conflit. Et c’est au sein du cinéma documentaire, dans les films réalisés par les équipes de Mortezâ Âvini et suivant une ligne hautement idéologique, que des propositions très singulières ont lieu, porteuses d’une modernité cinématographique inattendue. Partant des films et s’appuyant sur un travail d’entretiens réalisé en Iran pendant près de dix ans avec ceux qui ont tourné, mis en scène ou produit ces films durant la guerre, cet ouvrage dévoile un pan inconnu du cinéma iranien, celui où créateurs d’images, combattants et martyrs partagèrent sur les champs de bataille le destin de l’Iran.]]>
» Images, combattants et martyrs - La guerre Iran-Irak vue par le cinéma iranien ( Karthala ) : 13/11/2015 /karthala/images-combattants-et-martyrs/9782811114206-p-34656.html

Cet ouvrage offre un panorama inédit des expressions du racisme, de la xénophobie et de l'antisémitisme dans le sport français du xixe siècle à nos jours. Contre les clichés aveuglément prosports ou férocement antisports, historiens et sociologues démontrent la nature ambivalente de ce loisir et spectacle de masse. Parce que le corps est en jeu, les pulsions xénophobes et racistes s’y expriment avec une rare violence, en même temps que le sport peut constituer un espace de sociabilité transethnique, un creuset d’intégration des étrangers, un corpus de valeurs érigé contre les vents mauvais qui soufflent sur la société française. Ce livre évoque l’histoire des clubs d’immigrés et des clubs communautaires, le patriotisme manifesté par les champions d’origine étrangère à l’occasion des deux guerres mondiales, la politique d’exclusion menée par le régime de Vichy. Il aborde également le cas des champions français issus des colonies, la violence xénophobe au sein des stades de football, l’infériorisation des boxeurs noirs par le racisme blanc… Les auteurs ne passent pas outre la responsabilité de bien des champions, journalistes et hommes politiques dans la diffusion de discours racialistes et de préjugés racistes. Enfin, ils abordent les politiques mises en œuvre par l’État et par les pouvoirs sportifs pour lutter contre toutes formes de xénophobie et de discrimination dans les clubs.]]>
» Le sport en France à l'épreuve du racisme ( Nouveau Monde Editions ) : 13/11/2015 /nouveau-monde-editions/le-sport-en-france-epreuve-du-racisme/9782369422624-p-34660.html

Depuis l'Ancien Régime, l'État français développe une activité croissante de renseignement intérieur et extérieur, qui lui permet de s'affirmer sur la scène internationale et protéger l'information nécessaire à son action. Ce Secret de l'État est diplomatique, policier et militaire. Il entre aujourd'hui en collision avec l'impératif démocratique de transparence et l'espionnage de masse : comment conserver des secrets à l'ère Snowden ? Du chevalier d'Éon aux services secrets de la Ve République, cet ouvrage abondamment illustré bouscule les lieux communs en retraçant l'évolution des différents organes d'espionnage et de contre-espionnage, en présentant les lieux réservés du pouvoir et en exposant les techniques singulières du renseignement. Dans ce livre, publié à l'occasion de l'exposition présentée aux Archives nationales du 4 novembre 2015 au 28 février 2016, des spécialistes lèvent le voile sur un monde souvent fantasmé, ouvrent des fonds d'archives méconnus et présentent des textes et des objets exceptionnels qui jalonnent cette histoire de l'ombre.]]>
» Le secret de l'Etat - Surveiller, protéger, informer XVIIe-XXe siècle ( Nouveau Monde Editions ) : 13/11/2015 /nouveau-monde-editions/le-secret-de-etat/9782369423270-p-34659.html

Cet ouvrage de collection réunit pour la première fois les plus beaux clichés de Terry O’Neill, le photographe privilégié qui, depuis le début des années 1960, capture le meilleur de Bond, sur les plateaux du monde entier ou hors caméra. Pour accompagner ces images majoritairement inédites et prises sur le vif, ce recueil propose aussi une série de textes exclusifs : le journaliste Godfrey Smith évoquant le souvenir de son ami et collègue Ian Fleming, l’éditeur du GQ anglais définissant le style Bond, et les plus connues des James Bond girls, de Honor Blackman jusqu’à Britt Ekland, livrant de nombreuses anecdotes de tournage… Un livre essentiel pour célébrer l’univers et le mythe BOND.]]>
» Tout sur Bond ( Huginn & Muninn ) : 13/11/2015 /huginn-muninn/tout-sur-bond/9782364803534-p-33847.html

James Bond ne doit pas seulement son succès à sa prestance, son courage, ses gadgets, ni même aux ravissantes Girls qui l'entourent ; il le doit aussi à ses dialogues. Percutants, incisifs, surprenants, ils constituent un festival de mots d’esprit et de références en tous genres. Capable de piques volontairement réactionnaires ou misogynes, 007 sait aussi faire preuve d’autodérision, tout en restant attaché à son métier et à son pays. Voilà ce que révèle cet ouvrage, le premier du genre à analyser les dialogues de Bond, de ses comparses et de ses ennemis. Une plongée à la fois pertinente et réjouissante révélant au passage les nombreuses références littéraires, historiques, politiques… d’un James Bond plus cultivé qu’il n’y paraît.]]>
» Le petit James Bond illustré par l'exemple ( Nouveau Monde Editions ) : 13/11/2015 /nouveau-monde-editions/le-petit-james-bond-illustre-par-exemple/9782369423140-p-34597.html

Présent depuis une trentaine d'années aux génériques français, le superviseur des effets visuels est dorénavant un poste incontournable de toutes les productions, intervenant de la préparation d'un projet à sa finalisation en postproduction. Ce guide d'introduction au métier de superviseur des effets visuels présente les contours singuliers de cette profession au quotidien, ses techniques, ses outils, ainsi que les qualités et compétences nécessaires pour l'exercer, souvent par la voix de superviseurs en activité. Il revient aussi sur les formations existantes et les différentes entrées possibles dans ce métier.]]>
» Superviseur des effets visuels pour le cinéma ( Eyrolles ) : 13/11/2015 /eyrolles/superviseur-des-effets-visuels-pour-le-cinema/9782212140187-p-34598.html

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» Quelle est la place des images en histoire ? ( Nouveau Monde Editions ) : 13/11/2015 /nouveau-monde-editions/quelle-est-la-place-des-images-en-histoire/9782369422303-p-34615.html

Quelle créature digère ses victimes pendant 1000 ans ? Quel est le nom de l'ordre monastique dont les membres conservent leur cerveau dans une jarre ? Pourquoi les soeurs de la nuit doivent-elles passer le test de fureur ? Qui nettoie les couloirs de l'étoile noire ?]]>
» Star Wars : Tout ce que vous devez savoir ! ( Hachette Pratique ) : 12/11/2015 /hachette-pratique/star-wars-tout-ce-que-vous-devez-savoir/9782011461216-p-34219.html

Même le plus séducteur des espions peut se révéler fidèle : depuis sa création par Ian Fleming en 1952, James Bond ne s’est presque jamais séparé de… sa montre. Bien plus que de luxueux accessoires, les montres ont véritablement façonné la « James Bond way of life ». Terriblement chics, classiques ou sportives, toujours surprenantes, émanations avant l’heure de la montre connectée. La Submariner de Rolex, la Digitale de Seiko ou encore la Seamaster d’Omega sont devenues des icônes pour les admirateurs de Bond et les amoureux des belles montres. Elles incarnent un symbole masculin absolu, un partenaire d’aventures, mais aussi un style inimitable, un rapport intemporel à l’élégance et à son époque. Dans les romans de Ian Fleming comme au cinéma, James Bond est, au sens propre, le vrai maître du temps. Riche en anecdotes, ce beau livre publié en partenariat avec Royal Quartz, distributeur horloger haut de gamme, décrypte la fabuleuse rencontre entre les deux mythes contemporains que sont l’espion le plus célèbre du monde et sa précieuse montre.]]>
» James Bond, l’espion qui aimait les montres ( le Cherche Midi ) : 12/11/2015 /le-cherche-midi/james-bond-espion-qui-aimait-les-montres/9782749148113-p-34361.html

Pour la première fois, le réalisateur de Bandits, bandits, Brazil, Les Aventures du baron de Münchhausen, The Fisher King, L’Armée des douze singes et Las Vegas Parano – et bien sûr cofondateur des Monty Python – revient sur son passé. De son enfance modeste dans les plaines glacées du Minnesota jusqu’aux sommets d’Hollywood, en passant par le cur de la contre-culture des années 1960 et 1970 à New York, Los Angeles et Londres, Terry Gilliam a vécu une vie aussi trépidante, rocambolesque et anticonformiste que n’importe lequel de ses films. Les « mémoires pré-posthumes » de Gilliam affichent aussi un incroyable casting de seconds rôles – George Harrison, Robin Williams, Jeff Bridges, Robert De Niro, Brad Pitt, Uma Thurman, Johnny Depp, Heath Ledger et tous ses anciens camarades des Monty Python –, ainsi que la participation exceptionnelle de quelques-unes des plus grandes figures culturelles des temps modernes, de Woody Allen à Frank Zappa en passant par Gloria Steinem, Robert Crumb, Richard Nixon et Hunter S. Thompson. Les rencontres de Gilliam, que ce soit avec des gens tout en haut ou parfois tout en bas de l’échelle, sont révélatrices, drôles et férocement jubilatoires.]]>
» Gilliamesque - Mémoires pré-posthumes ( Sonatine ) : 12/11/2015 /sonatine/gilliamesque/9782355843372-p-34584.html

Cet ouvrage monumental est l’aboutissement de 4 années d’inventaires, conduits entre 2009 et 2012 sur l’ensemble de la France métropolitaine. Face au texte présentant le statut de chaque espèce en périodes de reproduction et hivernale, plus de 700 photographies et 1 500 cartes de répartition, complétées par des analyses graphiques et cartographiques, contribuent à décrire le statut actuel de 359 espèces. Cet ouvrage permet d’évaluer l’évolution de l’avifaune depuis 40 ans dans un contexte de changements globaux. Il établit les fondements en matière de recherche sur les oiseaux et définit les orientations pour leur préservation au XXIe siècle. - Une somme unique compilant des millions de données collectées par plus de 10 000 observateurs. - Plus de 700 photographies et 1 500 cartes de répartition. - Pour la première fois, toutes les connaissances sur les oiseaux nicheurs et hivernants de France sont réunies. - LA nouvelle référence des ornithologues français.]]>
» Atlas des oiseaux de France métropolitaine - Nidification et présence hivernale ( Delachaux et Niestlé ) : 12/11/2015 /delachaux-et-niestle/atlas-des-oiseaux-de-france-metropolitaine/9782603018781-p-34585.html

Ce guide a pour principal objectif de résumer les connaissances actuelles en matière de détermination des espèces, sous-espèces, âges et sexes des quelque 84 espèces d’oies, de cygnes et de canards nichant régulièrement à l’état sauvage en Amérique du Nord, en Asie et en Europe sur la base de planches, de dessins, de monographies, de photographies et de cartes. Cet ouvrage propose également des descriptions et illustrations d’hybrides plus ou moins régulièrement rencontrés en nature, issus de plus d’une centaine de croisements différents. Afin d’en faciliter l’utilisation, les planches et les commentaires leur faisant face ont été construits de manière à servir de guide d’identification rapide, en pointant les critères les plus importants. Les monographies sont organisées de façon à présenter une information plus complète, en abordant pour chaque espèce les thèmes suivants : taxinomie, identification, description, sexe et âge, variations géographiques, mensurations, voix, mue, hybridation, habitat et comportement, distribution et population, statut en captivité. Des photographies commentées sont présentées à la fin de chaque monographie pour illustrer les principaux plumages des espèces traitées. À quelques très rares exceptions près, ces photographies concernent des oiseaux sauvages et ont été prises en milieu naturel. Enfin, des cartes de répartition offrent une représentation graphique de la distribution en période de nidification et d’hivernage. - L’ouvrage le plus complet sur le sujet. - Près de 72 planches contenant plus de 900 dessins d’une finesse inégalée. - Plus de 650 photos.]]>
» Canards, cygnes et oies d'Europe, d'Asie et d'Amérique du Nord ( Delachaux et Niestlé ) : 12/11/2015 /delachaux-et-niestle/canards-cygnes-et-oies-europe-asie-et-amerique-du-nord/9782603019290-p-34586.html

Ce dictionnaire est conçu pour répondre aux interrogations des amateurs de photographie et pour leur fournir un bagage théorique indispensable à son appréhension. Il rend compte de toute l’histoire de la photographie sur 180 ans, à travers plus de 1 200 entrées, 300 illustrations et la collaboration de 150 experts. Des définitions à la fois précises et concises, doctes et accessibles, des termes techniques (matériel et procédé) mais aussi des présentations de photographes, de collectifs, d’organisations, de collectionneurs, d’historiens, de critiques, des expositions etc. Le tout savamment illustré de portraits d’artistes, de photographies d’expositions ou encore de schémas techniques.]]>
» Le Dictionnaire de la photographie ( La Martinière ) : 12/11/2015 /la-martiniere/le-dictionnaire-de-la-photographie/9782732471266-p-34616.html

Créations de chaînes, programmes innovants, événements historiques, grandes célébrations nationales, films à succès, séries à ne pas manquer, depuis 60 ans, la télévision est l'invitée permanente du foyer. S'appuyant sur les archives et documents photographiques de Télé 7 Jours, magazine le plus lu de France, créé en 1960, cet ouvrage remonte le temps d'un univers toujours en mouvement, suscitant la nostalgie de programmes ou de présentateurs disparus et interrogeant les nouvelles formes de la télévision aujourd'hui. Tout au long du livre, découvrez les surprises de Télé 7 Jours : dépliants et documents reproduits en fac-similés vous permettront de plonger dans cet univers fascinant.]]>
» Les Archives de la télévision avec Télé 7 jours ( Chêne ) : 12/11/2015 /chene/les-archives-de-la-television-avec-tele-jours/9782812313219-p-34628.html

Designers incontournables du XXe siècle, Charles et Ray Eames ont laissé, au-delà de leurs pièces iconiques, l’image d’un style de vie et d’une philosophie du plaisir sérieux devenue leur marque de fabrique. Préfacé par Eames Demetrios, petit-fils des Eames, ce livre s’appuie sur le témoignage de designers du monde entier qui nous livrent leur point de vue face à cet héritage. Aux archives du Eames Office se superpose une iconographie contemporaine qui met en avant l’incroyable modernité des Eames et le caractère intemporel de leur production.]]>
» Charles et Ray Eames ( La Martinière ) : 12/11/2015 /la-martiniere/charles-et-ray-eames/9782732465425-p-34640.html

Reconnu pour un style qui se passe désormais de signature, son nom est définitivement associé à des lieux d'exception du monde entier : Bruno Moinard est l'un des grands architectes d'intérieur d'aujourd'hui.]]>
» Bruno Moinard - Du trait à la lumière ( La Martinière ) : 12/11/2015 /la-martiniere/bruno-moinard/9782732455204-p-34641.html

Ce beau livre présente l’histoire de Maille à travers les dates marquantes et les personnages emblématiques de cette maison, riche de plus de trois siècles de tradition culinaire. Il propose également une sélection unique de recettes qui permettent d’appréhender l’univers de Maille, à la fois moderne, chic et qualitatif.]]>
» Maille - depuis 1747 ( La Martinière ) : 12/11/2015 /la-martiniere/maille/9782732461885-p-34654.html

Bien sûr, Guillaume Durand a rencontré « tout le monde », les plus grands fauves de la politique et du monde des affaires, de la musique et du sport, comme en témoignent mille scènes émouvantes, tragiques ou drolatiques de ce livre… mais les amateurs de mémoires classiques de journaliste peuvent passer leur chemin. Enfant d’un pays à la périphérie de la gloire, appartenant à cette génération approximative dont les drames n’ont été que des meurtres de couloirs, biberonnée au rock et à la peinture puis droguée à l’opium de la politique et du divertissement avant d’être speedée au sacre de l’argent fou, il raconte à sa manière déjantée, littéraire et mélancolique, les rêves perdus d’une jeunesse, la grandeur perdue d’une culture… et son apocalypse intime où se reflète celle d’une époque. De Sierra Leone à Beyrouth, de Shangaï au Congo, quel est ce fantôme qui harcèle l’auteur de messages anonymes, ravivant les blessures intimes de l’enfance ? « Mon cœur s’est un jour brutalement emballé. Je suis devenu comme presque un million de Français : un arythmique, c'est-à-dire un type qu’on prend pour un hypocondriaque ou un condamné » : bienvenue dans ces Mémoires arythmiques où les fils d’une histoire personnelle tissent peu à peu la tapisserie de notre aventure collective.]]>
» Mémoires d'un arythmique ( Grasset ) : 12/11/2015 /grasset/memoires-un-arythmique/9782246607816-p-34658.html

Henri Rochefort et sa Lanterne, Les Grimaces d’Octave Mirbeau, La France juive d’Édouard Drumont, Zola et son « J’accuse ! », tournant majeur de l’affaire Dreyfus… La fin du xixe siècle signe l’âge d’or du pamphlet, au moment même où la République et la démocratie représentative s’installent durablement en France. Triomphe de l’« âge des foules », indice d’une homogénéisation croissante de la société, mais aussi reflet de ses failles et de ses tensions, cette effervescence pamphlétaire et la diffusion massive de caricatures politiques accompagnent l’entrée de la France dans la modernité. En une étude vivante et documentée, Cédric Passard ressuscite les enjeux politiques, sociaux, culturels de cette presse de combat. Évoluant entre journalisme et politique, les pamphlétaires investissent en force l’espace public et posent la question, ô combien d’actualité, de la liberté d’expression et du blasphème, de la censure et de ses limites, du statut des mots et de leur place dans la cité.]]>
» L'âge d'or du pamphlet ( CNRS Editions ) : 12/11/2015 /cnrs-editions/age-or-du-pamphlet/9782271083210-p-34655.html

Nombreux sont ceux qui connaissent par coeur les tirades inoubliables des Valseuses, de Buffet froid ou encore de Tenue de soirée. Dialoguiste parmi les plus brillants du cinéma français contemporain, Bertrand Blier n'est pas un auteur « correct ». Iconoclaste et provocateur, il puise volontiers sa verve dans le trivial et trouve la beauté là où d'autres ne la perçoivent pas. Et, ses mots sont ceux d'un authentique écrivain. Prenant la suite des Prévert, Jeanson ou Audiard, il a donné au cinéma français de ces quarante dernières années ses dialogues les plus originaux et les plus drôles. Avec ce recueil de ses Pensées et répliques les plus percutantes, nous retrouvons, intact, son univers si particulier.]]>
» Pensées et répliques ( le Cherche Midi ) : 12/11/2015 /le-cherche-midi/pensees-et-repliques/9782749148090-p-34648.html

15 juin 1964. Une demande m’est arrivée d’Amérique pour publier en un volume l’ensemble des journaux que j’ai tenus. Je ne les ai pas écrits au nom d’une ambition littéraire. Cependant, l’idée que le public connaisse les coulisses d’un film et se rende compte de tout le travail pénible qu’il faut pour en réaliser un m’amuse… Comment travaillait Vittorio De Sica, l’un des plus grands réalisateurs italiens, cet homme qui, même avec quatre Oscars, abordait chaque nouveau film avec l’anxiété d’un débutant ? Adressé à sa fille, ce journal épistolaire est un fantastique aperçu des coulisses de quatre de ses longs-métrages : La Ciociara (1960), Hier, aujourd’hui et demain (1963), Mariage à l’italienne (1964) et Les Fleurs du soleil (1970). Film après film, lettre après lettre, De Sica raconte les conditions de ses tournages. De la difficulté à faire jouer des enfants aux imprévus météorologiques, il nous fait partager ses passions et ses angoisses, nous invite dans sa relation fusionnelle avec la jeune Sophia Loren, au talent et à la volonté sans pareils. Entre fatigue et doutes, dîners et paillettes, la question de la création et de l’art est au centre de la réflexion du cinéaste.]]>
» « Ma chère Emi, il est cinq heures du matin... » - Lettres de tournages ( Robert Laffont ) : 12/11/2015 /robert-laffont/ma-chere-emi-il-est-cinq-heures-du-matin/9782221157435-p-34647.html

L’ouvrage présente l’exceptionnelle collection de costumes traditionnels des Zapotèques, réunie par Guy et Claude Stresser-Péan. L’investigation menée, qui relève à la fois des domaines de l’anthropologie et de l’ethnologie, cherche à montrer les bouleversements entraînés par l’influence des colons espagnols dans les méthodes de création des costumes traditionnels de cette communauté mexicaine, donnant ainsi au lecteur une vision globale et précise du contenu de cette collection.]]>
» Les costumes zapotèques ( Actes Sud ) : 11/11/2015 /actes-sud/les-costumes-zapoteques/9782330050634-p-34653.html

Environ 250 photographies de champs de bataille à travers le monde sont ici regroupées dans une volonté de montrer ces paysages où les hommes se sont battus, ont souffert et sont morts.]]>
» Champs de bataille ( Editions Photosynthèses ) : 11/11/2015 /editions-photosyntheses/champs-de-bataille/9782363980120-p-34649.html

Une histoire du monde en 100 chefs-d’œuvre, quelle ambition ! Quel autre musée que le Louvre peut prétendre y parvenir ? Pour raconter l’Histoire – et des histoires – Adrien Goetz a exigé de chaque oeuvre qu’elle lui livre ses secrets sur les hommes et les civilisations qui l’ont produites. Un choix difficile mais passionnant parmi les collections immenses du Louvre couvrant plus de trente siècles de la vie de notre planète. Ces sculptures, ces peintures et ces objets d’art dévoilent la vie, les coutumes de ceux qui les ont aimés, conservés et transmis, entraînant le lecteur dans un tour du monde, un voyage qui le transporte depuis les routes de Bactriane jusqu’aux comptoirs français de l’Inde du XVIIIe siècle, des îles grecques aux montagnes du Mexique, des forêts d’Amérique du Nord aux routes de la soie. Une histoire en mouvement, où les grands axes de circulation comptent autant que les nations.]]>
» 100 chefs-d'œuvre du Louvre racontent l'histoire du monde ( Beaux Arts Editions ) : 11/11/2015 /beaux-arts-editions/100-chefs-oeuvre-du-louvre-racontent-histoire-du-monde/9791020402028-p-34651.html

Le Faucon maltais, Assurance sur la mort, Quand la ville dort, Bogart, la transgression, les femmes fatales… qui ne s’est jamais laissé envoûter par la mythologie du film noir ? « Eddie Muller ressuscite non seulement les films, explique François Guérif, mais l’époque à laquelle ils ont été tournés, reconstitue l’aventure des tournages, fait revivre les démons et les émotions de ceux qui y ont participé, tout cela avec l’intensité désirée. » Loin de l’étude théorique, ou même purement cinéphilique, Dark City « est plutôt une vision ellroyenne qui a le mérite de faire éclater les cadres traditionnels, et de communiquer son enthousiasme au lecteur. » Une promenade unique en son genre dans l’Hollywood de l’Age d’Or du film noir, illustrée par une iconographie superbe et largement inédite.]]>
» Dark City - Le monde perdu du film noir ( Rivages ) : 11/11/2015 /rivages/dark-city/9782743634186-p-34455.html

Quelles sont les plus belles planches de la BD érotique ? Peut-on les considérer comme des chefs-d’œuvre ? Dans cet ouvrage, Vincent Bernière a choisi 100 planches appartenant à l’histoire du genre, du Déclic de Manara aux 110 Pilules de Magnus en passant par Emmanuelle de Guido Crepax. Et livre une foule de références visuelles appartenant à la BD, au cinéma et à l’histoire de l’art.]]>
» Les 100 plus belles planches de la BD érotique ( Beaux Arts Editions ) : 11/11/2015 /beaux-arts-editions/les-100-plus-belles-planches-de-la-bd-erotique/9791020402011-p-34623.html

Les méchants, les salauds, les ordures, les enfoirés, les enflures, les empaffés, les vauriens, les fripouilles, les peaux de vache, les crapules, les salopards, les fils de pute, les faux-culs, les connards… Toute une palette de rôles plus inoubliables les uns que les autres, réservée à une élite de comédiens, et réunie ici pour le plus grand amour de votre haine. Notre ambition étant ici de viser moins l’exhaustivité que la typologie, et surtout l’anthologie, c’est-à-dire l’écrémage vers le haut de ce corpus, pour n’en garder que la quintessence. Et, du patron voyou au politicien véreux, du collabo fielleux à la femme fatale en passant par les flics ripoux, il y a de quoi faire. Car, pour citer Alfred Hitchcock : « Plus le méchant est réussi, plus le film le sera. »]]>
» Anthologie des méchants et autres salauds du cinéma français ( La Tengo ) : 11/11/2015 /la-tengo/anthologie-des-mechants-et-autres-salauds-du-cinema-francais/9782354610845-p-34624.html

Allan Barte, auteur de bandes dessinées, a fait le buzz en créant un site internet recueillant tous les clichés que nous retrouvions au cinéma ou dans les séries TV. Des détails que nous avons tous remarqué un jour sont retranscrits dans des illustrations modernes et percutantes. Il revient cette année avec de nouvelles illustrations complètement inédites pour toujours plus de clichés ! A découvrir d’urgence si ce n’est pas déjà fait !]]>
» Petit illustré des gros clichés d'Hollywood - Le retour ( Jungle ) : 11/11/2015 /jungle/petit-illustre-des-gros-cliches-hollywood/9782822212939-p-34625.html

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